Ma mère est une cochonne
20 août 2019Christelle, 48 ans, Saint-Maur-des-Fossées
Ma mère a su conserver la coquetterie, l’élégance de sa jeunesse et un visage empreint de grâce, malgré les rides du temps. Sa silhouette n’est pas dénuée de charme, avec de très jolies formes. Sa gentillesse et son dynamisme en font, A 73 ans, une mamie adorable pour les petits et encore bien désirable pour certains grands. Elle vit seule depuis dix ans. Mon mari et moi allons très souvent passer le week-end chez elle. Bien que nous ayons tous les deux 48 ans, elle ne cesse de nous gâter comme des enfants.
Un samedi, je devais m’absenter l’après-midi. Mon rendez-vous a été annulé, et je suis rentrée à l’improviste. Sans m’annoncer, je me suis dirigée vers la chambre maternelle qui semblait occupée. Là, dans l’embrasure de la porte, j’ai découvert ma mère et mon mari dans le lit, tous deux nus, en 69. Après le choc de la surprise, je suis restée là, figée, ne sachant que faire. Bizarrement, je ne ressentais strictement aucune colère. J’éprouvais plutôt de l’attendrissement, et énormément d’envie. La curiosité aidant, j’ai poursuivi en silence ma séance de voyeurisme. Ma mère avait gardé ses bas noirs, et elle se faisait lécher le minou, les cuisses ouvertes. En même temps, elle sucait la grosse queue et pressait dans une main les volumineuses couilles de son gendre (la nature l’a gâté).
Petit à petit, j’ai senti l’excitation me gagner. Presque machinalement, j’ai relevé ma robe, et j’ai commencé à me tripoter par-dessus mes collants et ma petite culotte. Maintenant agenouillé entre ses cuisses, il caressait sa chatte entrouverte, lissant du bout des doigts sa légère toison grisonnante. Puis, lui relevant un peu les jambes, il a pointé sa queue dans l’ouverture de sa fente et, d’un lent coup de reins, s’est enfoncé en elle. Ses va-et-vient réguliers s’entrecoupaient de pauses baisers sur le visage, à pleine bouche, et de dégustation de langues « façon sucette ».
Ressortant sa bite de temps en temps, il la secouait à la vue de ma mère pour la narguer, puis profitait de ses gémissements d’impatience pour s’introduire à nouveau plus profondément dans sa minette. Après un murmure à l’oreille suivi d’un long regard amoureux, il s’est retiré et l’a invitée à se positionner à quatre pattes. Ses larges hanches et ses cuisses bien remplies accentuaient le contraste avec son petit ventre rond et sa poitrine menue. Derrière elle, il écartait ses fesses à l’extrême, découvrant une chatte béante, flanquée de lèvres pendantes. L’ourlet de son anus était prêt à s’entrouvrir à la moindre sollicitation. J’étais moi aussi sous le charme de cette intimité si généreusement offerte.
Après les simples caresses, j’ai commencé à me doigter fermement. Lui, de son côté, à grands coups de langue, s’est mis à laper la fente humide et toute la raie de son cul, salivant abondamment sur le pourtour de son petit trou et la doigtant en douceur. « Ce que vous êtes belle. Je ne peux plus résister, j’ai trop envie…« . Pointant sa tige tendue sur son oeillet, il a effectué quelques poussées sans coups. J’ai été très étonnée de la facilité avec laquelle le pieu de mon mari s’est engouffré dans les profondeurs rectales de ma mère. Au contact de ses couilles s’écrasant contre sa moule, elle a poussé un léger râle. « Je te sens fort… Tu m’emmanches complètement, c’est merveilleux quand tu m’encules profond ! »
Chaque coup de boutoir faisait vibrer l’ensemble de son corps pulpeux et ballotter ses petits seins mous. Visiblement, mon homme prenait un plaisir fou à palper et malaxer cette chair tendre et laiteuse. J’ai senti à la crispation de son visage et à ses coups de reins plus désordonnés que la délivrance était toute proche. « Je ne peux plus tenir, je vais juter, belle-maman ! » Et il s’est abandonné en elle. Ma mère, les lèvres pincées et les yeux clos, savourait ce déferlement tiède en elle. « Vide bien tes grosses couilles, je te veux jusqu’à la dernière goutte ! » Il s’y est appliqué jusqu’à ce que sa verge ramollie soit rejetée par le cul de ma mère.
Pendant toute cette séance, je m’étais tellement baratté la chatte qu’elle en était branlante. Mon collant n’avait pas résisté à la pression et ma petite culotte était en partie enfouie dans ma vulve dégoulinante de mouille. Maintenant allongée sur le dos, souriante, elle goûtait son bonheur en contemplant son bienfaiteur. Avec son instinct maternel toujours présent, elle l’a attiré tendrement à elle : « Viens mon chéri, je vais te la faire toute belle. » Elle a enfourné dans sa bouche la queue ramollie tâchée de salissures et gluante de sperme pour un nettoyage à la salive. Profitant de cette petite toilette, j’ai quitté l’appartement pour une balade afin de faire le point sur la conduite à tenir et permettre, par la même occasion, à mon entrejambe de sécher un peu.
Finalement nous nous aimions beaucoup, adorions le sexe, et je n’avais pas la volonté d’interdire ce bonheur offert à ma mère. J’envisageais plutôt d’avouer mon désir de prendre part à cette relation, malgré son caractère immoral, voyant aussi le moyen d’assouvir mon envie d’aimer ma mère encore plus fort. Le soir même, je leur ai relaté ma séance de voyeurisme et mes souhaits. Bien loin d’être choquée par mes désirs incestueux, ma mère, sans la moindre hésitation ni gêne, a montré sa joie, trouvant naturel de n’avoir plus rien à se cacher ou de risquer un drame familial ou conjugal. Quand à mon mari, il était littéralement aux anges. Depuis, nous passons tous les trois nos week-ends dans une ambiance de tendresse, de bien-être familial et bien entendu, de plaisirs sexuels, sans la moindre retenue…
(Image à la une : Getty Images)
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james59
Bonjour Christelle,
J’ai aimé ton histoire.
J’aimerais te rencontrer. Serait-ce possible ?-
Philippe Bermude
Bonjour j’aimerais rencontrer ta mère.
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Mohamed
J’ai adoré l’histoire c’était trop chaud