Un chauve bien équipé

Vous savez ce qu’on dit des chauves ? Qu’ils en ont une grosse ! C’est, je crois, une histoire de taux de testostérone qui ferait tomber les cheveux prématurément, mais qui conférerait aux « peaux de fesse » une compensation de mère Nature. Je n’avais jamais vérifié cet adage populaire jusqu’à ce soir de fin d’année et cette histoire de sexe. Nous avions été conviés à une fête organisée par un ami de Tommy, mon compagnon, dans une villa magnifique, dotée d’une piscine intérieure. Une fois les autres invités partis, Quentin, le propriétaire, nous a proposé un bain de minuit. Évidemment je n’avais pas de maillot, mais je n’ai jamais été pudique et je me suis jetée la première dans l’eau entièrement à poil, les hommes ont suivi. C’est lorsque je me suis retournée que j’ai vu ! Quel engin ! Mon compagnon a compris tout de suite et a commencé à faire des longueurs, m’autorisant de façon muette à aller flirter avec notre hôte.

Quentin a très vite capté que j’avais un blanc-seing et m’a pelotée immédiatement après que je lui ai frôlé la pine. Il s’est mis à bander aussitôt et j’ai pu tâter le volume de la bête, je pouvais à peine en faire le tour avec ma main. Nous nous sommes roulé une pelle et j’ai vu Tommy sortir de l’eau, lui aussi en érection, je savais qu’il allait rapidement se sécher et prendre son appareil photo pour immortaliser cet imprévu qui se présentait sous les meilleurs auspices.

Baisée par une énorme queue

Nous l’avons suivi, Quentin m’a essuyée avec beaucoup d’application puis m’a tendu la serviette pour que je lui rende la pareille, je ne me suis pas privée d’insister sur son chibre qui avait encore grossi hors de la fraîcheur de l’eau. Une fois sur le grand canapé en cuir, je me suis précipitée sur l’énorme queue. Quentin me tenait fermement par les cheveux, faisant mine de m’empêcher de m’en emparer entièrement avec la bouche puis poussant sur son bassin pour m’enfoncer son braquemart tout au fond de la gorge. Juste en face de moi s’était positionné Tommy, qui prenait des photos en rafale de cette pipe folle. Les deux mains sur la hampe, je branlais l’imposant manche tout en lutinant le gland qui dégorgeait un suc salé et épais.

Mon amant m’a demandé si je désirais un cunni, mais je préférais largement passer directement aux choses sérieuses. Je voulais qu’il me la mette et qu’il me baise de toutes ses forces. Mon vœu a été exaucé, les bras musclés m’ont soulevée du sol et m’ont déposée, en position assise, juste au-dessus de la colonne gigantesque. Elle est rentrée en moi d’un coup, j’en ai eu le souffle coupé, je n’avais été remplie ainsi que par quelques hommes et un jouet sexuel !

Mon compagnon participe 

Les coups de reins m’ont littéralement propulsée, je retombais telle la boule d’un bilboquet, mes seins dansaient et rebondissaient. Mon mec, installé dans un fauteuil, bandait à mort, mais était si absorbé par sa tâche de photographe qu’il en a oublié de se branler ! Quentin m’a fait basculer sur le côté et m’a prise en cuillère, les bras en étau autour de mon cul et de mes hanches. Les coups de bites se sont déchaînés jusqu’à ce que je jouisse intensément. S’en est suivie une levrette aussi terrible que le reste. Dans cette position, l’échine bien cambrée, la queue de Quentin me pénétrait encore plus à fond, il me fouillait, me perçait, c’était volcanique, que j’aime le sexe lorsqu’il est ainsi sauvage et lancé à plein régime !

J’ai écarté les fesses au maximum, je souhaitais exciter mon baiseur comme jamais, sans même me tenir, il m’a ruinée, mes genoux s’enfonçaient dans le cuir épais du canapé, ma fente chauffait et j’ai entendu mon compagnon chuchoter quelque chose à l’oreille de Quentin. Je n’ai pas mis longtemps à comprendre… Et, dans la foulée, j’ai senti des chatouilles autour de mon petit trou, je ne sais pas qui m’a doigté le cul, mais dès que mon anneau a été dilaté, j’ai explosé dans un second orgasme encore plus fort que le précédent.

Le

Pour le final, j’ai été quasi désarticulée (heureusement que je suis souple), Tommy voulait un angle de vue où l’on apercevait bien ma cramouille ouverte et mes seins, une cheville dans la poigne de fer de Quentin et il m’a démontée encore une fois dans cette posture acrobatique. Mon sourire indiquait aux hommes à quel point je me sentais bien et quel plaisir je ressentais à m’offrir ainsi. Je n’ai pas joui, j’avais trop mal aux cuisses, mais Quentin, lui, s’est régalé du panorama qu’il lui était donné d’admirer, il a poussé un grand râle et a lâché tout son foutre au creux de mon sexe distendu. Le sperme a coulé jusqu’à ma rondelle !

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