Train d’enfer
16 février 2020Kevin, 34 ans
Au mois de juillet dernier, j’étais dans le train pour rejoindre ma femme. Elle était partie en vacances dans le sud de la France avec les enfants, une semaine avant moi. Je somnolais en rêvant de mes flirts d’adolescent avec Nathalie, ma cousine de Bourg-en-Bresse. Pendant tout l’été, nous avions joué au docteur dans la ferme de ses parents. Je repensais à toutes ces petites cochonneries faites dans les champs de maïs, dans les vignes ou même, bien cachés dans une étable.
En entrouvrant les yeux, j’ai aperçu la grosse bosse qui bombait ma braguette. Il n’y avait personne en face de moi, ni à côté d’ailleurs, et c’est vrai que j’avais très envie de me branler. Je n’ai pas osé. Le contrôleur venait de surgir inopinément, et je suis sûr qu’il m’avait vu palper le tissu de mon pantalon. J’avais mal à la queue. J’hésitais entre poursuivre mes rêveries ou filer aux toilettes pour me branler. Finalement, la flemme l’a emporté…
Quand j’ai rouvert les yeux, le train était à l’arrêt, en gare de Laroche-Migennes. Des voyageurs montaient et descendaient. Soudain, la vision d’une jeune fille blonde d’une vingtaine d’années m’a complètement réveillé. Elle était un peu forte, avait les yeux bleus et un petit nez retroussé. Elle est venue s’installer juste en face de moi. Mon regard a rapidement été attiré par l’échancrure de son chemisier. Elle s’est assise un peu en travers, de manière à pouvoir croiser ses jambes. Elle a sorti un livre, mis des lunettes sur son nez et a entamé sa lecture.
Je voulais savoir quel bouquin elle lisait, et je fronçais les sourcils pour essayer d’en apercevoir le titre. Soudain, elle a levé les yeux et m’a fixé. Rougissant, je lui ai dit: « Oh, excusez-moi, je suis trop curieux ! » Elle a répliqué qu’elle lisait un roman de Françoise Rey. « C’est chaud !« , ai-je répondu bêtement. Elle a eu un petit mouvement de tête et un rire étouffé, puis s’est replongée dans sa lecture. Au bout d’un moment, j’ai vu qu’elle croisait et décroisait les jambes.
Je me suis enfoncé dans mon fauteuil pour l’observer du coin de l’oeil. Le train a redémarré. Peu de temps après, je me suis aperçu qu’elle rougissait et qu’elle dégageait une odeur de transpiration assez forte. Moi qui avais fait le tour de mes souvenirs d’ado, ce n’était pas pour me calmer. Je bandais de nouveau comme un cerf. Elle s’est mise à sucer le bout de son index. Là, elle a remarqué que je la surveillais. À ma grande surprise, elle n’a pas retiré ce doigt de sa bouche.
Le rythme du train, la chaleur qui montait à mesure que nous descendions vers le sud, je me suis retrouvé dans un tel état que j’ai eu envie de tenter le tout pour le tout. Mon érection se voyait très nettement, et j’ai décidé de ne pas la cacher. J’ai fermé les yeux. Après quelques instants, je me suis mis à grogner comme si je m’étais endormi. De temps à autre, j’entrouvrais très légèrement les paupières pour observer ma voisine. La coquine regardait la bosse à intervalles réguliers. Et, croyez-le ou non, elle a remonté sa jupe pour se caresser l’entrejambe pendant sa lecture.
J’avais du mal à conserver les yeux presque fermés, avec cette incroyable tension sexuelle qui baignait le wagon. J’essayais de ne rien rater de sa branlette. Elle se touchait à travers le tissu, sa respiration s’accélérait. Elle a renversé sa tête en arrière, sentant l’orgasme venir. Elle essayait de se la jouer discrète.
C’est le moment que j’ai choisi pour ouvrir grand les yeux, comme si je me réveillais en sursaut. Elle était surprise « la main dans la culotte » ! « Vous me regardiez ?« , a-t-elle demandé. J’ai bafouillé: « Heu… » Son visage était écarlate. Ses mains tremblaient. Soudain, elle s’est ressaisie et m’a glissé: « Suivez-moi… »
Elle s’est levée d’un bond, et je lui ai emboîté le pas jusqu’aux toilettes. Après un rapide coup d’oeil pour vérifier si personne ne nous voyait entrer à deux, nous nous sommes faufilés à l’intérieur. J’ai tout de suite dégrafé ma ceinture et ouvert ma braguette, libérant ma queue tendue comme un arc. Elle m’a happé le gland, puis m’a pompé en engloutissant ma bite sur toute la longueur. Je n’avais jamais connu de femme suçant de manière aussi vorace. De ses deux mains, elle a descendu le pantalon sur mes genoux, dégageant le passage pour caresser mes couilles et les lécher. La voix tremblante, elle a murmuré : « Retournez-vous ! »
Accroupie derrière moi, elle a écarté mes fesses et a pointé sa langue dans mon trou du cul. Puis, elle s’est relevée et m’a embrassé à pleine bouche. J’ai adoré sentir l’odeur de mon cul sur son nez, ses lèvres, ses joues. Elle a sorti une capote de son sac à main (les femmes sont tellement prévoyantes), et elle l’a enfilée elle-même sur ma queue qui perlait de désir. Puis, elle s’est retournée et s’est penchée au-dessus du lavabo. Je me suis positionné derrière elle pour pénétrer sa chatte que je sentais incroyablement ouverte, gonflée et mouillée, mais elle a protesté : « Non, pas par là. Ma minette, je la réserve à mon mari. »
J’ai compris qu’elle voulait que je l’encule, ce qui n’était pas fait pour calmer mon excitation. Je lui ai un peu doigté la rondelle d’un index mouillé de salive, puis je l’ai sodomisée. Je me souviens encore, en vous écrivant, de cette chaleur délicieuse, de la bague de son anus serré qui se détendait peu à peu, du parfum de cumin qu’il dégageait… Je l’ai enculée très doucement, pour faire durer ce moment exceptionnel. Puis après quelques va-et-vient dans son cul, nous avons joui ensemble, moi crispé derrière elle, essayant de retenir un hurlement de jouissance, et elle, la joue écrasée contre le miroir des toilettes.
Nous sommes retournés nous asseoir. Je ne sais plus de quoi nous avons parlé. Nous étions dans un état de béatitude totale, comme dans du coton. Un moment magique comme il y en a parfois dans la vie. Sur le quai, ma femme m’attendait. Et un peu plus loin, son mari à elle.
(Image à la une : Getty Images)
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