Ses gros seins de Bakélite

La rédaction 11 janvier 2021

Julien, 25 ans, fait la connaissance d’une belle femme noire. Il va connaître une histoire de sexe très chaude avec elle !

J’ai fait la connaissance d’Aurélie, une jolie femme noire qui est l’amie d’une collègue de travail. Lors de notre rencontre, elle m’a avoué aimer être jolie et attirante, ce qui était le cas. Pour elle, il n’y avait pas besoin de faire de grands discours pour séduire. Le regard et l’élégance suffisaient. Et croyez-moi, je n’ai pas mis longtemps à fondre pour son regard… Je me suis laissé entraîner dans une histoire de sexe très coquine !

Elle portait une minijupe qui mettait très bien en valeur ses très jolies jambes et sans attendre elle a commencé à écarter son top pour me dévoiler sa poitrine rebondie. Elle a fini par le retirer complètement, et j’ai pu me régaler de son anatomie.

Elle avait un beau soutien-gorge rouge qui augmentait encore le volume de ses seins. On sentait qu’elle aimait se sentir femme. Elle accordait manifestement beaucoup de soin au choix de ses tenues. À la regarder comme ça, je me rendais compte que chaque centimètre carré de sa peau me donnait des frissons. Mon sexe commençait à être à l’étroit dans mon pantalon, si bien que j’ai moi aussi commencé à me dévêtir.

Avec délicatesse, elle a retiré son soutien-gorge et elle a commencé à caresser ses globes magnifiques. Elle m’a proposé de venir l’aider… Ses tétons pointaient, et elle avait des frissons de partout. Elle a fini par se déshabiller complètement pendant que je lui triturais ses grosses mamelles d’amour.

Elle s’est agenouillée devant moi et elle a glissé délicatement ma queue tumescente entre ses loches d’ébène. Je prenais un grand plaisir à la regarder faire. Sa poitrine était incroyablement douce. Quel bon début pour se mettre en forme.

Elle aimait bien mon côté coquin et elle m’a demandé si j’avais envie de sentir sa bouche sur ma queue. Elle voulait me prouver son expertise en matière de jeux de langue. Et j’ai bien dû avouer qu’elle se débrouillait admirablement !

Ses premiers coups de langue m’ont rendu électrique de la tête aux pieds. J’ai dû me tenir à la table pour ne pas chavirer. Je lui ai demandé me mordiller gentiment le gland. J’aime quand il y a un peu de piment pendant les préliminaires, rien de tel pour se donner l’envie d’aller plus loin, très loin !

Cette fille me rendait complètement dingue. Je n’avais plus qu’une seule idée en tête : la baiser à tout prix ! Je l’ai basculée sur le côté, sur la table et je l’ai pénétrée d’un seul coup ! Elle en avait tellement envie, la belle. Sa chatte était totalement en eau. Elle me disait qu’elle aimait mon souffle chaud sur sa peau.

Elle en profitait pour se caresser de partout en se pressant généreusement les seins et le petit bouton. Elle se le frottait énergiquement à présent. Je l’entendais pousser de petits cris de plaisir, ce qui m’incitait à continuer de plus en plus fort.

Mais déjà, elle voulait changer de position. Elle est venue s’accroupir au-dessus de moi et s’est enfilée sur ma bite. Elle me faisait tellement bander ! Mon excitation était à son paroxysme. Elle a d’abord joué un peu avec ma bite en allant et venant sur mon manche, tout doucement, avant de s’empaler dessus. Elle recherchait clairement les sensations les plus intenses. Elle était face à moi. Elle me chevauchait. Elle me dominait et m’imposait sa cadence soutenue. Ma queue allait exploser.

J’aimais tellement l’entendre gémir. On y allait toujours plus à fond. Elle m’aidait à aller au plus profond d’elle. Elle était vraiment trempée de mouille, et moi aussi du coup. Elle se tenait à mes hanches, et je cramponnais les siennes. Elle devait sentir que j’étais au bord de l’éjaculation. Elle voulait m’y emmener.

Elle s’est retirée d’un coup et m’a masturbé avec une énergie décuplée par l’outrance de notre rapport fougueux. J’ai fermé les yeux, entièrement absorbé par le plaisir de l’instant. Je me sentais incapable de bouger. J’étais possédé par la jouissance.

Elle avait visiblement très envie de me voir exploser. J’arrivais au point de rupture. Une immense vague m’a emporté, et j’ai été submergé. Dans la foulée de belles giclées de foutre ont fusé sur son visage, dans ses cheveux… Sa langue chaude est revenue sur mon gland. Elle m’a nettoyé la queue jusqu’à la dernière goutte.

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