Une guide touristique qui donne la trique
6 mars 2025Victoire, 27 ans, étudiante, aide un groupe de Français en Belgique. Mais qui a dit que les guides ne pouvaient pas être aussi guidées…au 7ème ciel ?

Victoire à une intéressante histoire de sexe passée avec un beau français à nous raconter !
Je suis Belge, attention, Belge wallonne, donc francophone et j’aime les gros canons français ! Et ce n’est pas ça qui manque, le tourisme est une manne pour ma ville et cela tombe bien, je suis guide, étudiante en histoire spécialisée dans les guerres napoléoniennes. Alors certes, pour les Français, Waterloo rime avec défaite, mais quand un compatriote de l’hexagone me rencontre, c’est clairement une victoire … comme mon prénom !
La guide vous fait visiter…
Le dernier ? Anthelme ! Il a craqué sur ma jupe en tartan et mes tétons conquérants qui pointaient crânement sous un croptop. Il s’est approché pour me draguer, le rouge aux joues, je suis sûr qu’il n’en revient toujours pas que je lui aie proposé de venir chez moi. J’ai commencé un strip-tease en l’invitant à me prendre en photo, j’ai alors aperçu un tipi se dresser sous son short. Après avoir lentement descendu ma culotte, j’ai ôté tous mes vêtements et je l’ai déshabillé entièrement. C’est là que je suis tombée en arrêt, sa queue était monumentale, une des plus grosses que j’ai vue de ma vie ! Un braquemart long comme mon avant-bras et épais tel un rouleau à pâtisserie. Je n’ai pas hésité une seconde pourtant et j’ai mis ce gros éclair directement dans ma bouche. Agenouillée devant Anthelme, je me suis appliquée à lécher sa hampe, sucer ses énormes boules tout en exhibant le mieux possible mes petits nichons. Ils sont menus c’est un fait, cela dit, tous mes amants m’ont toujours dit qu’ils adoraient mes bouts qui pointent et mes mamelons gonflés de désir.
Fellation et sodomie pour la route
Cette fellation – ou ce qui s’en rapproche le plus, vu la taille du bazar – terminée, j’ai demandé à Anthelme de s’allonger sur le carrelage froid et, de nouveau, j’ai pu observer ses beaux yeux bleus et expressifs qui s’écarquillaient. Car ce n’est pas dans ma chatte que j’ai enfilé son pénis XXL, mais dans mon cul. Je le confesse aisément, je suis une fan absolue de sodomie et … plus la bite est grosse, plus elle me dilate l’anus et plus je prends mon pied !
Installée à califourchon sur mon amant, j’ai dompté l’hydre fantastique, faisant pénétrer le gland oblong, le calant bien dans mon anneau et soufflant pour le laisser coulisser. Toute la colonne de chair était bandée à en exploser. Mais je n’étais pas assez lubrifiée du petit trou pour être vraiment dans les meilleures conditions.J’ai ressorti le chibre de mon anus et pris le temps de le recouvrir de ma mouille. La tâche a été assez longue, mais le jeu en a valu la chandelle. Cette fois bien huilée, la bite est entrée toute seule jusqu’à la garde, m’arrachant un hoquet de surprise et de bonheur. J’ai posé mes doigts sur mon bourgeon, le combo parfait pour une histoire de sexe orgasmique, clitoris et enculage profond !
Successions d’orgasmes
Le diamètre du burin qui me perforait les fesses me dilatait à l’extrême, j’étais au septième ciel. Anthelme a fermé les yeux pendant quelques secondes, j’ai cru que la fête était finie et qu’il allait me juter dans le trou du cul, mais pas du tout, j’ai pu commencer à monter et descendre sur ce cylindre jusqu’à obtenir un orgasme qui m’a secouée des orteils au cuir chevelu.
Il m’a fallu quelques minutes pour revenir à moi. J’étais assise sur le bassin d’Anthelme, son pieu toujours profondément fiché en moi. Je me suis relevée doucement et j’ai offert mon petit cul en levrette. Quelques secondes plus tard, je recevais une alternance de coups de queue, une fois dans la chatte, l’autre dans mon anus encore vibrant. J’ai repris ma masturbation clitoridienne et me suis laissé porter jusqu’aux rivages ensoleillés d’un second orgasme, moins intense, mais presque plus plaisant que le premier, plus pénétrant, quasi plus épanouissant.
Et mes tétons ?
Anthelme s’est alors intéressé à mes seins, enfin ! J’avais cru, jusque-là, que je n’étais qu’un trou. Cela ne me dérange pas outre mesure, du moment que je prends mon pied, mais, mes nichons adorent être cajolés, sucés, pincés, c’est une zone très érogène chez moi. Mon amant a été d’une gourmandise folle, j’avais même du sirop de Liège à portée de main, j’en ai nappé mes mamelons et me suis laissé déguster avec délectation.
Flot de foutre
J’ai dit à Anthelme que, moi aussi, j’avais envie de ma dose de mélasse. Il a tout de suite compris mon allusion graveleuse et s’est remis debout afin de glisser sa queue entre mes lèvres. J’ai tenté plusieurs approches sur ses couilles, la bonne s’est révélée la plus simple, des effleurements du bout des ongles sans oublier un jeu de regards complices. Un flot de foutre a giclé dans ma bouche, j’ai tout avalé. Anthelme est resté chez moi tout le week-end et doit revenir très bientôt, j’ai hâte ! Voici une des histoires de sexe les plus marquantes !
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