Deux soeurs et deux queues à sucer
5 août 2023Corinne va se plier aux règles du défi. Sucer son mari et celui de sa soeur. Puis reconnaitre la queue de son homme. Sauf qu’ils ne vont pas en rester là…
Bonjour je m’appelle Corinne, voici mon histoire de sexe. Comment en est-on venu à parler d’une possible baise avec mon beau-frère ? Il se trouve que j’ai épousé Michel il y a vingt ans et que ma sœur a convolé, en secondes noces, avec son meilleur ami, Pierre.
Mon cher et tendre m’avait raconté leurs frasques de jeunesse dont il avait gardé pas mal de photos, photos sur lesquelles je suis retombée cet été lors d’un grand rangement de saison. De fil en aiguille je me suis mise à délirer un peu sur toutes ces filles qu’ils avaient culbutées et j’ai remarqué les différences entre leur sexe. Vous savez comment peut se terminer un « chiche ou pas chiche » ?
Pour moi cela a été un grand « Chiche ! » qui a fait s’exorbiter les yeux de Michel, le défi étant « Tu penses que tu pourrais reconnaître ma queue de la sienne rien qu’en nous suçant à l’aveugle ? »
Branlette intense
Quelques semaines plus tard, avec l’accord de ma sœur qui est aussi cinglée que moi, Pierre est venu passer une soirée à la maison. J’étais toute chambardée, j’avais envie d’aller au bout de ma folie et à la fois, faire une chose pareille me dépassait un peu. Nous avons beaucoup ri, Michel m’a chauffée tout au long du dîner, me caressant sous la table et poussant notre invité à faire de même de son côté.
Je suis partie dans la chambre et je me suis déshabillée, ne gardant sur moi que mon ensemble culotte soutif et je me suis allongée en mettant mon masque de nuit (pardon pour le bleu non assorti à ma lingerie, mais je n’avais que cela sous la main).
Mes deux mâles ont passé le pas de la porte, ils respiraient fort. Pour la première fois de ma vie, j’ai été pelotée par quatre mains. Caressant mes courbes, pénétrant ma chatte, les doigts étaient agiles, froids (Pierre, assurément), Michel, lui, a toujours les extrémités en feu. Très agréable du reste, d’accueillir ses phalanges glacées au fond de mon con ! J’en ai conçu un orgasme instantané.
Les mains ont ensuite fini de me déshabiller tout en me tripotant les seins, en me donnant un majeur à lécher. Mon mari m’a demandé d’adopter des poses cochonnes, j’ai compris que les deux se rinçaient l’œil, mais qu’ils prenaient aussi mon corps en photo. Les vieilles habitudes des deux larrons en foire avaient visiblement la vie dure. Je dois bien avouer qu’être ainsi le centre de leur attention m’a excitée au possible, je me suis même touchée alors que je n’ose jamais le faire devant le regard de mon époux.
Et puis j’ai senti le matelas bouger de part et d’autre de mon corps, l’instant était arrivé, mes amants se sont tus afin que je ne sache qui était à gauche et qui à droite. Sans m’aider des mains dans un premier temps, j’ai eu la première bite devant mes lèvres, je les ai écartées et j’ai commencé une fellation comme j’aime les faire, délicate, légère, tout en petites succions et en coups de langue sur toute la base de la queue.
« PLus » de poil que de mal
Plus de poils, pas le même goût, effectivement calibre à peu près identique (bien monté), mais un plus gros prépuce, moelleux et fondant, j’ai tout de suite reconnu le pénis qui n’était pas « le mien » ! Et je l’ai adoré sur le champ ! Doux, un peu vanillé, bien dur et bandé à souhait, j’en ai délaissé Michel tant cette nouveauté m’a plu. Les couilles étaient deux globes bien lourds au creux de ma main, le membre ne forçait rien, me laissant aller et venir à ma guise, dispensant un distillat très salin tandis que des phalanges s’activaient toujours au fond de mon fourreau, je croyais identifier le « toucher » de mon homme.
Enfin, on m’a relevé haut les jambes, des poignes puissantes ont emporté mon petit cul en apesanteur et une longue queue m’a investie de tout son long. De nouveau, j’ai su que ce n’était pas mon régulier qui me prenait. Pas le même poids, pas le même rythme, quelque chose de plus saccadé, mais de diablement efficace. Ce grand chibre allant et venant à l’allure d’un marteau-pilon a eu raison de mon plaisir en quelques poignées de secondes. Il faut dire que j’étais au comble de l’excitation !
Pas de jaloux, les deux m’ont burinée, matraquée, assommée de coups de bite en position du missionnaire, en levrette, en cuillère. J’ai été secouée par au moins quatre orgasmes, ne sachant plus qui me les dispensait. J’ai eu le droit à deux belles giclées de sperme, itou pour les textures et les goûts, j’ai immédiatement repéré le foutre nuptial sans pour le moins délaisser la semence du beau-frère, légèrement acide, un régal.
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