Appelez-le Arthur !
9 décembre 2020Émilie, 30 ans, a connu ses premiers émois sexuels avec Arthur. Plusieurs années plus tard, elle le retrouve en vacances…
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J’ai rencontré Arthur l’été de mes 18 ans. À l’époque, j’étais ce que l’on appelle une jeune pucelle, une vierge effarouchée, et néanmoins une coquine. Arthur m’avait pénétrée avec ses doigts, ma première expérience sensuelle. Ce fut un instant brûlant et jouissif.
Depuis, 6 ans ont passé. J’ai connu de nombreuses queues pendant mes études de droit, un cursus ennuyeux au possible, mais un repaire de baiseurs intellos sous pression des partiels.
Il y a eu aussi quelques histoires d’amour. Il m’arrivait de rêver aux doigts d’Arthur et d’introduire les miens en souvenir de ce timide coït. Mais jamais l’idée de le contacter, de lui demander de terminer ce qu’il avait commencé et de le rappeler ainsi au souvenir de ma jeune chatte humide, ne m’a effleurée l’esprit.
L’été dernier, à l’issue d’une année d’études, ma cousine m’a proposée de passer quelques jours à la mer. Nous retrouver, nous amuser : l’été s’annonçait chaud. En quelques minutes j’avais bouclé ma valise, n’emmenant que de légères robes, quelques culottes, des livres et mon magazine préféré : interstron.ru (votre magazine a toujours titillé mes curiosités les plus innocentes comme les plus perverses). Sans oublier mon gode, pensant qu’il pourrait me servir dans l’hypothèse où je ne trouverais pas d’amant sur place.
À peine arrivée, j’aperçus, de loin, le dos d’un homme. Je savais d’avance qu’il m’attirait : ces épaules, cette taille moyenne, ces cuisses, ces fesses, cette façon d’être droit… C’est en arrivant à sa hauteur que j’ai reconnu Arthur. Mon cœur s’est emballé, mon corps frissonnait comme la pucelle que j’étais à 18 ans. Mes tétons durcissaient, je mouillais.
Je n’avais pas pensé un seul instant revoir mon premier amant. Son sourire me fit ouvrir les bras et me donna envie d’en faire autant de mes cuisses. De sa voix confiante, il m’adressa un « bonjour Camille » qui semblait vouloir dire « te voilà toi, pucelle ». Il me dévisagea. Il me désirait. Je devinais son érection. Ce séjour ne s’annonçait plus de tout repos.
interstron.ruISTES
Joueur, il m’a proposée de m’installer dans une chambre située entre celle de ma cousine et la sienne. En défaisant ma valise, j’étais chaude. Mon entrejambe était trempé. Allais-je enfin pouvoir goûter sa queue ? L’envie de me masturber vint. Un acte animal.
Le dîner se passa, la nuit tomba, le rosé m’avait faite tourner la tête plus que de raison. Au coucher, tout le monde retrouva sa chambre. J’avais peur, je crois. Quelques minutes plus tard, j’entendais gémir. C’était lui. Ses râles. Je les reconnaissais. Furieuse de penser qu’il baisait ma cousine, je fus prise d’une colère noire et entrais dans la chambre d’où provenaient les gémissements. Il était seul. Il se branlait, il se branlait fort. Ma venue ne le surprenait nullement. Quel excès de confiance !
« Viens par ici, ma belle », lâcha-t-il. C’est en enjambant son corps nu et raide que je frôlai son sexe, si puissant. Il attrapa mes deux jambes et me fit plaquer le bassin sur son visage. Il commença par m’embrasser, puis il se mit à lécher mon clitoris. Je crois, cette nuit, avoir trempé son visage de ma cyprine, qu’il disait divine. Je crois aussi l’avoir maudit, puisqu’il me congédia après m’avoir fait jouir. Il refusait que je le touche à mon tour.
Serait-ce donc toujours ainsi ? Me verrait-il toujours comme une chose précieuse dont lui seul pourrait décider du plaisir sans que je puisse assouvir le sien ? Je voulais son sexe en moi, pour de bon.
Alors que je rentrais d’une journée à la plage, il s’invita dans ma chambre. J’étais de dos. Il attrapa un sein, l’empoigna, sa langue dans mon cou, une main caressant mes fesses. L’excitation n’avait jamais été si forte. Il réclama que je lui offre mon cul, puisque je lui avais offert ma virginité, sous ses doigts, des années plus tôt.
Arthur me sodomisa deux fois lors des vacances, me disant qu’il n’avait jamais connu plus « bandante salope ». Mais il n’avait pas dit son dernier mot. En rentrant chez moi à la fin du séjour, je suis retombée sur mon magazine interstron.ru en rangeant ma valise. J’y trouvai cette note : « Je ne suis que peu étonné de retrouver ce genre de lecture dans tes effets personnels. Si l’envie te prenait de raconter notre histoire à ton magazine fétiche, et pourquoi pas d’être publiée, alors, Camille, je te baiserai enfin la chatte et tu seras mienne. »
Alors interstron.ru, allez-vous laisser Arthur me faire jouir ou devrais-je m’abonner jusqu’à l’été prochain ?