L’été enchanté

La rédaction 4 mai 2025

Salomé, 33 ans, ne s’attendait pas à ce que ses vacances deviennent l’élément déclencheur de son kink pour le libertinage !

Salomé nous fait part de son histoire de sexe qui lui a fait découvrir les joies du libertinage !

Coucou interstron.ru. Je suis Salomé, 33 ans. J’étais partie en Corse pour bosser comme GO dans un club de vacances. Sur le papier, c’était surtout l’occasion de m’échapper de la grisaille et de me faire un peu d’argent. Mais ce que je n’avais pas prévu, c’est que ce job allait devenir l’expérience la plus chaude de ma vie. Celle qui m’a fait basculer dans le libertinage, pour ne plus jamais revenir en arrière.

Un bungalow rempli d’inconnus coquins

J’avais été logée dans un grand bungalow avec trois collègues : Mathilde, une blonde aux yeux de chat qui venait de Bretagne, Zoé, une autre blonde toute fine basée dans le Sud, et Maxime, le genre de mec qui respire la décontraction, tout en muscles bronzés et sourire ravageur. Dès le premier soir, on avait sorti quelques bouteilles sur la terrasse pour faire connaissance. Le courant est passé tout de suite. Trop, peut-être.

Il y avait comme… une alchimie. On se lançait des regards, des petites blagues à double sens. Et puis, on vivait les uns sur les autres. Le bungalow, c’était notre tanière, et très vite, on a compris qu’on n’allait pas rester innocents bien longtemps.

La première fois, c’est arrivé après une soirée au bar du club. On avait bu un peu trop de mojitos et l’ambiance était déjà électrique. En rentrant, on s’est entassés sur la banquette du salon en riant, nos corps entremêlés.

Exploration sexuelle

Mathilde a fait le premier pas : elle a embrassé Zoé, là, sous nos yeux, sans aucune gêne. Maxime et moi, on s’est regardés, stupéfaits, mais aussi complètement hypnotisés. Et quand leurs mains ont commencé à explorer leurs corps, je n’ai pas résisté.

Je les ai rejointes, sous le regard de Maxime, trop scotché pour participer mais qui nous a regardé faire en se caressant furieusement. 

Cette nuit-là, tout a explosé. Les limites, les tabous, les hésitations. On a partagé bien plus que de la chaleur humaine. 

Le lendemain, Maxime s’est glissé entre nous, ses mains caressant une poitrine, une nuque, un sexe, son souffle se mêlant au nôtre. Les corps s’entrelaçaient, les gémissements se faisaient écho et chaque seconde semblait durer une éternité.

Après ça, il n’y a plus eu de retour en arrière. Notre bungalow est devenu un lieu de plaisirs sans fin. Certains matins, je me réveillais pour trouver Zoé blottie contre Maxime, sa chevelure éparpillée sur son torse nu.

Ebats lesbiens et sextoys

D’autres fois, on émergeait tous les quatre dans le salon, épuisés après seulement quelques heures de sommeil, mais un sourire radieux aux lèvres. Mathilde adorait improviser des duos avec moi. Je sens encore ses doigts sur ma peau, son souffle contre ma nuque. Elle avait ce talent pour me faire oublier tout le reste. 

Avec elle, j’ai utilisé des jouets pour la première fois, en particulier un double dong rose fluo dont elle m’a fait cadeau un soir. Elle l’avait glissé sous mon oreiller et quand je suis allée me coucher, je l’ai vue dans l’embrasure de la porte.

« Regarde, c’est pour toi », m’a-t-elle dit en faisant le geste de soulever l’oreiller. Nous avons baisé toute la nuit avec, nous empalant l’une sur l’autre, incapables de nous arrêter de nous embrasser, de nous lécher, jusqu’à jouir à l’unisson.

Contrôler sa jalousie dans le libertinage

J’ai dû apprendre à contrôler ma jalousie, car Mathilde aimait aussi jouer avec Zoé, à qui elle a offert qu’elle partageait l’une après l’autre. Leur plaisir était de se mater en train de jouir, mais aussi de se lancer dans des 69 épiques.

Je les regardais faire, parfois seule, à me caresser, parfois avec Max, avec qui je finissais en duo dans une chambre, à moins qu’il n’entraîne Zoé et que je puisse donner libre cours à mon envie de baiser intensément Mathilde, nos deux corps imbriqués jusqu’à l’épuisement.

On prenais des photos de nos ébats. C’est souvent moi qui tenais la caméra et immortalisais nos instants brûlants. J’ai adoré capturer ces fragments d’érotisme, ces moments où les regards se croisaient, où les mains se perdaient, où les langues et les sexes fusionnaient.

La magie de la liberté

Des orgies pures et simples, quatre corps enlacés dans une chaleur moite, des cris étouffés par des baisers passionnés, une folie qu’on n’aurait jamais osé imaginer au début de l’été.

Il y avait quelque chose de libérateur, presque magique, dans ces moments. On se laissait aller, on s’abandonnait aux désirs les plus bruts, sans peur, sans jugement. Et malgré tout, il y a toujours eu de la tendresse, de la complicité, peut-être même de l’amour entre nous.

Aujourd’hui, quand je repense à cet été, je me dis que c’était plus qu’un job, c’était une aventure unique. Les couchers de soleil sur la plage, les rires autour de la table, et surtout, cette intimité partagée entre quatre âmes libres.

Si vous saviez tout ce que j’ai vécu derrière l’objectif… Vous m’envieriez sûrement.

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