Histoire de sexe : Pipe à Paname

La rédaction 26 juin 2020

Dans notre histoire de sexe du jour, Fatoumata, jeune parisienne de 29 ans, meneuse de revue nous raconte son aventure torride avec un client…

Hitoire de sexe pipe à paname

Je m’appelle Fatoumata, belle renoie taille mannequin. Je suis modèle photo et danseuse à Paris. J’ai intégré l’an dernier une revue dénudée connue, que je ne peux pas citer car je n’ai pas respecté les règles avec mon histoire de sexe.

Peu de temps après mes débuts, j’ai remarqué un client qui venait régulièrement. Quasiment tous les soirs, en fait. C’était forcément un mec blindé, vu le prix de l’entrée. Il s’installait toujours près de la scène avec un autre type, genre garde du corps ou chauffeur ; un grand gars rasé, costaud, en costard-cravate. Le blindé était grave élégant. Dans les quarante ans, cheveux bouclés bruns, des belles lèvres, le regard sombre. Chaque soir, il me bouffait des yeux. Les autres filles m’ont chambrée : « T’as un admirateur », « Ça va devenir ton sugar daddy », et patati, et patata. Moi, ça me faisait plaisir d’avoir un fan, mais une ancienne m’a prévenu : « Tu te fais gauler par les patrons avec lui, t’es virée ». Et voilà que l’interdit rendait la chose encore plus excitante.

Un soir, à la fin du spectacle, le beau gosse m’a fait signe du doigt vers l’arrière de la salle. C’était la sortie des danseuses. Normalement, aucun client ne sait par où on repart exactement, mais clairement, il avait su trouver l’info. J’étais surexcitée en me changeant, et stressée aussi. Je risquais mon taf, tout ça pour du cul. Mais le mec était trop canon.

Je suis partie la dernière des loges pour limiter les risques. Quand je suis sortie dans la rue de derrière, il n’y avait plus personne. Pas de beau mec non plus. J’étais grave déçue. J’allais partir quand une voiture noire garée à quelques mètres m’a fait des appels de phares. Je me suis approchée en me méfiant quand même un peu. Le mec est sorti de la berline en souriant.

Il était parfait. Grand manteau noir, belles pompes, sourire de beau gosse… Mais il s’est retourné et s’est éloigné vers l’entrée d’un immeuble. Il jouait à quoi, là ? Le pire, c’est que ça me donnait encore plus envie de lui, LOL ! Il faisait super sombre et j’ai mis trois secondes à capter qu’il était dans le coin de la porte de l’immeuble. Je me suis dit que c’était chelou parce qu’on devait très bien le voir depuis la voiture, par le rétro. J’ai avancé vers lui et il m’a regardée comme s’il voyait à travers mes vêtements. J’ai voulu l’embrasser mais il m’a pris le visage à une main et il m’a fait mater vers le bas. De l’autre main, il a commencé à déboutonner son manteau.

Franchement, c’était tellement abusé. Moi j’étais là, en legging, talons et top échancré, avec juste une petite veste par dessus, je me caillais grave, et lui, il voulait que je le pompe en pleine rue ? Même pas un petit tour chez lui, rien ? J’allais lui dire d’aller se faire foutre quand il a ouvert son manteau. Et là, j’ai halluciné. Il avait une bite énorme, large du début à la fin, un truc de dingue. Je l’ai regardée la bouche ouverte tellement j’étais choquée. Le type a rigolé, genre il était habitué à ce genre de réaction. Bon, je n’allais quand même pas rater cette occasion !

Je me suis mise à genoux et j’ai repensé à la voiture. Le blindé était trop chaud : il s’était mis là pour que son chauffeur nous mate ! J’allais lui donner ce qu’il voulait. J’ai fermé les yeux et j’ai tiré la langue. Le mec a écarté son manteau sur moi et ça a fait comme une tente. J’avais plus chaud et ça sentait bon, une sorte de parfum super sophistiqué. J’ai pris sa queue avec ma main droite et j’ai senti ses grosses veines. Avec la langue, j’ai commencé à lécher son gland et j’ai compris que j’allais devoir ouvrir la bouche encore plus grand. Le type m’a laissé faire à mon rythme, il savait qu’il n’avait pas une queue normale. Plus je la prenais, plus j’étais en kif. Les bruits étaient pas mal étouffés à cause du manteau, mais j’entendais qu’il poussait des grognements. J’ai accéléré le rythme en me concentrant pour arriver à respirer. C’était fou de pomper un truc pareil, rien qu’avec la moitié, je l’avais quasiment au fond !

J’ai dû faire encore plus d’effort quand le mec a lâché un côté du manteau et a posé sa main sur ma tête. D’un coup, j’étais vraiment visible. Le chauffeur devait se régaler, je pouvais presque sentir son regard sur moi, toujours à genoux, avec ce truc énorme qui me rentrait dedans. J’avais mal aux genoux, il faisait froid mais je n’ai rien lâché. En vrai, ça m’excitait, je me sentais comme une petite garce et ça me plaisait trop… Le beau gosse grognait de plus en plus fort. J’ai respiré à fond par le nez et heureusement, parce qu’il a plaqué sa main d’un coup. J’ai pris le truc tellement profond que les yeux me sont sortis de la tête. J’ai pensé très fort : « Je veux ton foutre », sauf que je n’ai rien pu dire, j’étais complètement empalée. Le chauffeur voyait tout, j’étais totalement soumise… Et là, le blindé a juté. Je ne pouvais même pas avaler son sperme mélangé à ma salive, vu que son gland était toujours au fond. Il m’a juste remplie et ce qui ne coulait pas dans ma gorge sortait par les côtés. Le beau gosse est resté dedans jusqu’au bout, et même un peu après, pendant que son foutre coulait par terre…

Il était essoufflé quand il m’a relevée. Il a sorti un mouchoir en tissu de sa poche et a essuyé mes lèvres en me regardant super intensément. J’avais quelques larmes aux yeux à cause de la profondeur. Il les a essuyées aussi tout doucement. Avant de partir, il a glissé une carte dans ma poche. Je l’ai regardé remonter dans sa voiture. Le chauffeur ne m’a pas quittée des yeux depuis le rétroviseur.

Il y avait un prénom et l’adresse d’un hôtel sur la carte. Je l’ai gardée mais je n’ai jamais osé y aller. Je préfère garder le souvenir de ma pipe de rue.

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