Jouissance marocaine
14 février 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/02/histoire-de-sexe-jouissance-marocaine.jpg)
Coucou les interstron.ruistes, j’espère que vous allez bien ! Voici mon histoire de sexe amateur. Cet été, mes vacances devaient être parfaites. J’avais tout planifié : un voyage d’une semaine à Marrakech dans un hôtel de malade, avec un nouveau mec, Benjamin, qui semblait prometteur. Un beau gosse friqué, un peu trop obsédé par sa carrière, mais tout de même bien à fond sur moi. J’avais imaginé les balades dans les souks, les dîners aux chandelles et les soirées sur la terrasse de notre chambre, face à la ville illuminée. Tout était prêt. Mais bien sûr, rien ne se passe jamais comme prévu dans la vie !
Invitation fellation et coup de langue
À la dernière minute, ce tocard de Benjamin m’a fait faux bond. Et pour prévenir, il m’a juste envoyé un SMS quand j’étais à l’aéroport, même pas un coup de fil ! Il m’a balancé qu’il ne pouvait pas venir à cause d’un truc de taf. Dégoutée. Mais contrairement à toute attente, il ne m’a pas lâchée… Dès mon arrivée, il n’a pas arrêté de m’envoyer des SMS pour me chauffer, « Ton cul me manque », « Je bande fort sous la douche en pensant à toi… » Comme si tout ça n’était qu’un jeu pour lui ! J’étais furieuse, mais je n’allais pas laisser un crétin gâcher mes vacances.
Alors j’ai décidé de me débrouiller autrement. À l’hôtel, j’ai rencontré Sofiane qui travaillait dans l’hôtel comme garçon d’étage. La quarantaine, cheveux grisonnants bien coiffés, du genre poli, attentionné, et surtout, il avait ce regard qui ne trompe pas. De beaux yeux noisette qui pétillaient quand je remontais dans ma chambre. Je l’ai séduit à coups de sourires plein de sous-entendus et en mettant mes plus jolies robes moulantes, à onduler devant lui en remontant le couloir… Son regard sur mon cul a agi comme le meilleur des aphrodisiaques ! Après tout, pourquoi me priver ? J’avais une chambre de rêve, un lit immense et toute la semaine devant moi.
Le troisième soir, après un cocktail bien dosé au bord de la piscine, je suis remontée à ma chambre. J’étais détendue, libre et je me sentais follement sexuelle. Quand les portes de l’ascenseur se sont ouvertes et que Sofiane m’a vue, il a plissé ses yeux noisette. Ma robe en satin noir épousait mes formes, mon décolleté était moite de la chaleur de la nuit marocaine… J’ai souri et remonté le couloir avant de me retourner vers lui. Il a compris. Je suis entrée dans la chambre en laissant la porte ouverte, dos à lui et j’ai laissé glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. Quelques secondes après, j’ai entendu la porte claquer et Sofiane qui s’approchait lentement de moi.
Il a écarté mes longs cheveux pour dégager ma nuque et m’embrasser dans le cou. Puis il est descendu, mes épaules, mes reins, mon cul… Quand il a plongé sa langue entre mes fesses, j’ai senti mes genoux me lâcher. Un instant plus tard, j’étais à ses pieds, lui à nouveau dressé devant moi. J’ai englouti son sexe, assoiffée de lui. Dans ma tête, Benjamin était en train de me regarder et j’ai tout fait pour qu’il regrette de ne pas être à la place de Sofiane !
De sa voix grave, le beau gosse m’a proposé de m’allonger sur le lit. À quatre pattes, je me suis exhibée sous ses yeux et j’ai commencé à me caresser. Derrière, il n’en perdait pas une miette ! De temps en temps, je jetais un coup d’œil vers lui : il se branlait avec de grands mouvements de haut en bas et déjà, je l’imaginais m’attraper par les hanches puis donner les premiers coups de boutoir.
Aventure avec le garçon d’hôtel
Quand Sofiane m’a prise, j’ai poussé un soupir de soulagement. Enfin ! Je me suis laissé enfiler lentement, en profitant de chaque nouveau centimètre entre mes lèvres. Sofiane a continué à bien prendre son temps, tête baissée vers mon postérieur, promenant ses mains partout sur et entre mes fesses. Du bout de son pouce et en continuant de me baiser, il a caressé mon anus et j’ai senti comme un courant électrique dans toute la zone ! Pour cette première, cela a suffi à nous propulser de concert dans les délicieuses ondes de l’orgasme.
Le lendemain soir, j’ai de nouveau invité Sofiane dans ma chambre. Cette fois, nous avons fait l’amour plus fort, plus vite et j’ai joui avant lui tellement ses coups de reins étaient intenses. Il s’est retenu, et quand j’ai roulé sur le lit après l’orgasme, il s’est allongé près de moi avant de ramasser mes cheveux en queue de cheval… J’ai compris et me suis exécutée : une belle pipe gourmande qui s’est terminée dans ma bouche, pas une goutte pour les draps ! Mais l’apothéose a eu lieu la veille de mon départ. Cette nuit-là, Sofiane a encore titillé mon trou le plus étroit avec son pouce. Chauffée à blanc, je me suis entendu lui dire « Baise-moi ».
Ma voix était grave, le désir était si fort que j’ai cru devenir folle à attendre qu’il se mette en position, puis qu’il me titille encore et encore avec ses doigts… Lui aussi voulait jouer avec moi ? J’ai gémi comme une chatte en chaleur et joué de la croupe jusqu’à ce qu’il craque. J’étais tellement excitée et son gland si humide qu’il a introduit les premiers centimètres sans difficulté. Puis il m’a attrapée par les hanches et m’a fait venir de plus en plus profondément sur lui en poussant des râles de bête. Lui, jusqu’ici toujours sous contrôle, a totalement lâché prise, ses mains se sont crispées et il m’a fait coulisser plus vite, encore plus vite !
J’ai joui à la seconde où j’ai senti sa queue exploser dans mon cul et j’ai dû mordre un coussin pour ne pas rameuter la sécurité de l’hôtel ! Cette fois, Sofiane a dormi contre moi avant de décamper au petit matin. En souvenir, il m’a laissé toutes les photos qu’il a prises de nos ébats. Je me suis fait un plaisir de les envoyer à Benjamin avant de bloquer son numéro. Juste pour lui montrer ce qu’il avait raté !
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