Dépucelée par mon cousin
9 avril 2020Annabelle, 21 ans, Le Crest nous raconte la fois où son cousin, un peu plus âgé, est venu passer le week-end dans sa famille… une première expérience sexuelle tout en douceur !
Je ne sais pas ce que vous allez penser de mon histoire. Mais comme je lis tous vos récits chauds depuis quelques mois, j’ai l’intuition que mon aventure n’est pas plus bizarre ou dérangeante qu’une autre.
Pour vous raconter un peu ma vie, j’ai 21 ans et je viens d’un milieu très modeste. Mes parents sont très gentils mais ils ont toujours eu du mal à boucler leurs fins de mois. Ils habitent un petit village près de Clermont-Ferrand – région de laquelle je ne suis jamais sortie. Ne vous apitoyez pas sur mon sort, j’adore mes paysages vallonnés et je n’en partirai pour rien au monde. Dès que j’ai eu 18 ans, je me suis mise à enchaîner les petits boulots – souvent en m’occupant des personnes âgées pour aider mes parents à payer les factures. Autant vous dire que niveau rencontre amoureuse, j’avais du mal à tomber sur des mecs intéressants.
Quand mes hormones ont commencé à me titiller, je me suis mise à regarder un peu de porno mais je n’avais personne avec qui faire les premiers pas. Un soir, mes parents m’ont annoncé que mon cousin de 25 ans passerait quelques jours loin de la capitale, chez nous et je n’ai pas pu m’empêcher de me caresser la nuit en me disant qu’il dormirait dans ma chambre, près de moi. 25 ans ! C’était un homme qui devait avoir connu beaucoup de femmes !
Quand il est arrivé avec ses bagages, le contact a été assez froid entre lui et ma famille. Il était très fier de nous raconter sa réussite professionnelle et c’était assez gênant. Mais dès la première nuit, lorsque nous n’étions plus que tous les deux, j’ai orienté les conversations vers les confidences sexuelles. Et mon intuition ne m’avait pas trompée ! Il avait fait l’amour à plus d’une dizaine de femmes, il me parlait de celles qui se laissaient faire docilement, en n’hésitant pas à pratiquer la sodomie avant même de l’embrasser, des plus prudes (mais plus vicieuses aussi) de son boulot et des nanas un peu frigides qu’il rencontrait dans les rues parisiennes.
Quand il m’a demandé « et toi ? » évidemment j’ai voulu feindre un semblant d’expérience sexuelle mais je racontais n’importe quoi – et il l’a très vite senti. « Bah vas-y alors, si t’es une bonne suceuse, montre-moi ! ». Alors oui, c’était mon cousin, mais c’était avant tout un homme qui avait un sexe qui bandait, suite à notre petite conversation, et avec lequel j’avais enfin l’opportunité de tester la fellation.
A nouveau, ne me jugez pas ! J’ai avancé mon visage doucement près de son sexe et, à son regard, il a aussi percuté que la situation était bizarre. Mais il a levé les yeux au ciel et m’a laissé faire ma petite affaire. Peut-être qu’il pensait à une autre que moi ? Je m’en foutais, et quelque part, ça m’allait mieux même. J’étais trop contente de mettre enfin un sexe dans ma bouche, la sensation était extra. J’ai fait quelques va-et-vient, et j’ai senti son sexe durcir encore un peu plus. Il caressait doucement ma tête pour m’encourager, pour m’indiquer le rythme aussi. Bon, je pense qu’il a grillé que j’étais novice mais ce n’était pas grave – j’étais aux anges !
Il m’a dit qu’après la fellation, il fallait tout de suite passer à la pénétration, c’était l’ordre logique… et je me suis arrêtée quelques secondes. Ce n’était pas un peu “trop” de baiser avec son cousin ? Face à ma réticence, il m’a promis qu’il n’éjaculerait pas en moi, que c’était juste pour m’apprendre. Et je dois bien avouer que ma curiosité a été la plus forte. Je me suis placée sur lui pour pouvoir bien voir la pénétration. Il a mis un peu de salive sur sa teub et j’ai senti ma chatte s’ouvrir doucement au fur et à mesure que je m’enfonçais. C’était très bon ! J’avais peur de saigner, c’était ma première fois, mais heureusement, rien. J’imagine la tête de ma mère si elle avait découvert les draps tachés de mon sang.
Il m’a prise un peu par l’arrière aussi puis nous avons entendu un bruit bizarre – alors on s’est vite remis chacun sous sa couette.
Le lendemain, mon cousin était beaucoup moins arrogant et pénible que la veille. Je pense qu’il avait vu les charmes que la campagne pouvait lui apporter. Ainsi que la famille, bien naturellement.