Les trésors de la forêt
31 mars 2019Francis, 45 ans, Tours.
C’était un matin de septembre dans la forêt proche, à l’époque et dans un lieu où l’on cherche des champignons. La sécheresse les avait rendus rares et, à part quelques cèpes, je ne savais pas encore que j’allais trouver autre chose…
Après avoir erré dans les sous-bois plusieurs heures, j’abandonne ma recherche et je coupe au plus court dans les taillis pour rejoindre le parking. Devant moi, deux silhouettes assises sur un tronc abattu. C’est un couple que j’avais croisé un peu plus tôt et qui m’avait dit bonjour aimablement. Ils me regardent marcher et me saluent à nouveau avec une certaine insistance quand j’arrive à leur hauteur. Je m’arrête pour leur répondre et je les détaille un peu mieux : lui, un look d’empereur romain et elle, fière prestance bourgeoise avec quelque chose de voluptueux, un décolleté que j’imagine vertigineux et une jupe ample qu’elle a retroussée sur ses bottes ; je ne peux pas m’empêcher de regarder ses jambes, assez belles d’ailleurs, et elle a certainement suivi mon regard.
« Vous avez trouvé votre bonheur ? » L’homme semble vouloir nouer la conversation. Pourquoi pas ? Ils ont l’air sympa et je ne suis pas pressé. Je leur réponds et je m’accroupis pour ouvrir mon sac par terre. Je leur montre ma maigre récolte : trois ou quatre cèpes. En relevant les yeux, mon regard passe sur les jambes de la dame ; dans ma position, j’ai une vue directe sur ses cuisses découvertes. Gêné, je n’ose pas m’attarder mais il me faut faire un effort pour regarder ailleurs. Ailleurs, ce sont ses yeux à elle et, indiscutablement, ils invitent. Sourires, regards qui se croisent, qui se détournent, qui se retrouvent, fugaces mais insistants… Une langue sensuelle qu’elle passe sur ses lèvres et, dans le même mouvement, elle écarte les jambes. Choc ! Elle ne porte rien sous sa jupe ; je ne vois pas sa fente, mais j’aperçois les courbes de ses cuisses et l’esquisse de sa toison. Je suis fasciné par ce qu’elle montre et gêné par la présence de l’homme (époux ? Amant ?) mais cette fois, je ne peux pas regarder ailleurs.
Tout ça a duré moins d’une minute, mais je suis tendu, excité, et j’ai les mains qui tremblent. Cette femme inconnue et troublante, l’isolement du sous-bois, l’invitation muette et pressante, peut-être aussi, finalement, la présence du « mari », tout ça m’affole ; j’ai chaud, je dois être rouge, je bande un peu dans mon pantalon. Toujours accroupi, les yeux fixés sur ses cuisses découvertes, j’essaye de l’imaginer plus haut, humide et ouverte, je ne veux surtout pas me relever pour ne pas perdre le spectacle. Il faut que je trouve quelque chose à dire. C’est lui qui me sauve : « En effet, vous n’en avez pas récolté beaucoup. Mais il y a d’autres trésors dans la forêt, vous savez ? » Il faut bien que je tourne les yeux vers lui. Il a tout suivi, bien sûr, et il me sourit avec une sorte de complicité engageante.
« Comment la trouvez-vous ? Elle est belle, non ? Vous les voyez, ses trésors ? Elle aime les offrir aux gens qui lui plaisent, profitez-en. » C’est direct. Un peu surprenant mais engageant, et ça brise en moi le vernis de civilité qui me retenait. Puis il se penche et murmure : « Elle a envie de vous. Elle me l’a dit tout à l’heure quand nous nous sommes croisés et depuis, nous fantasmons sur vous. Je suppose que vous avez envie d’elle aussi… et j’aimerais que vous la preniez devant moi. » Elle me regarde toujours avec une sorte de tendresse et m’invite du même sourire. Elle se penche en arrière et écarte ses cuisses. Je devine sa fente rose sous une toison brune ; j’imagine qu’elle mouille et j’ai envie de la voir encore mieux, de connaître son goût et son odeur, d’entendre ses soupirs, de savoir la forme de son clitoris et de ses lèvres.
Je me retrouve à genoux entre ses jambes, le visage entre ses cuisses et je sens son parfum. Il s’est levé, est venu s’accroupir à côté de moi pour la regarder aussi. C’est extrêmement excitant qu’il soit là, à m’offrir sa femme avec une complicité douce, et je ressens très fort le trouble que nous partageons. Il me pose une main sur l’épaule et, dans un murmure rauque, il m’invite à la toucher. Tout à mon envie de prolonger le spectacle, je ne réagis pas immédiatement. Il me prend la main doucement et fermement pour la diriger vers les jambes ouvertes comme un écrin dévoilant un bijou. Je la touche. Je caresse d’abord l’intérieur de ses cuisses puis, du bout de mes pouces, j’écarte ses lèvres. Elles sont roses et humides, plutôt petites et, sous mes doigts, elles s’entrouvrent sur son trou. J’essaye de faire durer cet instant magique de la découverte et, très doucement, je décalotte son clitoris; il pointe, gros et dur comme une petite bite. Elle a les yeux fermés et gémit un peu. Elle se cambre et avance ses hanches vers moi. À côté, son homme souffle bruyamment.
Il a défait son pantalon et se caresse dedans. En deux temps trois mouvements j’ai baissé le mien et sorti ma queue; je bande comme un taureau et je suis aussi mouillé qu’elle. Tout en me décalottant, j’avance ma bouche vers sa chatte et je me jette sur elle presque goulûment. Je plonge ma langue dans un nectar de désir, chaud, humide, un peu sucré; j’aspire son clito et je le tète avidement, je fouille ses lèvres, j’explore son trou, pendant qu’elle tient ma tête et qu’elle la presse sur son sexe. J’ai envie de la mordre, j’ai envie qu’elle m’inonde. Elle jouit avec un râle si puissant qu’il me surprend. Elle se balance d’avant en arrière avec violence, et son cri n’en finit pas de faire vibrer la forêt.
Elle tient ma tête si fort que je m’étouffe puis, après une bonne minute, elle s’apaise enfin et me relâche pour s’affaisser, alanguie, palpitante et essoufflée. « Oh la la, c’était… C’était… » Je n’avais jamais entendu un tel compliment ! Lui a sorti sa queue et se branle frénétiquement. Il est rouge de désir et répète plusieurs fois : « Il ne faut pas que je jouisse, pas maintenant… » À qui dit-il ça ? Elle a rouvert les yeux, et me regarde avec étonnement, encore essoufflée.
Elle défait son corsage et laisse sortir ses seins, gros et lourds. Elle les caresse un moment en me matant. Puis elle me lance avidement : « Baise-moi maintenant, prends-moi en levrette. Fais-moi encore jouir, défonce-moi. » Retroussant sa jupe sur des fesses pleines et rondes, elle se met à quatre pattes, la tête presqu’à terre, et offre sa vulve gonflée et humide au regard des deux hommes qui se branlent en l’admirant. « Cyril, attrape sa grosse queue et mets-la dans ma chatte. » « Viens, prends-la », me dit-il, et il me pousse vers le trou qui m’attend. Il saisit ma tige dans sa main chaude et douce et me décalotte à fond. Puis, il la guide dans le sexe de sa femme et, quand elle est juste au bord, il pousse mes reins. « Vas-y baise-la. Elle est belle ta queue, elle va la faire jouir » Il accompagne mes va-et-vient en guidant mes reins, tout en continuant à se branler. Il regarde ma bite qui entre et sort. Le clapotis humide de nos sexes le met en transe : « Écoute ce bruit. C’est le bruit de son plaisir ; elle mouille ; elle aime ça. Fais-lui du bien. » Il lâche mes reins pour lui caresser les seins et il semble savoir s’y prendre : elle jouit à nouveau avec le même rugissement étouffé sur un « Oui, oui, oui » langoureux, puis elle jouit encore et encore, au moins quatre fois, presque sans discontinuer.
Je n’en peux plus. Je ruisselle de sueur, et les brindilles me labourent les rotules. Je suis au bord de l’orgasme depuis un bon moment et je parviens de justesse à me contrôler. « Excuse-moi, j’arrête un instant… » et je m’écroule, à bout de souffle, dans les fougères. Elle se relève et se penche sur moi pour embrasser mes lèvres avec une violence contenue. « Oh c’était bon, tu sais. Elle est bonne ta queue, je veux l’avoir un peu à présent. » Elle se penche pour me sucer, mais le dénommé Cyril intervient : « Non, laisse-la-moi, elle a le goût de ta chatte maintenant, je ne veux pas rater ça. » Et, s’adressant à moi : « Ça te gêne si je te pompe ? J’en ai très envie. Tu as déjà été sucé par un homme ? — Non… Et je n’imaginais pas que ça puisse arriver. Mais ça ne me dérange pas. » Je crois que rien ne m’aurait embarrassé à ce moment-là, ni la fin du monde, ni les caméras de TF1 ! Je me mets sur le dos.
Il engloutit ma verge et me suce avec un savoir-faire étonnant que peu de femmes possèdent, tout en me tripotant les couilles. Sa belle vient se mettre à califourchon au-dessus de mon visage et se branle le clito en m’offrant sa fente : « Tu aimes regarder ma chatte hein, alors vas-y tu l’as mérité. Je vais la faire jouir pour toi et couler sur ton visage. » Son orgasme arrive brusquement, aussi violent que les autres. Elle se rejette en arrière avec son ronronnement puissant, et enfonce deux de ses doigts au plus profond de son vagin. Je suis au bord de l’explosion. Il me suce avec avidité et, à une ou deux reprises, je parviens à l’arrêter juste avant qu’il ne me fasse partir. Depuis combien de temps sommes-nous là ? Une heure ? Plus ? Je ne sais plus. J’ai rarement été aussi excité, et l’idée absurde que mon coeur va lâcher me traverse l’esprit. Je me dégage de l’étreinte de Cyril en relevant sa tête et, allongé sur le dos, je propose de « faire un break ».
Il sourit et fait un signe complice à sa femme qui vient s’empaler sur ma queue, accroupie sur mon ventre comme si elle allait pisser. J’ai soudain envie qu’elle le fasse, qu’elle pisse sur moi pour que je regarde son jet gicler comme une femme se fait inonder de sperme. « C’est un jeu que Mélanie et moi aimons aussi, me dit Cyril. Mais pas ici. Ça ne s’y prête pas. » Accroupie sur moi, sa compagne continue son va-et-vient de balancements de hanches. Cyril se branle d’une main et de l’autre, lui caresse les seins. Ils sont presque face à face et se regardent intensément avec une tendresse que moi- même je perçois. Leurs visages se rapprochent sans que leurs yeux ne se quittent et leurs lèvres se rejoignent, au-dessus de moi, dans un mouvement très lent d’une immense sensualité.
Ils ont quasiment joui ensemble. Mélanie d’abord, d’un cri de poitrine qu’on a senti monter et, aussitôt, son compagnon a explosé dans une éjaculation accompagnée d’un tremblement incoercible. Brutalement, avant même d’avoir fini de jouir, elle s’est dégagée de mon sexe en suppliant : « Pas dans moi, pas maintenant… » Elle sentait bien que c’était mon tour et que j’allais les accompagner dans l’éclair rouge. Avec douceur, elle s’empare de mes boules qu’elle tripote en experte et m’invite à prendre mon plaisir à mon tour : « Vide tes couilles. Branle-toi et fais-toi jouir dans mes mains, pour nous deux que tu as si bien contentés… » Et c’est l’orgasme, vertige étourdissant tourbillon sans fond qui m’aspire, qui m’aspire…
Plus tard, après un ménage sommaire pour retirer les feuilles, les brindilles et les liquides indéfinis, nous avons bavardé un peu. Mélanie a dit s’être dégagée par peur du sida. C’est vrai que, faute de capote, nous n’avions pas été raisonnables. On ne pense pas à tout quand on part en forêt… Nous avons échangé nos numéros de portable. Nous nous sommes séparés en sachant que nous brisions un enchantement qui ne reviendrait plus : celui de la première fois. Mais nous nous sommes revus à plusieurs reprises, avec autant de furie et aussi peu de tabous. Cette année, même s’il ne pleut pas, je retournerai aux champignons…
(Image à la une : Getty Images)
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Du haut de son grand chêne…
« Mon homme a ouvert la porte de la voiture et m’a fait mettre à genoux. Docilement, j’ai obéi. Je l’ai sucé comme une cochonne. » Mélinda.
Un été débridé
« À peine avait-il posé ses fesses près des miennes, que je l’ai embrassé à pleine bouche. Pas envie de minauder plus longtemps en tournant autour du pot, il me fallait un homme pour oublier, effacer, recommencer. » Inès.
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C’est bien connu, c’est dans les vieux plats que l’on fait les meilleures sauces. Une Olivia Del Rio survoltée qui offre ses superbes fesses bombées à Rocco Siffredi et Greg Centauro s’offrant deux superbes nymphes. Que du bonheur !