Ma femme se donne en partouze

Ma femme, Barbara, est une sacrée nana ! Elle est insatiable, il faut toujours qu’elle baise avec de nouveaux partenaires, sans arrêt, tout le temps, et qu’elle se mette dans des trios ou autres quatuors. Mais son dernier désir en date a consisté à me réclamer une partouze à la maison. Voici notre histoire de sexe !

Toujours plus loin dans la pluralité… En vérité, ça m’excitait tout à fait de l’imaginer se donner à un groupe d’inconnus. D’autant qu’elle m’a proposé d’inviter son amie Stéphanie, que je convoitais secrètement. Barbara a tout organisé elle-même et a trouvé des hommes qu’elle est allée chasser sur Internet, sur des sites libertins. Je l’ai laissée faire et elle y a passé plusieurs jours. Elle leur a posé plein de questions sur leurs pratiques, pour être sûre que ça collerait avec ses désirs et elle a essayé de réunir des gars qui se soucient du plaisir féminin. Elle n’avait pas envie de laisser un égoïste gâcher la fête ! Le jour-J, la petite bande est arrivée chez nous ainsi que Stéphanie. Ça a tout de suite été très joyeux et joueur, comme atmosphère. Nous avons dîné, dansé et discuté, et puis ma femme a lancé les hostilités en roulant des pelles à sa copine Stéphanie. Tout le monde s’est concentré et la tension sexuelle est montée d’un cran.

Ma femme s’est fait baiser sous mes yeux

Les filles se sont bien embrassées pour faire bander leurs spectateurs. Ces derniers se sont déshabillés en un éclair montrant à qui de droit leur virilité réveillée. Alors les demoiselles se sont mises à sucer tous les hommes à la chaîne. J’étais le photographe attitré de cette orgie. Ma femme s’est retrouvée dans toutes sortes de positions, tête renversée, au-dessus ou en-dessous des queues et des bourses qu’elle avalait, parfois plusieurs en même temps. Parfois, elle était à quatre pattes et elle gobait des bites pendant que les hommes flattaient son fessier, parfois elle était allongée sur le dos en train de se faire tremper des queues dans la bouche ouverte et pendant ce temps, ses amants lui fouillaient le sexe et la doigtaient pour la faire mouiller, jusqu’à la faire éjaculer. Elle était en transe, je ne l’avais jamais vue comme ça, en train de gicler entre ses jambes pendant qu’elle se prenait une queue dans le visage. Elle semblait épanouie et vorace, et elle profitait de toutes ces caresses rien que pour elle. Je n’avais jamais vu autant de sexes entrer dans ma femme et j’en éprouvais une fascination toute nouvelle pour moi.

La meilleur amie de ma femme me suce

Son amie Stéphanie était allongée à ses côtés et suçait, elle aussi, un mec pendant qu’un autre s’appliquait à la lécher. J’ai caressé son corps en la photographiant et je me suis à mon tour fait sucer. Mon rêve se réalisait. Sur ma femme, il y avait trois ou quatre bouches qui s’employaient à lui lécher la chatte, le ventre ou les seins. La partager ainsi à la collectivité me provoquait des sensations et des émotions que je n’avais jamais ressenties. Je planais, comme sous drogue, en regardant son corps se délier sous le plaisir procuré par toutes ces langues, toutes ces mains et toutes ces caresses sur sa peau douce. J’essayais de me dire que c’était comme si moi, je la caressais et lui montrais tout mon amour par des corps interposés, et j’espérais qu’elle pensait à moi. Les regards amoureux qu’elle me lançait me faisaient penser que oui, et je me suis dit que je l’avais rarement autant aimée que dans les bras de tous ces inconnus qui étaient venus pour goûter à sa liberté.

Jardin d’Eden

Le lit était devenu un grand terrain de jeu où les corps s’emmêlaient et où l’on ne pouvait plus distinguer qui était qui. Alors qu’un premier homme pénétrait ma femme sur le lit, un autre lui faisait goûter son chibre et les mains de ma belle s’occupaient des sexes des autres. Elle semblait être entrée dans une autre dimension, complètement embarquée par son plaisir. Ses cris et ses soupirs se mêlaient à ceux des hommes et à ceux de Stéphanie que j’ai fini par prendre à mon tour pour la baiser à côté de ma femme qui se faisait elle-même baiser. Nous nous sommes regardés pendant que nous nous adonnions à ces plaisirs collectifs et la chaleur dans nos regards voulait tout dire de notre complicité. Les amants se sont bousculés au portillon du sexe de ma femme et elle les a accueillis avec toute la générosité sensuelle dont elle est capable. Vive ma compagne, cette magnifique chaudasse que j’aime tant…

A lire aussi :

Un black pour madame

Baise ma femme

Vacances sans ma femme