Infidélité et photos de cul !

Bonjour, moi c’est Thibault, voici mon histoire de sexe. En dehors de mon mariage, j’avais commencé à fréquenter une femme que j’avais rencontrée sur Internet. C’était un peu un fantasme pour moi car cette femme, Adela, avait une page sur laquelle elle postait des photos dénudées pour se faire plaisir et pour ravir l’oeil concupiscent des internautes. Elle cachait son visage dessus, mais dévoilait ses formes, son cul et ses seins en prenant soin de cacher les tétons pour éviter la censure de l’algorithme. C’était sa manière à elle de s’érotiser et de s’exciter, et ça lui donnait encore plus de libido, de savoir que des mecs se masturbaient vraisemblablement sur ses photos postées sur les réseaux sociaux.

Ça bande fort !

Je lui ai envoyé un message privé et pour lui dire à quel point j’admirais ses photos et sa beauté. Elle m’a répondu qu’en temps normal, elle ne répondait jamais à ses fans, mais qu’aujourd’hui elle avait décidé d’échanger avec un mec au hasard, pour voir ce que ça donnerait. C’était tombé sur moi et elle était donc d’accord pour engager la conversation. Comme j’aime beaucoup l’écrit, je lui ai fait des messages en série pour essayer de la faire sourire et d’alimenter la discussion. Résultat, nous avons parlé toute la journée, jusqu’à échanger des textos assez chauds. Elle a fini par me dire l’objet de son petit pari : “J’aimerais trouver un mec avec qui faire quelques photos un peu chaudes pour un compte sur un autre réseau social un peu plus olé olé.” Imaginez comme mon fantasme devenait réalité !

Elle m’a demandé de lui envoyer des photos de moi, y compris de mes parties intimes, pour jauger la marchandise. Elle a eu l’air satisfaite et elle m’a dit de la rejoindre. Je suis arrivé chez elle et Adela était là, en jean et petit haut moulant. Une bombe absolue et un visage ravissant, comme je l’avais imaginée. Elle s’est montrée aussi taquine que par messages, mais je savais que l’objet de ma venue était de m’utiliser comme faire-valoir pour plaire à sa communauté et nous mettre en scène sur ses réseaux sociaux. J’avais hâte de voir la suite.

Adela m’a fait asseoir dans la pièce de sa maison qu’elle dédiait à ses activités en ligne. Un petit boudoir avec canapé et banquette pour poser, une sorte de mini-studio photo, du matos en pagaille, un gros ordinateur. Elle faisait ça de manière hyper pro ! J’étais impressionné. Elle m’a mis à l’aise et m’a servi un verre de vin. Je me suis installé sur la banquette. Nous avons discuté, jusqu’à ce que sa main atterrisse sur mon entrejambe. Elle a senti que j’étais déjà dur, à force d’anticiper ce qui allait suivre. Elle a glissé sur le sol entre mes cuisses pour jauger mon érection. Elle a sorti ma queue de sa cage sans autre forme de préambule.

Elle m’a mis un appareil photo dans les mains. “Vas-y, prends-moi.” Mon sexe s’est fiché dans sa bouche. Elle avait pensé aux détails qui feraient mouche : ses ongles peints en chocolat, sa bouche maquillée de rouge cerise qui formait comme un petit matelas sensuel autour de ma queue dressée. J’ai anglé la prise de vue sur ses doigts et sa bouche qui entouraient ma grosseur. Voir cette image dans le cadre et la voir aussi de mes propres yeux quand j’abaissais l’appareil photo était grisant. Je la trouvais si libre et si belle ! J’étais envoûté par son charme et je la laissais faire ce qu’elle voulait de moi. Elle s’est allongée sur la banquette pour se mettre à se caresser.

Orgasme garanti

Elle était désormais toute nue et elle m’a dit de me mettre au bas du matelas, entre ses jambes, pour photographier son corps en contre-plongée. Je pouvais voir ses lèvres intimes, aussi sensuelles que celles de sa bouche, ses seins en demie-pomme comme deux petits monts ravissants. Pas étonnant que ses abonnés deviennent fous d’elle. Ce corps désirant mis en scène était captivant. Elle m’a autorisé à poser mon sexe à l’entrée du sien, pour une photo. L’image était très excitante, comme un prélude à une pénétration passionnée. Nous en sommes restés là pour ce jour-là, mais Adela m’a dit de revenir le lendemain. Elle m’a dit que nous irions plus loin.

Je suis revenu, obéissant à ma nouvelle maîtresse. Elle avait changé de vernis à ongles. Cette fois, il était orange vif et je me suis dit que ce serait très joli sur les photos. Elle m’a accueilli alors qu’elle était déjà toute nue. Je l’ai suivie et elle s’est allongée sur le lit où j’ai dû la prendre en photo sous toutes les coutures, jambes balancées derrière la tête, ses doigts écartant son sexe. C’était un supplice de Tantale, de la voir ainsi sans pouvoir lui faire l’amour. En même temps, cette frustration avait un goût délicieux. Ensuite, elle a eu envie de s’occuper de moi. Elle m’a fait m’allonger et m’a touché autour des couilles, en se rapprochant petit à petit de mon sexe. Cette attente m’avait rendu pantelant. J’ai pris des photos de ses mains sur moi. J’aurais pu m’en contenter. Elle a voulu une photo d’elle en train de me branler avec ses pieds et ses mains vernis, en même temps. Je n’avais jamais fait cela, mais j’ai trouvé l’expérience très agréable.

Adela a fait couler un bain moussant dans lequel elle m’a sucé au milieu de la mousse et où nous avons fait de jolies photos. Mettre du beau dans le sexe de cette manière me paraissait une pratique sexuelle à part entière. Pour finir, Adela m’a montré encore sa fibre exhibe en me proposant de me sucer dans le parc à côté de chez elle. Ce que nous avons fait et où elle m’a gratifié d’un orgasme puissant qui a coulé dans sa bouche… Un beau souvenir qui est venu couronner cette rencontre grandiose.

À lire aussi :

Deux hommes offerts à Angèle

Le deuxième effet « Cap d’Agde »

Leçon particulière mouillée