Promenons-nous dans les bois…

La rédaction 5 octobre 2024

Lors d’une promenade dans les bois, Maxime tombe sur une femme qui a eu peur d’un animal. Une fois rassurée elle décide de le remercier : pipe et levrette

La Sologne abrite parmi les plus belles forêts de France, les plus giboyeuses et, parfois, les plus surprenantes ! J’étais en week-end chez des amis l’été dernier. Célibataire, je n’avais aucune idée en tête, juste prendre du plaisir avec eux et profiter du bon air de la campagne. Ce fut tout de même l’occasion de partager une histoire de sexe amateur mémorable.

Récompensé d’une fellation

J’étais parti pour une balade sylvestre quand j’ai entendu quelqu’un courir vers moi, une femme blonde en mini-jupe imprimée liberty est sortie des frondaisons et s’est jetée dans mes bras. Elle était blanche comme un linge et, à travers son petit crop-top, je sentais son cœur battre la chamade. Elle s’est finalement remise puis excusée pour la rudesse de notre rencontre et, en riant, s’est présentée « Moi, c’est Gabrielle » tout en m’expliquant qu’elle avait entendu une bête et que j’étais son sauveur. Sur ce, elle m’a roulé une pelle ! Son corps contre le mien se déhanchait, je me suis immédiatement mis à bander. Je ne m’attendais à rien de plus que le fougueux baiser qui avait précédé, mais elle a tâté mon pieu et mes boules à travers mon short et sans préavis, l’a abaissé jusqu’aux chevilles, slip compris ! J’ai voulu l’arrêter de peur d’être tombé dans un traquenard, mais quand elle a fait choir sa jupe tout en ouvrant les lèvres et en m’accueillant dans sa bouche brûlante, j’ai fermé les yeux et je me suis laissé sucer.

Elle m’a pompé un bon moment avant d’étendre son vêtement sur l’herbe haute et m’a demandé de m’y allonger. J’étais tellement abasourdi que j’ai obéis comme un robot, ma bite bien dure lui a servi d’amarre, elle a abaissé son fion bien ferme, a écarté ses nymphes et s’est glissée sur ma queue, je me suis enfoncé dans sa chatte jusqu’aux couilles ! J’ai tiré mon short, pris mon portable et je lui ai mitraillé le cul. Elle se soulevait et se laissait retomber dans des bruits de chair qui s’entrechoquaient, une main caressant parfois mes bourses, parfois son clito. Elle a joui en quelques secondes, tremblante, penchée en avant, gémissant fort et secouant la tête, ses cheveux fendant l’air à quelques centimètres de mon visage. Elle s’est retournée et m’a vu en train de photographier la scène en cours… « Vous êtes un beau petit cochon vous alors, ça vous dirait de me baiser en levrette, vous pourriez m’enculer aussi si vous en avez envie. J’aime bien ça et je sais que ça plaît aux garçons en général, non ? »

Prise en levrette

J’étais effaré, je me suis néanmoins relevé, elle a remis la jupe bien à plat et s’est foutue à quatre pattes dessus, me présentant son beau derche. Gabrielle s’est penchée en avant, a écarté ses fesses et m’a livré ses deux orifices dont le plus secret. J’ai repris le chemin de son vagin, celui-ci était onctueux, extrêmement étroit, les parois épousaient parfaitement les contours de mon gland et de ma hampe. Elles massaient doucement le dessous de mes boules tandis que mes coups de reins devenaient de plus en plus puissants. J’ai caressé ses deux grosses mappemondes tout en rapprochant mes effleurements de son anus, un puits sombre et profond, déjà lubrifié par sa mouille abondante. J’y ai glissé un pouce, lentement, comme ça, pour tâter le terrain, Gabrielle n’avait visiblement pas changé d’avis puisque, dès qu’elle a senti mon doigt, elle m’a réinvité à y aller franchement. « Allez-y, enculez-moi si vous en avez envie, jouissez-moi dans le cul si ça vous chante même. » J’ai sorti mon gros braquemart de sa fente toute poisseuse et j’ai craché sur sa rondelle, j’y ai fait entrer deux doigts pour bien ouvrir le cul de cette beauté, le trou s’est laissé faire, docile et souple, puis j’y ai glissé ma pine tout entière.

J’ai capturé le moment où ma queue était à moitié enfoncée dans cet anneau serré et j’ai lâché mon téléphone pour laisser mon corps s’exprimer à plein régime. Gabrielle criait que c’était bon, elle me tâtait les couilles entre ses cuisses et m’encourageait à lui défoncer la pastille. J’ai tellement agrippé ses fesses que j’y ai imprimé des marques, surtout au moment où j’ai éjaculé. Mon amante miraculeuse a compris que je lui giclais dans le cul, elle m’a ceinturé les bourses et je me suis vidé dans son rectum. Je bandais encore très fort, je suis resté un moment enfoncé dans ce moelleux qui me tenait en étau, mais je n’en avais pas assez. Une fois ma pine de nouveau à l’air libre, je me suis masturbé et demandant à Gabrielle d’en faire de même, allongée à mes pieds. J’ai juté une seconde fois, cette fois-ci dans la bouche de cette fée des bois. Elle a tout avalé, s’est rhabillée aussi vite qu’elle s’était dénudée et s’est évaporée entre les arbres. Je suis resté là un moment, totalement éberlué, ma raison contredisant ma bite qui, c’est sûr, avait bien profité.

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