Un 69 guidé par ma voix

La rédaction 14 avril 2021

Sébastien, 58 ans, fréquente une femme mariée folle de sexe qui lui demande de lui susurrer des mots coquins. L’ambiance est torride.

Depuis mon divorce, j’ai une libido renouvelée car je vis une passion dévorante avec une femme mariée, Leila. On est tellement attirés l’un par l’autre qu’on a du mal à passer plus de deux jours sans se voir… Depuis plusieurs mois, on ne fait que baiser ensemble comme des fous et je dois dire que je n’ai jamais vécu ça. L’appétit de cette femme me rend fou d’elle, et me sentir autant désiré me fait bander dès que je la vois ou que je pense à elle. Elle aussi me dit que son mari ne l’a jamais baisée comme moi. Je vous raconte notre histoire de sexe. 

L’autre jour, elle m’a demandé de lui faire l’amour en lui murmurant tout ce que je lui faisais. Elle dit qu’elle adore ma voix, que c’est le plus puissant des aphrodisiaques. Mon amante était chez moi et elle s’est allongée sur le lit, toute nue. Elle était étendue sur le dos, la tête dirigée vers moi, près de mes jambes, et moi, debout contre le lit, à surplomber le corps qui se déployait sous mes yeux. Ses cheveux noirs étaient étalés autour de son visage et son corps hâlé s’offrait dans toute sa splendeur avec la courbure douce des seins, du ventre, des hanches, la toison brune, les cuisses délicates. J’étais nu aussi. Je me suis penché au-dessus d’elle.

J’ai d’abord embrassé son visage. « J’embrasse tes lèvres, tes yeux, ta bouche, tes oreilles », j’’énumérais, en joignant le geste à la parole. J’ai mis ma bouche contre son oreille : « J’aime tellement sentir quand tu es chaude comme ça, je vais te faire jouir… » Ses yeux se sont fermés et sa bouche a dessiné un sourire. J’ai embrassé son cou et son lobe d’oreille. « Je descends sur tes seins, je les prends, je les lèche, et je lèche jusqu’à ton nombril », ai-poursuivi en parcourant son corps. Je suis monté à quatre pattes sur le lit au-dessus d’elle, mes genoux de part et d’autre de sa tête, mon visage à hauteur de son sexe. Ma tête à moi se dirigeait entre ses cuisses.

J’ai murmuré, la bouche contre sa chatte : « Je vais lécher ton clito, je vais te faire crier, je vais prendre tout mon temps… » Leila a écarté les jambes et j’ai enfoncé un doigt en elle pour la stimuler légèrement. Avec le doigt mouillé j’ai branlé son clito tout doucement. « Je vais te manger, je vais te sucer… », j’ai avancé la tête pour m’occuper de son clito avec ma langue, j’ai appuyé dessus, j’ai fait des cercles, je l’ai pris tout doucement entre mes lèvres. Elle tremblait et elle gémissait, ses cuisses frémissaient.

Je faisais encore des petits cercles et des petits coups de langue. « Maintenant tu vas prendre ma queue dans ta bouche. » Le simple son de ma voix semblait lui arracher de nouveaux soupirs. Elle a ouvert sa bouche en grand et a commencé à sucer et lécher mes couilles, toujours allongée sur le lit pendant que j’étais au-dessus d’elle à lui caresser la chatte de ma langue tout en la doigtant. Sa mouille et ma salive étaient partout. Puis nous avons inversé la position et je me suis retrouvé sur le dos et elle à califourchon sur moi, de dos, pendant qu’elle me suçait comme une folle.

Son cul et sa fente étaient au-dessus de mon visage et je la prenais par les hanches pour la lécher dans cette position si excitante… « Continue de parler », m’ordonna-t-elle. « J’adore baiser ta chatte, j’adore comment tu me suces, le goût de ton sexe, tu vas me faire jouir. » Puis je replongeais entre ses cuisses pour lui faire un cuni du diable pendant que sa bouche me pompait. Tout son corps était agité de spasmes au-dessus du mien. J’adorais qu’elle aime les 69, qu’elle aime mettre son sexe sur mon visage… Je l’ai léchée encore et j’ai enfoncé un doigt dans son cul. Je l’ai doigté très vite et je léchais en clito en même temps jusqu’à ce que je sente son cul se resserrer, ses cuisses trembler tout à fait et qu’elle crie dans l’orgasme qui a l’a prise en cambrant le bassin au-dessus de mon visage pour saisir les dernières sensations de ma langue, puis replongeant sur ma queue qu’elle a sucée jusqu’à son dernier souffle.

J’ai éjaculé dans sa bouche tellement cette pression était bonne, tellement la vue de sa vulve et son cul était bandante… J’ai giclé abondamment, le sperme dégoulinait encore sur son menton quand je l’ai embrassée. Elle m’a dit que ce soir-là, elle emporterait le souvenir de ma voix chez elle pour se masturber quand son mari aurait le dos tourné…

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