Baiser une héritière

La rédaction 30 septembre 2024

L’histoire d’Axel en ferait bander plus d’un. Il tombe sur une jeune héritière qui ne demande qu’à se faire baiser par la chatte, le cul et dominé.

Je m’appelle Axel, j’ai 42 ans et j’aimerais bien partager mon histoire de sexe amateur. Avant tout, laissez moi vous dire quelques mots à mon sujet. Je suis ce que l’on appelle un saisonnier, mais un saisonnier d’un type un peu différent de ceux qu’on a l’habitude de croiser. Comme tous les autres, l’hiver je suis entre Megève et Chamonix et l’été entre Cannes et Monaco, mais je ne travaille pas dans la restauration ou dans l’hôtellerie, je suis pilote d’hélicoptère. Autant vous dire que, non seulement je fais mon beurre mais que cela de permet de m’envoyer en l’air, dans tous les sens du terme, avec des bombes atomiques. C’est qu’il y en a, de jeunes héritières, de belles créatures de rêve délaissées par leurs richissimes maris, voire des femmes fortunées elles-mêmes, en recherche d’un (bon) coup d’un soir, de sexe sans lendemain. Ça tombe bien, je suis célibataire, volage et libertin ! Tout pour qu’elles et moi nous entendions parfaitement.

Une blonde hystérique

Tatiana était, elle, non pas l’épouse mais la fille d’un oligarque russe. Aussi belle que blonde, aussi perverse que provocante, insouciante et esthète. Je lui ai fait faire un nombre de rotations indécent entre la principauté et Saint-Tropez, juste pour aller faire du shopping. Quand on est multimillionnaire, on ne se rend plus vraiment compte des réalités. Je me suis permis une réflexion (qui se voulait drôle) sur le bilan carbone de ses emplettes, s’en est suivi un réquisitoire hystérique qui s’est terminé, je ne saurai jamais pourquoi, par sa bouche venant s’écraser sur la mienne. Revenus à Monte-Carlo, un chauffeur nous a fait nous installer dans une voiture anglaise hors de prix et nous a déposés devant un hôtel particulier cossu, la suite est attendue mais fort sensuelle. Tatiana m’a donné le tournis, soulevant sa petite robe noire, m’offrant tantôt ses fesses, tantôt ses seins, percés tous les deux avec un tatouage de phoenix sur la poitrine (qu’elle n’a pas accepté que je photographie par peur de pouvoir être identifiée), jouant de sa cascade de cheveux blonds et soyeux. Je me suis imaginé un instant dans la peau d’un célèbre agent secret britannique auprès d’une sublime créature sexy et dangereuse. Après m’avoir fait languir dans le dédale des pièces aussi grandes qu’un terrain de tennis, elle m’a rejoint sur le lit pour me détendre avec un massage, elle en a profité pour découvrir ma queue. Elle est restée bouche bée devant mon manche. Il avait la taille de son avant-bras et je ne bandais encore qu’à moitié.

Elle m’a fixé avec un air de défis, m’a décalotté à m’en faire mal la petite peste et s’est mise à me sucer en m’engloutissant à s’en étouffer. Ses belles poires blanches balançaient tandis qu’elle avait des haut-le-cœur tant elle voulait me gratifier d’une gorge profonde. Les immenses miroirs du dressing me renvoyaient l’image de son cul penché, de ses seins victorieux et de sa cataracte d’or qui ondulait au rythme de ses va-et-vient. Puis, d’un coup, elle a cessé, comme si une idée en chassait une autre, sans transition comme on dit à la télé. Elle voulait que je la baise, moi, j’avais envie de la lécher. Elle a grimacé en me disant avec un fort accent russe « Beurk, c’est dégueulasse ! », c’était bien la première fois qu’une nana refusait un cunni, je me défends pourtant bien dans ce domaine du jeu. Dommage. Faute de grive, je lui ai donné l’ordre de se prosterner devant moi, elle a minaudé, miaulé, mais s’est sagement offerte à moi en levrette. Son anus était comme un point, sa vulve, lisse tel un abricot à peine mûr. Rien ne dépassait, rien ne laissait même paraître qu’elle mouillait. Elle a gémi alors que je m’installais entre ses pieds écartés, j’ai craché une bonne dose de salive sur sa raie et j’ai regardé la mousse blanchâtre couler lentement jusqu’à sa fente. Là, j’ai appliqué ce lubrifiant de fortune pour découvrir qu’elle était fortement excitée, son con était glissant d’une cyprine épaisse et tiède. J’ai enduit mon gland de ses sucs intimes et j’ai lancé l’assaut, c’est idiot mais, pile à ce moment-là, j’avais en tête « La chevauchée des Walkyries » de Wagner, celle qui accompagne les hélicoptères dans un célèbre film sur la guerre du Vietnam !

À l’assaut de sa chatte et de son cul

J’ai introduit mon canon de vingt-cinq et je l’ai démontée comme si je voulais la tuer ! Finis les ordres, finis les caprices, elle était à ma botte. Je baisais une riche héritière qui n’était plus, sous mes coups de queue rageurs, qu’une poupée de chiffon qui réclamait son lot de jouissance. Cela a duré tout l’été, je l’ai amené à tout faire, à tout accepter, même le plus avilissant. Je lui ai fait couler de la cire brûlante sur le dos, sur les seins, sur le charnu, je lui demandais d’acheter des tas de jouets, boules de geishas, vibros, menottes, martinet. Elle m’apportait mon petit déjeuner, ensuite me suçait, elle a appris à me faire jouir uniquement avec sa langue. J’ai finalement pu, moi aussi, lui manger le minou et le cul. Elle adorait, en particulier, les séances de fessées, culotte en coton baissée aux chevilles, le corps penché sur mes cuisses, j’usais alors d’un fouet aux lanières de cuir noir assez courtes et je faisais rougir son beau postérieur avant qu’elle ne vienne s’empaler sur mon membre. J’ai plein de photos d’elle, malheureusement, je n’ai pas de souvenir de notre seule sodomie. Elle a accepté une fois que je lui prenne le cul mais à condition qu’elle soit surexcitée. Cela s’est produit après un vol un peu mouvementé à cause du Mistral.

La peur s’est transformée en pulsion de vie, elle voulait tout, elle acquiesçait à tout, du moment que cela se fasse là, au pied de mon appareil encore brûlant. Je lui ai arraché sa culotte et je l’ai sodomisée, entre l’atterrissage et l’arrivée des équipes au sol. Elle a sucé mon dard juste à la sortie de son anneau et a avalé toute ma semence. Un des techniciens a vu la scène et, débarquant avant ses collègues, a baisé le zip de sa combinaison, il avait une bite plus volumineuse que la mienne. Tatiana m’a regardé, j’avais la maîtrise absolue de sa sexualité et de ses désirs. « La bouche ou le cul ? », « Tu es déjà ouverte chérie, offre ton trou de balle au monsieur, il demande gentiment regarde… » Effectivement l’homme se branlait en retrait, elle s’est penchée, le tissu de sa robe par-dessus sa tête, l’autre n’en est pas revenu mais a saisi sa chance sans hésiter. J’ai entendu Tatiana émettre un « Outchhhhh » quand le gland est entré puis elle a été secouée à peine quelques dizaines de secondes. Une crispation des traits du sodomite, j’ai compris qu’il venait de se répandre dans ses boyaux. Elle a demandé à son père si elle pouvait passer les vacances d’hiver dans leur chalet de Gstaad, je sens que je vais aller travailler en Suisse pour la Noël !

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