Chaude comme la braise !

La rédaction 20 novembre 2019

Doris, 34 ans

J’habite la campagne, et j’aime les tenues sexy. Malheureusement, quand les porter ? Ce vendredi-là, j’ai profité d’une journée de RTT pour aller au centre commercial faire mes courses et sûrement, aussi, une folie vestimentaire. Une fois habillée de ma petite jupe, avec un T-shirt découvrant mon ventre et des escarpins, j’ai pris mon 4×4 pour aller à la ville. Les routiers me faisaient des appels de phare, ma jupe remontait sur le siège et dévoilait mes cuisses encore bien bronzées.

J’ai repéré une boutique de chaussures intéressante, je suis entrée et, bien sûr, un vendeur est venu me proposer son aide. Je lui ai montré la paire qui me plaisait, il m’a demandé ma pointure, il est parti chercher les chaussures et je l’ai vu revenir avec plusieurs boîtes. Il s’est installé devant moi sur son tabouret en annonçant : « J’ai plusieurs modèles ! » Il m’a aidée à les enfiler et là, je me suis aperçu qu’il jetait des coups d’oeil répétés vers mon entrejambe.

Il était mignon, il n’arrêtait pas de bafouiller. Je me suis levée, j’ai fait quelques pas. Je me suis rassise, j’ai changé de modèle, tout en bougeant mes jambes sans prendre de précautions. Il n’arrêtait pas de regarder ma culotte, ça m’excitait. Je sentais que je mouillais. Je lui ai demandé quelle paire il préférait, et c’est celle-là que j’ai prise. Il m’a fait une carte de fidélité. En sortant, j’ai foncé dans un autre magasin acheter une jupe courte en daim, avec des pressions. Je l’ai essayée avec mes nouvelles chaussures, et j’ai décidé de garder mes achats sur moi. Quand je suis sortie de la boutique, je suis remontée dans ma voiture. Un homme m’a fait des compliments sur ma tenue et m’a avoué m’avoir suivie. Je n’avais pas encore fermé la porte et je me suis tournée vers lui. Ma jupe est remontée, il est resté paralysé en apercevant mon string. Quelques boutons-pression ont cédé. Il s’est exclamé : « Quel bronzage ! Quelles belles jambes ! » Je lui ai dit : « Je vais vous faire un cadeau... » J’ai enlevé mon string et je lui ai donné. Hé oui ! Les femmes qui ont du cran, ça existe !

Je suis repartie en direction de ma lointaine campagne. Tout en conduisant, je touchais mon sexe trempé, mes doigts parcouraient mon entrejambe. Soudain, ma voiture a commencé à avoir des à-coups. J’avais oublié de faire le plein ! Je me suis rangée sur le côté. Quelle gourde ! J’ai pris le bidon dans le coffre pour aller chercher du gasoil. Mais comment se rendre à la première station ? Faire du stop ! Un gros poids lourd s’est arrêté. Vraiment sympa, ces routiers ! Il m’a proposé de m’emmener, mais comment monter dans le camion avec des talons et une jupe courte ? Ce conducteur très courtois est descendu de sa cabine et m’a aidée à grimper. Il m’a prise par les hanches pour me hisser jusqu’au siège et là, il a sifflé ! Quelle idiote ! Je me suis souvenu que je n’avais plus de string ! La vue sur ma foune épilée devait être très intéressante, par-dessous !

Sur le trajet, nous avons beaucoup parlé, notamment de camions. Puis la conversation a un peu dégénéré. Il m’a dit avec beaucoup d’aplomb qu’il aimerait revoir ma petite chatte fraîche et rasée ! Je le trouvais gentil, alors j’ai fait sauter les pressions de ma jupe. J’étais trempée. Il a posé sa main sur ma foune et m’a caressée. Je me laissais faire, écartant largement les cuisses. Quand il m’a mis un doigt, le plaisir a commencé à monter très vite. Je lui ai dit : « Viens, si tu veux, je vais te sucer ! » J’ai sorti sa queue qui était déjà dure. Nos sommes arrivés à proximité d’un parking, il a garé son camion. Et là, j’ai bien chauffé mon routier. Tout en le branlant, je l’ai complimenté sur ses grosses couilles pleines. Je lui ai demandé de me lécher la chatte tout en se masturbant.

J’étais tellement excitée que j’avais envie de me montrer très chaude et vulgaire ! Je lui ai dit que j’étais une bonne salope qui se faisait baiser par des routiers, par lui et tous ses potes. Il a attrapé une capote dans la boîte à gants, je voyais qu’il devenait fou d’excitation lui aussi ! Il l’a enfilée et m’a baisée sur le siège. Il était déjà bien gros, mais je le sentais encore gonfler en moi. Il me bourrait sévèrement, j’avais peur qu’il jouisse trop vite. Je lui ai demandé de m’arroser le ventre. Ça l’a encore plus excité et, presque immédiatement, il s’est retiré, a enlevé sa capote et m’a honorée de chaudes giclées. J’étais couverte de sperme.

Il m’a donné une serviette pour m’essuyer, puis il m’a déposée à mon véhicule avec un bidon plein d’essence. Ma voiture a démarré. Il m’a proposé de venir avec lui dans un café, non loin de là, où il retrouvait ses potes. J’étais prise par le temps, malheureusement, mais maintenant, je savais où je pouvais me rendre le jour où je voudrais réaliser mon fantasme de pluralité !

Mesdames, si vous avez des envies, n’hésitez pas ! Faites comme moi, faites le premier pas. Tombez en panne, le reste suivra ! Mais n’oubliez pas de vous protéger…

(Image à la une : Getty Images)

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  • jahid

    J’aime beaucoup l’histoire et j’ai devenu tres chaud

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