Une patiente (dé)culottée
7 août 2021En avançant en âge, je me suis mis à apprécier les femmes matures. À 44 ans, je fréquente des quadra et quinqua. J’aime la sécurité que je ressens dans leurs bras, la peau qui s’est un peu ramollie, les caresses expertes, la parole rare mais efficace pour se demander ce qu’on veut. Je ne pensais pas que l’un des moments les plus érotiques de ma vie aurait lieu avec une mignonette de 26 ans. Je m’appelle Jean-Charles, j’ai 44 ans et voici mon histoire porno.
Enchanté par la dernière patiente
Je suis dermatologue et je travaille dans mon propre cabinet, à Aix-en-Provence. En décembre dernier, j’ai reçu la visite d’une très belle jeune femme nommée Lydia. Elle avait beaucoup de grains de beauté et voulait les faire contrôler. Ce dernier rendez-vous était en toute fin de journée ; dehors, il faisait nuit depuis longtemps, et j’avais monté le chauffage. Un moment tout à fait routinier, dans le confort moelleux de mon cabinet. Lydia a fait souffler un vent de fraîcheur dès qu’elle est entrée.
C’est moi qui l’ai accueillie dans la salle d’attente, ma secrétaire étant partie plus tôt ce soir-là. Une belle blonde, pétillante, à la voix fluette et modulée par un bel accent du Sud. J’étais, je dois le dire, réellement enchanté. Nous sommes passés dans la salle d’examen et c’est très spontanément que la jeune femme s’est déshabillée… entièrement ! Devant mon air surpris, elle m’a lancé : « Vous savez, je suis naturiste. Je vais beaucoup sur des plages réservées à Marseille. Et aussi, au Cap. ». J’ai compris plus tard qu’elle parlait d’Agde, où elle ne faisait clairement pas qu’aller à la plage.
J’ai examiné la mignonne avec attention. Plus qu’une autre patiente, peut-être… Il faisait si doux dans la pièce, j’étais bien, et son corps frémissant sous mes mains me mettait dans un drôle d’état. En me collant un peu trop près pour vérifier une petite tâche dans sa nuque, je me suis malheureusement trahi. « Eh bien, docteur… C’est un stéthoscope, que je sens dans votre poche ? ».
Quel culot !
Je n’ai pu qu’éclater de rire, désarçonné par cette pointe d’humour sur fond d’accent chantant. Il m’a bien fallu admettre mon trouble : « Veuillez me pardonner, Mademoiselle. Votre beauté me perturbe, ainsi que votre corps charmant. » La jeunette m’a regardé d’un air malicieux et s’est mise à genoux sans me quitter des yeux. « Je vous en prie, appelez-moi Lydia ! », a-t-elle dit, avant d’ouvrir mon pantalon pour en sortir ma verge.
Quel culot ! Et quelle langue ! La belle l’a enroulée autour de ma tige, tout en jouant avec mes couilles de sa main droite. Des petites léchouilles sur le gland ont suivi. Très vite, j’ai eu envie de me mettre à l’aise. J’ai donc enlevé mes vêtements et pris la blonde par la main. Dans la salle d’attente, nous avons eu tout le confort voulu sur les différents canapés et fauteuils. Lydia a d’abord continué sa fellation, osant chatouiller mon anus du bout de son index en même temps qu’elle m’avalait rondement. Un délice tout nouveau pour moi, comme sa façon de presser mes testicules, avant de relâcher la pression puis de les gober. J’étais aux anges. Dix minutes de ce manège et je mourrais d’envie de tremper dans ses eaux, que je présageais abondantes.
Lydia était en effet ce genre de fille : en écartant ses lèvres, j’ai pu admirer sa chatte juvénile et trempé. Pas besoin de lubrifiant, comme avec mes autres amantes : la garce était un vrai ruisseau ! J’en ai donc profité pour l’enfiler sans chichi, elle allongée, moi face à elle. Mais la petite avait de la suite dans les idées. « Docteur, allongez-vous sur le canapé, que je vous baise moi aussi », a-t-elle déclaré de sa voix fluette. Comment refuser ?
Je me suis mis en position et elle s’est emboîtée dos à moi. Une chevauchée si fantastique que j’ai dû respirer à fond à plusieurs reprises pour ne pas éjaculer trop vite ! Tout en me baisant, la belle se caressait le clitoris, et ses cris de plaisir ne laissaient aucun doute : elle allait jouir. Je l’ai encouragée : « Allez, plus vite ! C’est bon, hein, de s’enfiler sur ma grosse bite ? ». Sa seule réponse a été une série de « Oh, oui Docteur ! », de plus en plus aigus. Et c’est ensemble que nous avons joui, sperme et mouille se mêlant dans son con fondant.
Je n’ai pas encore eu de nouvelle visite de Lydia. Mais je repense à elle quand je suis avec mes amantes, le souvenir de son petit abricot juteux me faisant systématiquement décoller.
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