Coquineries en couple
29 mars 2019Flora, 31 ans, Auvers-sur-Oise.
Bonjour à tous ! Moi, c’est Flora, et avec mon mari, Laurent, on est des fous du cul ! C’est simple, nous nous sommes rencontrés il y a une dizaine d’années, et depuis nous avons eu de cesse d’entretenir une passion enflammée l’un pour l’autre. Pour dire les choses de façon plus explicite : nous nous sautons dessus tout le temps, tous les jours, à n’importe quelle heure de la journée ou de la nuit.
Nous avons ainsi développé des stratégies très élaborées pour coucher dans les endroits les plus insolites qui soient. Je vais vous raconter les deux meilleures qui, je l’espère, retiendrons l’attention de votre magazine.
La première, la plus osée, c’était chez des amis, des voisins. Nous étions une quinzaine de personnes à fêter ensemble le Nouvel An, et le champagne coulait à flot. Bien sûr, Laurent et moi nous étions mis (comme à notre habitude) dans tous nos états, nous commencions à nous tripoter sous la table pendant le repas. J’avais même réussi à sortir sa queue bien longue et bien dure de son pantalon, et je le branlais délicatement tout en discutant gaiement avec les autres convives. J’étais parfaitement à l’aise, et personne ne soupçonnait quoi que ce soit ! Nous avions convenu ensemble – avant de nous rendre à la soirée – que si nous étions trop excités, il suffisait de traverser la rue pour aller s’embrocher à la maison. Mais là, on n’a pas pu tenir.
Laurent a joué le coup classique de celui qui se renverse du vin sur la chemise, j’ai fait semblant de l’engueuler en le traitant d’empoté, et nous nous sommes retrouvés en moins de deux minutes dans la salle de bain à nous bécoter l’un l’autre pendant que tout le monde en était au fromage. En fouillant dans les placards, nous avons trouvé une couverture et l’avons posée sur le carrelage froid. Laurent savait que sous ma robe de cocktail noire je portais un bustier et des bas, il m’a sommée de me déshabiller très rapidement. J’ai obéi avec empressement.
Là, il m’a fourré son énorme queue en bouche, en me prenant par les cheveux pour que je l’engloutisse bien en entier. Il l’a ensuite retirée pour que je vienne laper ses couilles telle une petite chienne en chaleur. J’adorais quand il me prenait comme ça, aussi sauvagement. Je me rappelle qu’il m’a ensuite ordonné de me masturber face à lui. En se reculant pour mieux admirer le spectacle, il a trébuché et a cassé un miroir. Sept ans de malheur pour la nouvelle année… Pourtant nous n’avons pas arrêté !
Quelques semaines après, alors que je lui faisais une fellation en voiture, sur la route des vacances, nous n’avons plus tenu. Il a stoppé la voiture dans un champ et m’a ouvert la portière, telle une princesse. Là, il m’a murmuré que je l’avais trop excité et qu’il fallait qu’il se soulage en moi, à même le sol. Nous avons pris le temps de sortir une serviette de toilette, et, sans trop de préliminaires, il m’a mise à quatre pattes par terre et est venu me pénétrer brutalement par l’arrière. Je me souviens de ce moment comme quelque chose de très animal, pulsionnel. Nous ne savions absolument pas où nous étions et nous pouvions nous faire surprendre à tout moment ! La peur d’être découverts s’est ajoutée à notre excitation naturelle, et je me souviens avoir joui dans un orgasme puissant.
Notre ébat a duré quelques minutes à peine, mais il est resté gravé très longtemps dans ma mémoire.
Voilà, si mes histoires vous ont plu et que je les vois dans les pages d’Union, alors peut-être qu’alors j’en écrirai d’autres. J’en ai plein la tête !
(Photo à la une : Getty Images)
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