La femme de mon pote
6 juillet 2023Aymeric, 33 ans, passe le confinement en compagnie de sa femme et un couple d’amis. Le femme de son pote va lui paraître très appétissante…
Pendant le confinement, nous nous sommes retrouvés coincés avec un couple d’amis et ça m’a valu une belle histoire de sexe. Nous étions en week-end dans leur maison de banlieue et nous avons décidé d’y rester car il y avait de l’espace et nous nous entendions bien tous les quatre. Mais cette configuration a pour ainsi dire créé quelques troubles… sexuels. Céline, la compagne de mon pote Karim, m’attirait de plus en plus. Tant de proximité rapproche les êtres et ça n’a pas loupé. J’ai beau être amoureux de ma conjointe, nous ne baisions pas beaucoup à ce moment-là car elle avait toujours peur d’être entendue. J’étais un peu en manque et Céline m’envoûtait avec son visage avenant, son humour et son corps élancé, super sexy. Elle aussi se prêtait au petit jeu des interdits en m’effleurant dès que les regards étaient posés ailleurs et en me jetant des coups d’œil entendus.
La belle poitrine de la femme de mon pote
Alors, quand ma femme et Karim sont partis faire des courses ensemble un après-midi, je suis allé dans la chambre de mes amis pour voir ce qu’elle faisait en attendant. Là, j’ai été saisi par un magnifique spectacle : la femme de Karim, en corset de dentelle blanche et petit string assorti, seins moulés par le tissu délicat, résille sublimant sa poitrine galbée. Elle était en train de mettre une robe. « Ah ! Tu m’as prise la main dans le sac », a-t-elle dit en riant. « Je pensais faire la surprise ce soir à Karim en mettant cette petite tenue en guise de sous-vêtements... » « Il a bien de la chance », ai-je répondu, admiratif. Elle a souri. « Tu veux en profiter cinq minutes ? » Elle ne perdait pas le nord ! J’ignorais si tout cela était un coup préparé d’avance ou pas. Si la mutine m’avait tendu un piège ou s’il s’agissait d’un heureux hasard…
La belle s’est approchée de moi dans son petit ensemble à tomber. Il était déjà trop tard pour reculer, elle me subjuguait. Elle est venue se frotter contre mon torse, ses petits seins pointant sous la dentelle immaculée. Je bandais déjà comme un fou. La petite garce m’a entraîné sur le lit et a dégagé ma queue de mon pantalon pour me sucer. Elle prenait les devants et c’était encore plus bandant. Son joli visage s’activait sur mon membre et sa bouche formait un délicieux réceptacle, moelleux et humide, vivant. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été sucé comme ça ! Avec ce désir pour moi… Mais il fallait qu’on s’active, car si jamais les deux autres revenaient, le confinement s’avérerait explosif…
La femme de mon pote me fait bander
J’ai caressé son sexe en écartant la petite ficelle de son string. Sa fente était trempée d’excitation. Sa peau palpitait dans son corset et elle était vibrante de désir. Son côté “actif” me rendait dingue. Il faut dire aussi que la nouveauté a une certaine saveur et qu’en temps de confinement, voir son conjoint 24 heures sur 24 n’aide pas forcément la libido. La femme du voisin a alors beaucoup plus d’attraits…
Céline m’a chevauché en amazone et a engouffré ma bite dans sa chatte toujours vêtue du petit triangle de tissu blanc. Jolie image… que j’ai photographiée malgré le risque que cela représentait. Mon sexe s’est enfoncé progressivement en elle. C’était un instant magique. Céline m’empoignait par les épaules ou caressait mon torse pendant qu’elle dirigeait son corps sur moi et jouait avec ma queue. Ses cheveux bruns caressaient son visage, ses seins tremblaient dans la dentelle.
La femme de mon pote baise bien
Elle avait une manière de s’immobiliser parfois avec mon membre en elle, pour en ressentir chaque tressautement et s’emplir de toutes les sensations de la pénétration avec un air extatique sur le visage… Je buvais chacun de ses gestes et mon sexe encagé dans sa chatte sautillait de bonheur.
L’attente créée quand elle se déhanchait très doucement provoquait des pointes de plaisir intense et ne faisait que repousser un peu plus l’orgasme, jusqu’à ce qu’elle se mette à bondir sauvagement sur ma bite, comme pour éteindre enfin le feu qui la brûlait par un frottement intense au cœur de son sexe. La jouissance nous a cueillis par surprise, amenée par cette vive pénétration qui contrastait avec les premières allées et venues. Nos sexes étaient volcaniques au contact l’un de l’autre. Et il était temps, car nos conjoints respectifs allaient bientôt rentrer ! Céline sentait fort le sexe et elle est allée se rafraîchir dans la salle de bain. J’avais son odeur sur les doigts et je ne voulais pas qu’elle disparaisse… Le soir venu, au dîner, je reniflais encore mes mains, au mépris de toute consigne d’hygiène, pour respirer encore un peu d’elle… et bander dur sous la table.
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