Doublette au camping

La rédaction 17 avril 2019

Cynthia, 27 ans, Angoulême.

J’ai 27 ans et mon mari 28, nous nous connaissons depuis trois ans et profitons de nos vacances pour nous lancer des défis de cul. Nous voyons cela comme un jeu qui nous excite. Cela a commencé par de l’exhibition de plus en plus poussée… Cette année nous avons testé le plan à trois.

Cet été, lors de nos vacances dans les Landes, nous avons loué un mobil-home et sympathisé avec nos voisins de camping. Un matin, les deux hommes sont partis faire un tour en vélo. Aliénor, la femme du voisin, m’a proposé d’aller au marché avec elle, mais j’ai refusé, je préférais rester tranquillement au camping, car cela serait justement l’occasion de lancer un plan cul, je le sentais.

Les hommes étaient partis de bonne heure et sont rentrés en milieu de matinée, j’en étais encore au petit déjeuner, vêtue simplement d’un tee-shirt assez court, sous lequel pointaient mes seins, et d’une petite culotte transparente. Nous avions soigneusement choisi cette tenue. Ils se sont attablés, je leur ai proposé un café et je me suis levée en disant que j’allais mettre quelque chose de plus correct sur moi. Ils m’ont répondu en chœur avec un petit sourire : « Sur tout pas ! »

Le plan commençait à marcher. Je suis donc restée en petite tenue et j’ai préparé les cafés. Je sentais deux paires d’yeux sur mes fesses. Quand je me suis retournée, ils avaient des sourires complices, je leur ai demandé ce qui les faisaient marrer. Brieuc a répondu : « On adore ton petit cul. » Mon mari, Laurent, a ajouté : « Il est tellement plus beau sans culotte ! » Comme j’étais occupée à l’évier, je ne l’ai pas vu venir…

Il a descendu ma culotte jusqu’à mes pieds ! Je suis restée quelques instants ainsi, ils rigolaient et louaient les charmes de mon cul magnifique. Je les ai remerciés du compliment et, devant leurs airs machos, j’ai joué la provoc en ajoutant, ingénue : « Et maintenant, je fais quoi ? » Ils se sont regardés, hilares. Je voyais déjà deux grosses bosses se former dans les shorts… Mon mec a tranché : « Tu nous sers le café, avec du sucre… Mais sans culotte ! » J’ai éjecté ma culotte du bout du pied et je suis venue les servir, la chatte à l’air. Ils ne disaient plus rien, les yeux rivés sur mon sexe, sur ma petite touffe.

Laurent m’a caressée, il a fait glisser un doigt dans ma chatte et a dit à Brieuc qu’il pouvait faire pareil, mais il n’osait pas. Alors c’est moi qui lui ai pris la main pour la guider vers mon entrejambe. J’ai écarté les cuisses. Laurent me manipulait le sexe par l’arrière et Brieuc par l’avant, leurs doigts se faufilaient dans ma fente trempée.

Je leur ai proposé : « J’enlève vos shorts ou vous les enlevez tout seuls ? » Laurent a retiré le sien, puis Brieuc, hésitant, en a fait de même. Deux magnifiques bites en pleine érection et en toute liberté dressées devant moi… Hmmm! Ils étaient morts de rire en brandissant leurs engins qui étaient très différents, celui de Laurent que je connais bien est assez gros et plutôt court alors que celui de Brieuc est fin et long. J’ai applaudi : « Bravo, les gars, elles sont superbes ! »

Ils étaient superchauds, et cela me dépassait maintenant. Ils se branlaient devant moi et me demandaient de les sucer. Je sentais ma chatte qui ruisselait de mouille, j’avais très envie de ces deux bites, mais comment me sortir de là sans passer pour une salope ? « OK, attendez, je suis d’accord pour vous faire plaisir, mais j’ai trop honte ! – Mais non ! Personne ne le saura, a répliqué Laurent, ça restera entre nous, promis ! – Bon, OK, mais bandez-moi d’abord les yeux… »

Ils ont trouvé en un temps record un ruban noir et m’ont bandé les yeux, je ne voyais vraiment plus rien. Puis j’ai senti des frôlements sur moi, des mains me caressaient les seins, les fesses, le sexe, ils m’ont allongée sur le lit. Je me laissais complètement faire, les gestes d’abord hésitants sont devenus plus précis, je sentais des doigts me fouiller, puis un sexe a franchi ma bouche, il était fin… C’était celui de Brieuc, je l’ai sucé avidement, ensuite ce fut au tour de Laurent. Brieuc était maintenant en train de me brouter le minou en me mettant un doigt dans le derrière.

J’essayais de deviner qui me faisait quoi, et cela m’excitait énormément. Soudain j’ai senti un sexe me pénétrer avec douceur. Brieuc était en train de me baiser devant mon mari. Il m’a pilonnée pendant un moment, puis a laissé la place à Laurent qui m’a baisée à son tour en me traitant de salope. Je lui répondais : « Oui ! Oui ! » à chaque coup de bite ! J’étais sur une autre planète, complètement abandonnée au plaisir. Ensuite, ils m’ont retournée sur le ventre, le cul bombé en arrière. Laurent est passé sous moi et m’a rempli la chatte dans cette position, j’attendais la suite avec appréhension. Malgré quelques tentatives, Laurent n’a jamais eu droit à mon petit trou, car son sexe trop gros ne parvenait pas à se faufiler. J’ai senti qu’on m’appliquait un corps gras sur le petit trou. Un doigt s’est aventuré, sans aucune difficulté, puis deux… J’ai senti qu’on montait sur le lit et j’imaginais la position que prenait Brieuc. J’attendais cela, j’ai tendu mon cul et j’ai reçu sa bite sans aucun problème. Je la sentais profondément. Je me faisais baiser par les deux trous, un plaisir énorme ! J’ai joui comme jamais.

Nous sommes revenus de vacances sans avoir l’occasion de recommencer et, très bizarrement, l’amour entre mon mari et moi n’a jamais été aussi fort. Ces expériences en toute complicité nous rapprochent. Nous en gardons un excellent bon souvenir. Vivement la prochaine !

(Photo à la une : Getty Images)

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Un cross d’enfer
« Mon mari et moi passions des vacances dans un camping, et un cross avait été organisé pour les estivants. C’est là que j’ai rencontré Christine, nous avons souffert ensemble les 10km de l’épreuve. A la fin, elle nous a invité à son barbecue où nous avons passé toute la nuit. » Claudine.

Rassemblement réussi
« Ma femme était nue et chaude. Je l’ai réveillée par inadvertance. Nous avons commencé à faire l’amour, quand – surprise – j’ai vu la tente s’ouvrir. Sylvie nous demandait si elle pouvait dormir avec nous, car son mari faisait trop de bruit. Elle s’est glissée entre nous deux et a commencé à caresser ma chérie, déjà humide, en l’embrassant à pleine bouche. » Gilles.

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