Voyage de rêve

La rédaction 29 juin 2020

Histoire de sexe « Elle m’a sucé, elle à genoux, moi debout. Puis, quand elle m’a senti bander à mort dans sa bouche, elle s’est relevée… »

Je suis commercial et très souvent seul sur les routes. L’an dernier, le travail m’a amené en Croatie un week-end du 15 août. Ma boîte m’avait pris un bel hôtel pour se faire pardonner de me faire bosser pendant les vacances. C’est donc dans un cadre idyllique que j’ai rencontré Katia et vécu une histoire de sexe incroyable.

Après avoir fini mes rendez-vous en ville, j’ai traîné au bord de la piscine de l’hôtel. Les nanas, clientes comme employées, étaient magnifiques. Les mecs, en revanche, avaient l’air de gros lourdos et ne faisaient pas rêver avec leurs bides poilus. Clairement, avec mon mètre quatre-vingt et mon corps athlétique, je sortais du lot. Je n’ai donc pas été très surpris quand une grande liane blonde et bronzée, vêtue de la jupe et de la blouse de l’hôtel, a commencé à me tourner autour.

J’étais allongé dans un transat quand elle m’a proposé une boisson. Mais son sourire me promettait plus… J’ai demandé un soda. Elle a ouvert la bouteille à quelques centimètres de moi et j’ai senti quelques gouttes fraîches sur mon torse. La jeune demoiselle a attrapé une serviette en papier sur son plateau et a commencé à m’éponger de ses longues mains manucurées. Dans mon short de bain, ça a commencé à frétiller.

J’ai demandé en anglais comment s’appelait ma jolie serveuse. Avec un étrange accent, elle a répondu : « My name is Katia. » J’ai poursuivi : la charmante Katia ne connaîtrait-elle pas un endroit un peu plus au frais, où nous pourrions bavarder ? La belle a souri et m’a dit : « Follow me. » La suivre ? Mais où elle voulait ! Quand elle s’était penchée vers moi, sa jupe était remontée et j’avais pu voir la lisière de ses jarretières. Plus sexy, tu meurs…

Elle a récupéré la bouteille et a tourné les talons. J’ai attrapé ma serviette de bain et je l’ai suivie, laissant quelques mètres entre nous pour ne pas attirer l’attention. Notre destination : un local à piscine avec, dans un coin, une sorte de banquette couverte de taches douteuses. Clairement, je n’étais pas le premier à venir dans ce qui avait l’air d’être le baisodrome des employés. J’étais très excité.

Katia m’a alors parlé en croate, une espèce de roucoulement très sensuel. J’ai compris que c’était des mots de séduction. Je lui ai répondu en français qu’elle était très attirante et que j’avais envie de son corps si parfait. Ces quelques mots l’ont fait tomber à mes genoux… Le charme de notre langue marchait à fond sur les locales.

Elle m’a sucé, elle à genoux, moi debout. Puis, quand elle m’a senti bander à mort dans sa bouche, elle s’est relevée et a sortie une capote de la poche de sa jupe. J’ai alors compris qu’elle m’avait repéré depuis un moment au bord de la piscine et avait bien préparé son coup. Être la proie de cette créature de rêve m’enchantait. Surtout que la prédatrice s’est transformée en petite soumise dans les secondes qui ont suivi !

Elle s’est allongée sur la banquette souillée et ne m’a pas présenté son sexe, mais bien son anus. Les jambes relevées, elle a franchement écarté ses fesses, dévoilant un trou déjà bien dilaté. Je me suis mis à genoux à mon tour et j’ai léché, craché, titillé, pour détendre encore plus la chair. Puis, en semi-extension au-dessus d’elle, j’ai plongé mon chibre jusqu’à la garde dans son trou d’amour.

Un véritable puits sans fond… La belle était clairement une fana de sodomie et avalait littéralement mon mandrin par l’anus. Quel pied ! Je l’ai enfoncé puis fait coulisser lentement avec délice, le ressortant parfois pour admirer la vue. Son cratère était totalement ouvert et noir comme l’enfer. Du bout du doigt, je sentais les bords palpiter, pour replonger ensuite de plus belle.

J’ai aussi testé Katia en levrette, mais ce n’était pas aussi bon. Quand elle a eu joui dans cette position en prononçant des mots incompréhensibles, je l’ai retournée de nouveau et j’ai continué à la prendre. L’orgasme l’avait rendue molle comme une poupée de chiffon, et je me suis fait le plus grand des plaisirs en la bourrinant à fond. J’ai fini par retirer la capote et elle n’a pas protesté. J’ai giclé au-dessus de son gouffre, le sperme maculant ses fesses et coulant dans son tréfonds. Un délice.

Katia m’a embrassé puis a quitté le baisodrome. Je suis ressorti discrètement quelques minutes plus tard. J’ai quitté la Croatie avec l’impression du devoir accompli, et je ne parle pas seulement de ma mission professionnelle…

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« Elle a sauté sur mon lit et a retiré sa robe dans un même mouvement, plein de grâce. Son corps était à se damner ! Elle avait des seins fermes, petits et haut perchés. Son ventre était une invitation au plaisir et à la tendresse, sa chatte transpirait de désir et d’envie. Elle me voulait et cela transparaissait à travers son corps et les positions lascives dans lesquelles elle m’attendait. Je l’ai baisée toute la nuit. » Victor, 41 ans.

Un voyage inoubliable

« Lorsque la lubrification devient intense, que ma langue et mes lèvres sont mouillées de son jus, elle s’allonge, elle baisse mon boxer et me lèche la queue qui ne tarde pas à être à sa taille maximale. Elle s’allonge sur le dos, écarte ses cuisses et me réclame. J’entre en elle. Chantal pousse un gros soupir de soulagement, puis plusieurs petits cris avant de s’abandonner dans l’extase d’une superbe jouissance. »Michel, 63 ans.


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