Soumise, mode d’emploi

La rédaction 19 décembre 2024

Farid rencontre une femme soumise en club libertin prête à assouvir tout ses fantasmes ! Fellation, sodomie rien ne lui sera interdit !

Alors ça ! Si je m’attendais ! Baiser une soumise ! Et quand je dis baiser, c’est baiser ! Par devant, par derrière, des pipes à ne plus savoir où donner de la queue. A en avoir le gland en feu et la hampe qui défaille. Une affamée, une goulue, une belle petite bourgeoise dépravée et avide de cul ! je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur.

Soumise en boîte

Le hasard d’une rencontre dans une boite libertine avec Maître G. qui tient une belle nana en laisse. Brune, un carré court, un regard incendiaire, muette, à genoux près de son dominant. Il me regarde baiser une copine, simple spectateur. Sa poupée à ses pieds qui se lèche le bout des mains comme chatte. Finalement le type me paie un verre et me dit que, si je suis OK, je peux baiser sa petite garce le jeudi suivant. Seule condition, tout devra être filmé et pris en photo. Pour le reste, je suis libre de faire ce que je veux avec son esclave.

Le jour J une berline vient me chercher. La fille est assise à l’arrière, manteau épais, jambes gainées de bas rouge sang. Elle est à poil en dessous. Elle lèche ses lèvres carmin et écarte les jambes, sa chatte rasée de près s’ouvre comme un fruit de mer humide. La limousine s’arrête, nous gagnons la chambre qui nous a été réservée.

Sur un guéridon, un mot laconique : « des jouets sont à disposition, investir tous les orifices de « Natasha » n’est pas une option. »

La belle fouille dans son sac, son parfum vanillé dessine chacun de ses mouvements. Elle en sort une espèce de culotte dont l’entrejambe est une large bande de cuir. Elle la passe et s’allonge sur le lit, inactive, passive.

Une esclave à disposition

Je me déshabille, je bande déjà. Je désigne un jouet, un gode ambré, hérissé d’une nuée de picots. Elle l’attrape et commence de se branler avec. Elle me regarde me branler et m’approcher d’elle. Je suis décontenancé par son stoïcisme absolu. Je la shoote, elle est belle, trente ans peut-être. Savoir que je peux lui faire tout ce qui me passe par la tête me donne le vertige. Je lui tends ma bite, elle va pour la saisir dans sa main, mais son geste s’arrête.

« Vas-y suce-moi ! » Aussitôt je regrette mon ton tranchant, mais la pipe qui s’ensuit me fait vite oublier mon manque de tact. Natasha sait s’y prendre avec un pénis en bouche, pas de doute. Je laisse couler et attrape son collier. Je force sa gorge, ça rentre profondément. Elle hoquette un peu, mais aucune plainte ne sort de son gosier.

Ma petite queue et mes couilles imberbes sont léchées, aspirées, gobées. J’ai envie de jouer avec sa chatte baveuse. Cette petite salope aime visiblement ça, être prêtée à des inconnus. Plaisir du maître, plaisir de la soumise.

Elle palpe, elle tâtonne, elle esquisse, mon gland roule sur ses lèvres, se couvre de sa rosée. Elle s’astique le bourgeon et je vois ses yeux se révulser d’un coup. Tout son corps se met à trembler, elle atteint l’orgasme en émettant un long sifflement ténu. Ses joues s’empourprent, visiblement jouir ainsi ne fait pas partie d’une séance habituelle, en tout cas pas aussi tôt, pas aussi vite.

Je reprends les choses en main, je fais quelques photos avant de lui demander de se foutre en levrette, bien cambrée comme j’aime. Après tout, elle m’a été confiée pour mon plaisir à moi non ?!

Totalement soumise

Je la fourre par devant et je m’échine dans son minou bien serré. Elle a les seins contre la couette, je l’entends étouffer ses gémissements dans l’épaisseur du lourd duvet quand je repense à ce que m’a dit son maître ! La posséder par tous les trous n’est pas une option.

Natasha est bien « dressée », dès que mes coups de reins stoppent, elle avance son corps pour laisser s’échapper mon engin, de ses doigts elle étale sa mouille sur son petit puis m’attrape le dard et le dirige avec une précision folle pile au centre de son anus.

Je vois la rondelle s’élargir, j’hallucine, cette femme sait parfaitement comment accepter un chibre au fond de ses entrailles. Je pousse, mon gland entre comme dans du beurre, le reste suit. J’en ai enculé des filles, mais de qui aiment autant ça, jamais !

Je lui ai ramoné le fion jusqu’à en avoir le souffle coupé. Rien ! Pas un mot, ce n’est que quand je lui ai tendu un jouet qu’elle s’est permis de venir en grognant légèrement.

« Mon maître m’a ordonné de tout avaler. » Voilà les seules paroles qu’elle m’ait dites cet après-midi-là. Je me suis retiré, quelques secondes plus tard j’éjaculais dans sa bouche, quelques déglutissions et plus rien.

(Source image à la une :  Shutterstock)

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