Le pinceau de mon beau-frère

La rédaction 14 mai 2021

Mila, 30 ans connait le coté de volage de son beau frère, elle cède à son charme quand il lui propose de peindre son portrait.

Je m’appelle Mila, j’ai 30 ans et je vous raconte mon histoire porno. Il y a quelques semaines, mon beau-frère Luis m’a parlé de son nouveau hobby : la peinture. C’est un homme raffiné et qui a du goût. J’aime beaucoup son regard d’esthète et d’ailleurs, il me complimente souvent sur la façon dont j’assortis les couleurs de mes vêtements, mon maquillage ou mon allure. C’est un bel homme brun espagnol de 40 ans, large d’épaules, que ma soeur a épousé il y a quelques années et avec qui ils ont une relation tumultueuse. Luis est vraiment un bourreau des cœurs et c’est de notoriété publique dans la famille qu’il la trompe à tout-va. Elle-même s’y est fait et a des liaisons elles aussi. Ils se réconcilient souvent sur l’oreiller. Bref, j’ai toujours regardé cette relation avec un mélange de révulsion et de fascination. Je sentais que Luis serait bien allé plus loin avec moi, dans sa conception si libre et “sans tabous” de l’amour… Mais je m’étais promis de ne jamais y céder.

Jusqu’à ce qu’un jour, il me demande de peindre mon portrait. Intriguée, j’ai accepté de venir chez eux quand ma sœur était absente pour poser pour lui. Je me tenais sur mes gardes, mais une irrésistible tentation persistait dans mon esprit. Joueur, il m’a fait poser avec un drapé façon sculpture de la Renaissance italienne et c’était très drôle quand je me suis enroulée dans le drap blanc qu’il m’avait tendu. Il me peignait à présent en s’attardant sur chaque détail de mon corps. Sentir cette observation si consciencieuse de sa part a mis fin à mes réticences. C’était mal, mais ma sœur allait demander le divorce, c’était sûrement une des dernières fois que je le reverrais. Ses yeux ont rencontré les miens et je n’ai pas cillé, j’ai soutenu son regard. Il a continué de peindre avec application et le silence ponctué du léger frottement du pinceau sur la toile me faisait frémir.

« Tu ne veux pas t’entraîner sur des détails un peu plus délicats ?” ai-je fait. J’étais assise sur une chaise et j’ai écarté les cuisses doucement pour dévoiler ma fente et sa rivière de perles poivrées. Je m’étais mise entièrement nue sous le drap et je voulais qu’il peigne ma vulve. Il n’a pas cillé lui non plus et s’est mis à regarder mon sexe, à aller et venir entre la toile et ma chatte, à la peindre avec la même application, cet entrelacs de chairs qui se découpait entre la blancheur de mes cuisses et du drap. Je mouillais, très exaltée par l’érotisme de la situation. Au diable les convenances ! Un homme qui mettait tant d’application à représenter une chatte méritait bien un peu d’attention… Nous étions dans la chambre. Il m’a dit de monter sur le lit. Le drap s’est défait d’autour de moi et je me suis retrouvée toute nue sur le matelas. Il a pris des photos “pour continuer le portrait plus tard” et il m’a rejointe sur le sommier. Il a saisi son pinceau pour le promener sur mes seins, mes tétons qui se sont durcis instantanément.

Il l’a baladé aussi sur ma vulve et les frissons de plaisir m’ont saisie toute entière. Il ne fallait pas, mais à quoi bon me retenir ? Je préférais vivre dans le remords que dans le regret. Je l’ai aidé à se déshabiller et, toute émoustillée par le pinceau, je me suis appliquée à sucer sa queue durcie qui tendait vers moi sa chair agréable, souple et ferme, et que j’ai repeinte de ma salive, à laquelle j’ai entrepris de donner le plus de plaisir possible. Il était allongé sur le dos et moi à quatre pattes entre ses jambes, et ma bouche coulait sur lui. Puis nous avons interverti et ce fut à moi de me retrouver sur le dos, lui au-dessus de mon visage, sa bite qu’il manoeuvrait dans ma bouche tout en continuant à prendre des photos pour de “futurs dessins”. J’adorais être sa muse, l’objet de ses esquisses et de ses peintures. Sa bite était tendre sous ma langue, son pinceau d’amour me régalait les sens. Toujours allongée, il s’est posté au-dessus de moi pour me prendre. Il était à genoux entre mes cuisses et mes jambes reposaient sur ses cuisses à lui pour lui donner un large accès à ma chatte.

Le peintre avait la même dextérité dans la baise que dans la peinture : il a fait honneur à mon sexe qu’il avait dessiné juste avant et il l’a fourré de toutes ses ardeurs, jusqu’à ce que l’extase m’envahisse, teintée de culpabilité, mais si douce ! Il m’a montré son tableau après avoir éjaculé et la vue de mon sexe sur sa toile m’a réjouie. Je l’ai gardée en souvenir, bien cachée sous mon lit.

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