Retrouver sa chambre d’ado

La rédaction 18 juin 2020

Ludivine revient dans sa famille durant le confinement et fait la connaissance de Bobby, un jeune qui aide ses parents dans le quotidien…

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J’ai profité du confinement forcé pour retourner chez mes parents qui habitent à Niort. Le climat y est plus doux qu’en région parisienne.

C’était très cool de retrouver mon lit, mes vieilles peluches, mes posters d’ado ! J’avais l’impression d’être dans un petit cocon.
Comme mes parents avaient besoin d’aide pour faire à manger, le ménage, etc. ils ont fait appel à Bobby (c’est son surnom), un jeune voisin de 25 ans pour le quotidien. On est restés confinés tous les quatre pendant plusieurs semaines. Au fur et à mesure que les jours passaient, c’était bizarre, j’avais presque l’impression d’avoir un frère. Nous commencions à développer une vraie complicité tous les deux, on répondait parfois exaspérés en même temps aux lubies de mes parents (ils ont leur petit caractère) et on avait tous les deux beaucoup de mal à s’adapter au planning très strict qu’ils nous imposaient, comme les dîners à heure fixe et la soupe tous les soirs. J’ai beaucoup de tendresse pour mes parents, mais je dois avouer que nous nous sommes beaucoup soudés (parfois un peu à leur encontre) durant ces quelques jours.

Ce qui devait arriver arriva, j’ai commencé à faire des rêves érotiques la nuit en pensant à Bobby. Ce n’était pas des fantasmes, simplement des images qui s’imposaient à moi durant mon sommeil. Je voyais Bobby, nu, dans la cuisine, parfois toucher la main de ma mère, parfois prendre mon père dans ses bras. Je le voyais ensuite venir vers moi, m’isoler dans le salon, me cacher derrière les épais rideaux et m’embrasser tendrement. Je sentais alors son érection frotter sur ma cuisse pour me rendre compte que… j’étais nue moi aussi ! Souvent, je me réveillais à ce moment-là, en nage, la chatte totalement en feu. Alors je me masturbais, mais j’évitais de penser à Bobby, je pensais plutôt au mec avec qui je fricotais en ce moment, quand j’étais à Paris.

Un soir, au bout de la énième soupe, Bobby est venu frapper à ma porte alors que j’étais en pleine lecture. Il voulait soi-disant organiser avec moi une opération rébellion pour reprendre le contrôle des dîners. Mais quand il s’est assis sur mon lit bleu et que nos regards se sont croisés, nous savions l’un et l’autre qu’une tension érotique était palpable entre nous. Il a effleuré ma cuisse à un moment, en faisant un grand geste, et je n’ai pu m’empêcher de l’imaginer à nouveau nu. Qu’est-ce qu’il y avait sous son pyjama ? Comment était foutu son torse ? Quelle était la taille de sa bite ? Je n’arrivais plus à l’écouter tellement j’étais prise par mon flot de pensées, et mon désir grandissant. Je cherchais tous les moyens possibles pour le toucher sans être trop explicite. Nos mains se sont frôlées. Le bout de nos doigts se sont emmêlés les uns dans les autres. Et alors, il s’est tu. Son regard a plongé dans le mien et je crois même qu’un frisson a parcouru son corps. Nous nous sommes enlacés, puis timidement, embrassés du bout des lèvres.

Il est vite reparti dans sa chambre, en cachant son entrejambe et en me disant, « à demain soir, peut-être ». Le lendemain a été très bizarre, il était beaucoup plus distant qu’à l’habitude, puis le soir, il a à nouveau frappé à ma porte. Cette fois-ci, il n’a pas cherché de prétexte pour me parler, il s’est jeté sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Nous nous sommes déshabillés et il s’est ému devant mon tatouage en forme d’étoile et devant mes piercings « C’est bien un truc de Parisienne, ça ! ». J’adorais son corps. Je le trouvais beau, avec ses poils et ses courbes bien proportionnées. J’ai pris son sexe dans ma main. C’était chaud et dur, il était à point. J’ai commencé à le masser doucement, puis à le prendre en bouche.

Il caressait mes cheveux en même temps, en entortillant autour de ses phalanges quelques mèches blondes. Le froissement des draps faisait un peu de bruit, mais rien qui n’aurait pu réveiller la maisonnée. Il m’a ensuite rendue la pareille, avec un cunnilingus mémorable. Sa petite langue s’activait bien sur ma fente, c’était formidable. J’ai appuyé un peu plus sa tête sur ma chatte et j’ai contracté mes jambes. C’était de cette façon que je pouvais jouir. J’ai senti l’orgasme monter, je me suis mordue la lèvre et j’ai poussé un soupir à peine audible. Puis nous avons baisé. Ou fait l’amour. Le corps bien collé l’un contre l’autre pour éviter le bruit de collision. Le regard un peu fuyant, comme si nos corps parlaient à notre place. J’étais archi sensible, comme souvent après avoir joui, et j’adorais ces sensations, qui s’approchent de la transe.

Enfin, il a joui dans un mouchoir, posé sur ma table de chevet. Il s’est essuyé la queue et nous avons dormi dans mes draps, les corps encastrés.
Les jours suivants, nous avons bien essayé de faire comme si de rien n’était, mais mes parents avaient capté que nous étions beaucoup plus dociles qu’avant.

(Image à la une : Getty Images)

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