Par tous les seins !

La rédaction 5 septembre 2021
SOS mes deux seins...

Mes seins ont bien longtemps été pour moi un sujet de complexes, de pudeur mal placée et de désagréments. Quand j’étais ado, ma généreuse poitrine se cachait difficilement sous des bonnets C. D’ailleurs, la découverte de ma sexualité et de ses plaisirs charnels associés s’est faite presque sans eux, tant je voulais nier leur présence. Aujourd’hui, j’arbore fièrement un 100 D, voire 100 E mais, chose extraordinaire, depuis que je suis mère, ma poitrine a commencé à générer un plaisir que je ne soupçonnais pas. Est-ce le sentiment de maternité ou bien un changement hormonal tardif ? Quoiqu’il en soit, je tiens à vous partager mon histoire porno. Je m’appelle Mathilde, j’ai 33 ans et voici mon récit.

Sensation incontrolable

Depuis, mes seins réagissent à la moindre caresse ou au moindre effleurement pour m’envoyer des décharges de plaisir dans le bas du dos. Leur stimulation active une cascade de réactions qui vont de mon cerveau à mon entrecuisse. Afin de rattraper le temps perdu, j’avoue m’être plongée dans les délices de la masturbation, et mes seins en sont les maîtres d’ouvrage. Cela peut commencer dès le matin, dans la chaleur de mon lit, alors que mon mari dort encore, parfois. Cela se déroule aussi dans mon bain ; je touche mes tétons, je les agace, je les pince. Dans la vapeur chaude, tout finit en une masturbation frénétique. Il m’arrive parfois d’arriver à l’orgasme rien qu’en touchant mes seins.

Pour des raisons professionnelles, je fais beaucoup de voiture. Au volant, mes deux « airbags » savent aussi se rappeler à moi et taquiner les démons de mon désir… Seule ou attendant que mon passager de mari soit assoupi, je glisse un crayon dans la poche de mon chemisier, ou la branche de mes lunettes de soleil dans l’échancrure de mon décolleté. L’artifice est efficace, la caresse est discrète et s’apparente à un délicieux agacement mais déclenche immanquablement un torrent d’excitation entre mes cuisses. Au comble de l’énervement, je n’hésite même plus à ralentir au niveau des camions que je double pour laisser deviner au chauffeur la nature de mes caresses, et lui offrir une vue plongeante dans mon décolleté, jusqu’à en faire jaillir l’aréole et le téton. Cette audace me vaut parfois des appels de phares insistants auxquels j’échappe par une accélération coupable.

Prête à franchir le cap

L’autre jour, j’ai imprudemment laissé l’orgasme monter et s’emparer de moi. Submergée par les secousses du plaisir que je ne pouvais plus contenir, agrippée à mon volant, j’ai dû ralentir sévèrement. Mon mari s’est réveillé en sursaut. J’ai feint une brusque fatigue pour enfin lui laisser le volant…

Plutôt tranquille, ma vie conjugale s’est pimentée avec la lecture périodique de votre revue. Éléments perturbateurs, mes seins aimeraient néanmoins que mon mari leur accorde plus d’attention et de fougue. En vain. Mes vilains nénés coquins se sont donc tournés vers un de mes jeunes collègues de boulot, de dix ans mon cadet.

Dès qu’il entre dans l’agence, je sens mes seins respirer plus amplement et mes tétons pointer leur museau érectile. Le jeune homme ne semble pas insensible aux oeillades de ma poitrine avide, et il glisse sur moi un regard qui me conforte dans ma féminité. Dans moins d’un mois, un dîner avec les collègues de l’agence est prévu, et je pressens que mes seins appétissants lui serviront de dessert. Je ne ferai en tout cas rien pour m’y soustraire. J’y suis résolue ; j’en mouille d’avance.

Dans l’attente de vous raconter leurs prochaines aventures, mes doux nénés se joignent à moi pour vous embrasser tous et cosigner ce courrier.

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