Sodomie sur le parquet de Versailles

La rédaction 11 octobre 2024

Victoria, 37 ans de Versailles raconte son initiation sexuelle avec interstron.ru. Devenue une grosse coquine elle enchaine les amants. Son péché mignon, la sodomie

J’habite à côté du château le plus célèbre du monde ! Ici le Roi-Soleil vécut, ici, je me fais défoncer le cul ! J’ai découvert très tôt le pouvoir de mon look sage et de mon petit derrière docile. Grâce à lui, j’ai vécu d’extraordinaires histoires de sexe amateur. Si l’on pouvait s’imaginer ce qui se passe dans les lycées, on rougirait dans les salons feutrés de la nouvelle aristocratie !

Mon parcours sexuel

Je me suis initiée au sexe, enfin, au cul, dans les pages d’UNION. Mes parents en étaient des lecteurs invétérés, papa se faisait sucer par maman et par la bonne (sans qu’ils sachent que je les espionnais, évidemment) en lisant à haute voix les témoignages cochons. J’allais fouiner dans leur chambre, dégotais l’interdit magazine et filais dans la salle de bain me chatouiller la cramouille avec le jet de la douche ! J’ai très vite ressenti que mon orifice le plus caché et le plus « dégoûtant » selon ma mère était celui qui, de loin, m’apportait le plus de satisfaction. J’ai très vite découvert aussi que ma chatte giclait fortement quand j’avais un orgasme, comme lorsqu’on fait pipi, mais avec ce délicieux déchirement qui vous étreint la chougne et le cerveau de concert.

Malgré mon look de sainte nitouche, j’ai sucé tout mon lycée et ma fac, quelques profs ainsi que deux ou trois copines aussi curieuses que moi des gourmandises saphiques ! J’ai divorcé deux fois, de deux maris très riches qui ont eu la mauvaise idée de me tromper respectivement avec une secrétaire et une banquière. Je suis donc devenue assez rapidement très à l’aise et totalement indépendante financièrement et sexuellement. Ma réputation m’a très vite devancée et je n’ai eu qu’à récolter les fruits de ma dépravation, les hommes se sont succédé dans mon salon et dans mes orifices. Vous voyez le topo.

Mon amant me sodomise

Mon amant du moment se prénomme Jean-Étienne Perceval de quelque chose, s’il vous plaît ! Des titres de noblesse aussi longs que sa queue, le petit cochon est un vicelard comme j’en ai rarement croisé, un pur bonheur pour une catin telle que moi ! Il aime parfois s’équiper d’un chapelet et d’un gode pour me prendre. Il enfonce profondément le gode dans mon anus avant d’y introduire sa bite.  Il m’a même déjà demandé de le prendre en bouche dans sa Rolls-Royce, le confort de ces vieilles Anglaises ! Mon Dieu, je l’ai pompé jusqu’à la dernière goutte de foutre, ses couilles semblaient avoir diminué de volume après que j’ai tout avalé ! Une fois l’exiguïté (si, si, même dans une Rolls, certaines fantaisies sexuelles rencontrent leurs limites) de l’habitacle trop compliquée à appréhender, nous sommes allés à l’hôtel.

J’ai adoré la tête de Jean-Étienne quand il m’a regardé étaler une fine toile en plastique sur le parquet de la chambre ! C’est au moment où il m’a sodomisée jusqu’à la base de la hampe et que j’ai flaqué, qu’il a compris. Je lui avais demandé de bien vouloir me prendre en photo, il a trouvé « guilleret » cette activité qui venait s’ajouter aux galipettes ! Mais ses clichés sont néanmoins réussis, il n’a pas raté ma rondelle explosée par son pieu, ni mon corps luisant d’huile qui n’attendait que son gros zguègue lourdement veiné de bleu (on ne refait pas lorsqu’on est noble !) me déchirant le fion et les entrailles. Madame sa régulière ne goutte visiblement que fort peu le plaisir d’emprunter la porte de service, Monsieur s’est régalé de l’occasion qui lui était offerte de me défoncer l’anneau sacré !

Langue, phalanges, main tout entière, il a testé mes limites jusqu’à l’extrême ! Son fist, avec ses petites mimines, était délicieux, mais il avait un vrai don pour la sodomie malgré la taille imposante de son machin. Après m’avoir baisée par devant et copieusement doigté l’œil de bronze, il me le léchait, me l’élargissait puis venait y planter sa grosse épée ! Au début cela me coupait le souffle, mais doucement j’ai apprivoisé le sceptre et j’ai eu des orgasmes qui me faisaient éjaculer des quantités impressionnantes de mouille, heureusement la toile était là pour préserver le matelas ou le plancher de cet hôtel de luxe.

En missionnaire, en levrette, à genoux ou bien encore debout, dans la douche, la baignoire, le jacuzzi, cette queue imposante m’a fait jouir à un point que je ne peux qualifier. Mes plus forts orgasmes ? Je les ai connus lorsqu’il me donnait de grandes claques sur les fesses en m’appelant par le prénom de son épouse, ça, ça me faisait encore plus décoller ! Il m’a filmée un jour en me promettant qu’il baiserait sa régulière le soir même en lui montrant la vidéo, je ne l’ai plus jamais revu. Les choses ont du mal tourner, je m’en fiche éperdument, en ce moment je suis en couple avec deux hommes en même temps. Ils viennent de m’annoncer un trio … explosif ! J’ai hâte !

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