La fiancée presque déflorée

La rédaction 28 juin 2020

Abdel, 32 ans.

Salut, c’est Abdel. Je taffe dans un domaine chicos en Seine-et-Marne. Le genre d’endroit que les bourges louent pour des anniversaires ou des mariages. Je peux vous dire que certaines fiancées sont très, très chaudes, tout comme cette histoire de sexe. La dernière que j’ai pécho s’appelait Clotilde. Une jolie blonde avec des petits nichons mais un cul bien rond qui compensait. Sa tête de riche me plaisait moyen mais elle était plutôt gentille. Elle a fait une première visite avec ses parents puis elle est revenue toute seule prendre des photos pour son chéri qui était déployé à l’étranger.

Une femme de militaire, c’était parfait. En bavardant avec elle pendant que je lui faisais faire le tour du château, j’ai compris qu’elle n’avait pas vu son mec depuis plusieurs mois. Ça devait la démanger entre les cuisses… Alors je suis rapidement passé en mode drague. J’ai vu qu’elle accrochait : s’encanailler avec un Rebeu, ça la rendait toute chose. Je lui ai fait des compliments de plus en plus cash : et qu’elle serait une belle mariée, et que son mec avait de la chance, et que moi, je ne la laisserais pas comme ça, seule sans surveillance. Elle gloussait comme une dinde.

J’ai compris qu’il y avait moyen quand on est entrés dans la suite nuptiale. C’est un endroit romantique, et les nanas mouillent dès qu’elles passent la porte. Je me suis assis sur le lit et j’ai tapoté sur le drap, juste à côté de moi. « Venez, Clotilde, pour voir si vous arrivez à vous imaginer ici avec votre futur mari. » Elle a rougi, un peu gênée, mais s’est quand même assise. Sa petite robe est remontée sur ses cuisses quand elle s’est installée. Tout doucement, j’ai posé ma main sur sa peau nue. La bourge a tremblé. J’ai jeté un œil à son visage : elle était cramoisie, mais ne m’a pas dit non pour autant. Alors je suis remonté jusqu’à son entrejambe et j’ai glissé mes doigts.

Avec ma main libre, j’ai attrapé son menton et je l’ai obligée à ouvrir doucement la bouche. Puis très lentement pour ne pas lui faire peur (pas envie qu’elle parte en courant me dénoncer au boss !), je me suis penchée vers elle et je l’ai embrassée façon prince charmant. Elle frissonnait quand ma langue est entrée dans son gosier. Ses cuisses se sont écartées et j’ai frôlé son clitoris.

Après cette première étape périlleuse, j’en ai fait ce que je voulais, ou presque, vu que Clotilde a quand même refusé tout du long que je la pénètre. Je pense qu’elle était vierge et qu’un coup de queue en travers de son précieux hymen aurait fait désordre dans la famille de coinços. Alors j’ai dû ruser pour prendre mon pied, et j’y suis pas mal arrivé.

Pour commencer, je lui ai enlevé sa robe et je me suis allongé en la plaçant sur moi, mon ventre contre son dos. Ensuite, je lui ai montré comment masturber sa petite chatte aux lèvres sortantes. Elle a fait la timide au début, mais en lui murmurant à l’oreille que tout ça serait notre petit secret et que j’allais lui faire du bien, elle s’est détendue. Au bout d’un moment, elle s’est même franchement astiquée, et j’ai ensuite pu frotter mon chibre comme je voulais.

En revanche, à chaque fois que je faisais genre j’allais le rentrer, même juste un centimètre, elle se tendait. Alors j’ai fini par la retourner en levrette et je me suis mis par-dessus, dans la même position qu’elle. Comme ça, je pouvais m’occuper de son cul. Elle n’a pas dit non cette fois-ci : pas de risque qu’on sache qu’on lui avait touché le derrière !

J’en ai profité pour lui enfoncer mon index dans le petit, et elle a couiné comme une petite chienne. Je l’aurais bien enculée mais je me suis contenté de me branler par en dessous, en même temps que j’enfonçais mon doigt. Elle tortillait bien du cul, preuve que la vierge coincée était au fond une vraie coquine. J’ai pensé à la gueule de son militaire s’il la voyait se faire trouer le cul dans leur future chambre nuptiale. Ça m’a tellement excité que j’ai déchargé, la recouvrant du nombril jusqu’aux nichons.

Elle a un peu pleurniché en disant que ça n’était pas sympa que je la traite comme ça. Je lui ai caressé les cheveux en rigolant et en lui expliquant que je ne dirais à personne qu’elle avait aimé ça. Elle a rougi et s’est essuyé comme elle a pu avec sa petite culotte.

On a fini la visite presque normalement (sauf que Clotilde n’osait plus me regarder en face). Depuis, elle n’est pas revenue. J’attends avec impatience le mois de mai prochain, quand elle se mariera au château. Elle aura peut-être une ou deux copines demoiselles d’honneur à me présenter, qui sait ?

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Voyage de rêve

« Elle s’est allongée sur la banquette souillée et ne m’a pas présenté son sexe, mais bien son anus. Les jambes relevées, elle a franchement écarté ses fesses, dévoilant un trou déjà bien dilaté. Je me suis mis à genoux à mon tour et j’ai léché, craché, titillé, pour détendre encore plus la chair. Puis, en semi-extension au-dessus d’elle, j’ai plongé mon chibre jusqu’à la garde dans son trou d’amour. » Luc, 41 ans.

Profession : star-fuckeuse

« Lentement, ma star a écarté les pans de mon gilet, puis a baissé mon body. Mes seins ont bondi hors de leur prison de tissus. Comme un gamin en manque d’affection, Tom a fourré sa tête et s’est mis à embrasser mes nichons passionnément. Je mouillais grave et quand ses doigts sont passés sous mon legging, il a pu en rentrer deux sans que je bronche. Il a fouillé en moi longuement, remontant parfois sa main pour lécher le nectar qui coulait abondamment dessus. Quand un troisième doigt a transpercé mon petit minou, l’orgasme a été très violent. » Linda, 29 ans.

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La rédaction


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