Le voyeur du camping

Cet été, nous avons loué une caravane dans un camping. C’était un peu vieillot, mais assez confortable. Le point particulier, c’est qu’elle était équipée de stores enrouleurs qui m’ont donné une idée émoustillante…

Un soir Rodolphe, mon mari, est parti à la salle commune avec le voisin Jean-Marc pour voir un match de football, nous sommes un peu restées à discuter entre filles avec Astrid, et puis nous sommes rentrées sagement nous coucher. Je me suis allongée sur le lit avec un livre, et la nuit venant, j’ai allumé la lumière, fermé le store. Je reprenais la lecture de mon livre, mais une idée me trottait dans la tête : je fantasmais sur l’idée que quelqu’un me découvre ainsi, à travers le store…

Je l’ai relevé de quelques centimètres et suis allée vérifier dehors le champ de vision que cela donnait, c’était parfait ! Le store paraissait fermé mais une très légère ouverture donnait une vue plongeante sur le lit. Cela commentait à m’exciter. J’ai décidé de rester en petite culotte et t-shirt afin de ne pas être trop provocante et j’ai repris ma lecture en attendant le retour des footeux.

Vers 23  heures, je les ai entendus arriver. Ils discutaient assez fort. Mais tout à coup, ils se sont mis à chuchoter en approchant de la caravane. Je devinais qu’ils avaient vu le rai de lumière et qu’ils étaient à la fenêtre. Je suis restée allongée sur le ventre et j’ai perçu quelques bribes de discussion : « Regarde… cul… salope… » Qu’allaient-ils faire ? Le temps me paraissait long, il s’allongeait… J’ai décidé de bouger, je me suis mise sur le dos, les jambes légèrement écartées face à la fenêtre. Le livre me cachait le visage, je me retenais pour ne pas rigoler. Je les ai entendu chuchoter à nouveau. La porte de la caravane s’est ouverte, et Rodolphe est entré… J’ai fait l’innocente : « Hello ! C’était bien ton match ? – Oui, pas mal, on a gagné. Et toi, tu es restée sagement à lire ? – Ben oui, très bon bouquin ! » J’étais rassurée, car il ne faisait aucune allusion au store.

Rodolphe s’est déshabillé et s’est couché en caleçon près de moi, il a passé les mains sous mon t-shirt et m’a caressé les seins tout doucement… Je le trouvais hésitant, mais moi je n’en pouvais plus, j’étais follement excitée, je craignais qu’il ne referme le store… J’ai décidé d’accélérer les choses. J’ai enlevé mon t-shirt et, dans la foulée, j’ai retiré ma culotte et son caleçon… Ce qui a eu pour effet de libérer son sexe en pleine érection !

Je savais que le voisin nous matait, mais nous étions maintenant nus et ne ressentions plus aucune pudeur à nous branler, à nous sucer… Jusqu’à la pénétration et l’orgasme ! J’ai utilisé tout mon savoir-faire et toutes les positions les plus inavouables pour offrir le plus beau spectacle possible à notre mateur qui devait se branler en nous regardant, cela a duré plus d’une heure. C’était formidable !

Au petit matin le jour filtrait à travers l’espacement laissé par le store, je l’ai simplement refermé. Rodolphe n’a jamais reparlé de cette soirée, c’est comme un secret partagé, mais sans paroles… Et qu’est-ce que c’était bien !

(Photo à la une : Getty Images)

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Le mateur fait son apparition
« Ce jour-là, nous étions seuls au monde, et je dois dire que la légère brise sur mon corps cumulée aux rayons du soleil commençait à m’exciter diablement. Provocante, j’ai commencé à me caresser devant mon mari qui n’attendait que ça. » Solange. 

Dans les bois, au crépuscule…
« J’ai entendu un bruit de branche. Je me suis accroupi pendant quelques secondes. Quel noble animal allais-je entrevoir ? Un couple ! La dame portait une jupe très courte, des bottes et un blouson en cuir. J’ai décidé de faire le voyeur. » Pierre.

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