Sexe à la piscine

La rédaction 27 juillet 2019

Dominique, 49 ans, Brest.

Sexe à la piscine

Je m’appelle Dominique, j’ai 49 ans et j’habite en Bretagne. Il y a quelques années, suite à des problèmes de lombaires, mon médecin m’a conseillé de faire de la natation. Je savais nager la brasse, mais pour mon dos, il m’a surtout recommandé le crawl et le dos crawlé. J’ai pris des leçons de perfectionnement. Nous étions un petit groupe d’une dizaine d’adultes. Au premier cours, le professeur a demandé à chacun d’indiquer ses propres attentes. Nous étions tous là pour apprendre d’autres nages et être plus à l’aise dans l’eau. Au fur et à mesure des cours, des affinités se sont créées entre telle ou telle personne. Il y avait une femme de trente, trente-cinq ans qui s’appelait Marie. Elle était grande, brune, avec des cheveux bouclés, les yeux noirs et un corps aux formes agréables.

Marie et moi avons sympathisé. Un jour lors d’un exercice où nous devions mettre la tête sous l’eau, elle m’a expliqué la peur qu’elle ressentait. En effet, Marie était prise de panique à l’idée d’être entièrement sous l’eau. Elle n’était pas la seule. Le professeur a essayé de nous rassurer. La profondeur était faible. Il nous a demandé de nous mettre par deux pour cet exercice et de nous asseoir au fond de la piscine, à l’endroit le moins profond. J’ai vu dans les yeux de Marie une certaine détresse. Elle tremblait de tout son corps. Elle m’a choisi comme partenaire pour l’exercice. J’ai essayé de la rassurer et de la raisonner. Je me suis assis au fond de l’eau en premier pour que Marie puisse constater l’absence de danger. Je lui ai pris la main et, avec seulement un peu de temps et de la patience, elle a commencé à se détendre. Je me suis assis avec elle et nous avons enfoncé brièvement nos têtes dans l’eau. Marie venait de franchir une première étape. Je l’ai félicitée et encouragée à recommencer.

Lors du cours suivant, le professeur nous a demandé de nous allonger sur l’eau pour faire la planche. Marie m’a indiqué qu’elle ne savait pas comment s’y prendre. Je lui ai dit que ce n’était pas très grave car nous étions là pour apprendre. Je lui ai proposé de s’allonger en premier. Je lui ai mis une main sous les épaules, l’autre sous les fesses comme si je la portais. Je sentais qu’elle était tendue. J’observais le corps de Marie à travers son maillot de bain. Je pouvais apercevoir ses tétons érigés, ses hanches larges, son pubis sombre. La douceur de sa peau sous mes doigts me troublait beaucoup et mon sexe commençait à se réveiller. À ce moment-là, le professeur nous a demandé d’inverser les rôles. Marie s’est redressée et m’a dit : « À toi ! » Avec un grand sourire. Je me suis allongé et j’ai senti ses mains sur mon corps. Mon émoi s’est amplifié. Je ne savais plus comment cacher mon érection. Elle s’en est amusée et m’a demandé (ironiquement) : « Qui est-ce qui te trouble à ce point ? » Je suis devenu tout rouge. Je sentais sous mes fesses les doigts de Marie qui se glissaient à l’intérieur de mon slip. Tout en me parlant, elle me demandait d’écarter les jambes. Ses mains se sont insinuées entre mes fesses et m’ont caressé les couilles. C’était une coquine qui savait ce qu’elle voulait.

Le cours était fini, nous nous sommes dirigés vers les douches. Là, il y avait deux hommes nus qui se lavaient mutuellement. L’un avait un corps musclé, entièrement épilé avec un piercing au niveau des tétons et une superbe queue en érection. L’autre était foutu comme un Apollon, au pubis noir taillé court, avec une longue bite et deux belles bourses. Nous les avons observés. Marie, les yeux brillants, m’a regardé et a glissé ses mains dans mon maillot. Elle a fermement saisi mes couilles en me disant qu’elles étaient douces et bien gonflées. Elle a fait tomber mon slip sur mes genoux. Mon érection a redoublé de violence. J’ai enlevé le bout de tissu et exhibé fièrement ma queue, droite comme un i devant Marie et les deux hommes. Elle m’a félicité : « En grande forme ! » Elle m’a chuchoté à l’oreille de me laisser faire.

Elle m’a lavé en décalottant mon gland et m’a masturbé en douceur. Je lui ai demandé de ralentir, car je sentais que je ne tiendrais pas bien longtemps à ce rythme. Marie, coquine, m’a signalé que les deux hommes sous la douche se caressaient eux aussi et que le plus jeune, à genoux, faisait une fellation à l’autre. Excitée par cette situation, elle a accéléré ses mouvements et choisi de me faire jouir dans sa gorge. Je n’ai pas pu retenir un cri lorsqu’un puissant orgasme m’a submergé. J’ai éjaculé de longs jets de sperme entre les lèvres de Marie. Elle s’est redressée et m’a embrassé, sa bouche pleine de mon foutre. Elle semblait ravie de cette expérience.

Là, un cri nous a fait nous retourner et nous avons vu le jeune Apollon à la longue queue saisir par la taille son ami musclé et le pénétrer d’un puissant coup de rein. Le soumis subissait avec bonheur les assauts de son mec et l’encourageait à accélérer ses va-et-vient. Nous avons quitté les douches en regardant une dernière fois ces deux hommes faire l’amour. Marie m’a soufflé en arrivant dans le vestiaire qu’elle aurait bien aimé être à leur place. Elle a enlevé son maillot et s’est jetée sur moi pour me rouler une pelle magistrale. Elle m’a demandé de la faire jouir. Elle a posé un pied sur le banc et, à genoux devant elle, je me suis mis à la lécher. Elle était trempée et son odeur intime m’excitait beaucoup. Je me suis redressé et je l’ai embrassée. Marie s’est retournée pour se faire prendre en levrette.

Je me suis mis derrière elle et j’ai pointé ma queue sur son sexe ouvert. Je n’ai pas eu le temps de la pénétrer que Marie, vorace, s’est empalée d’elle-même sur ma bite ! Je l’ai saisie par les hanches et j’ai accéléré mes va-et-vient. Elle s’est cambrée, a posé sa tête sur le sol. Ses fesses ainsi ouvertes laissaient entrevoir son oeillet rose.
En me regardant, elle m’a demandé de l’enculer. J’ai obéi à son ordre. Positionnant mon gland luisant sur son petit orifice, j’ai poussé. Ma tige a été aspirée et a disparu entre ses globes. Marie a crié et ondulé du bassin. Ses fesses étaient douces, étroites, chaudes et accueillantes. Elle a glissé une main entre ses jambes et m’a caressé les couilles. Je ne pouvais plus me retenir. J’ai éjaculé dans ses entrailles. Nous sommes restés ainsi unis pendant quelques minutes pour reprendre nos esprits. Quelle belle expérience !

Elle m’a remercié et m’a invité chez elle en présence de son mari, pour un week-end. J’ai accepté son invitation. C’est une autre histoire que je vous raconterai très certainement. Grosses bises à Marie si jamais elle me lit, ainsi qu’à vos lecteurs et lectrices.

(Image à la une : Getty Images)

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