La belle queue de Jean

La rédaction 29 mars 2019

Victor, 37 ans, Chalon-sur-Saône.

Salut les lecteurs d’interstron.ru ! Vous le savez certainement, il y a des rencontres qui peuvent changer une vie. Moi, c’est celle de Jean qui a bousculé la mienne. Pas que je sois devenu homosexuel grâce à lui, c’est juste que Jean et moi, nous avons développé une alchimie très rare tous les deux. Maintenant que le petit est entré au collège, Justine (ma chérie) et moi, nous nous sommes retrouvés tous les deux avec du temps libre à la maison… et une vie sociale proche du zéro absolu ! Nous avons donc décidé de reprendre chacun des activités qui nous plaisaient : elle c’était la peinture, et moi, le tarot. Une vieille passion familiale que j’avais abandonnée en grandissant.

Dès les premières parties, nous avons très vite sympathisé, Jean et moi, et depuis, nous ne jouons qu’ensemble. Nous sommes devenus les deux meilleurs du club, nous étions redoutés de tous nos camarades de jeu. J’en parlais souvent à Justine qui était très contente que je me fasse de nouveaux amis, mais je n’avais jamais eu l’idée de l’inviter à la maison. C’est quand elle m’a glissé à l’oreille qu’elle s’ennuyait durant ses longs cours de peinture que je l’ai convié à dîner à la maison, alors que le petit était en vacances chez ses grands-parents. J’étais intimement convaincu qu’elle allait le trouver aussi génial que moi !

Et ça n’a pas raté. À peine en étions- nous à l’entrée – et déjà bien éméchés par l’apéritif – que Justine m’a murmuré qu’elle le trouvait très séduisant. Je m’attendais à ce qu’elle le trouve drôle ou cultivé, et j’avoue avoir ressenti un peu de jalousie quand j’ai entendu cette confidence. Elle pouvait donc avoir du désir pour un autre ? Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment-là de lui demander : « Tu veux qu’on fasse un plan à trois ? » Moi-même, je n’étais pas sûr d’en avoir envie. Elle a souri avec cette mimique du coin des lèvres que j’avais appris à décrypter avec le temps comme un « oui ». « OK, on lui propose au dessert », a-t-on simplement conclu.

Nous n’avons eu de cesse de resservir Jean en alcool durant tout le dîner afin qu’il soit le plus euphorique possible. Quand Justine a enfin posé la question qui nous obsédait tant, au moment de la salade de fruits, Jean a rougit immédiatement et a soufflé : « Je n’aurais jamais osé vous le proposer ! » Il était clairement partant, nous aussi, nous nous sommes donc empressés de monter dans notre chambre.

Jean et moi bandions comme des ânes dès le pantalon retiré. Nos queues faisaient à peu près la même taille, la sienne était un peu plus poilue. Ça m’a rassuré ; ça peut paraître bête mais je n’aurais pas apprécié de baiser ma femme avec un mieux membré que moi. Elle les a toutes les deux prises en bouche, histoire de se chauffer un peu, puis elle est allée chercher un de ses jouets préférés : un superbe vibromasseur violet. Quand elle le sortait du placard, je savais que c’était le jour de fête. Elle l’aimait tellement qu’elle ne prenait le risque de l’abîmer que lors de rares occasions.

Elle se le tenait fermement enfoncé dans la chatte, prenant son plaisir seule face à nous. Jean et moi la contemplions comme deux gamins émerveillés devant un sapin de Noël. Nous savions qu’il ne fallait pas l’interrompre, que c’était son moment et qu’elle prenait son pied en se sachant matée. Elle a joui une première fois, dans des spasmes presque maîtrisés, puis elle nous a invités à aller la rejoindre.

Jean est allé s’occuper de sa bouche et m’a laissé – grand seigneur – le soin de besogner son con. J’ai enfourné ma bite au plus profond de ses reins, la zone était encore chaude et humide de son précédent orgasme. J’aimais tellement cette sensation, quand elle est encore à fleur de peau. J’ai entendu Jean râler, je n’ai pas eu besoin de regarder ce qu’il se tramait pour comprendre la scène : le coup était parti trop vite, Justine devait très certainement avoir la bouche remplie de son sperme. Je n’ai pas osé regarder ça, je pense que cela m’aurait fait un léger choc. Je me suis vite fini en elle, et elle a couru se rafraîchir à la salle de bain.

Jean m’a regardé, l’air désolé de ce qu’il s’était passé, et nous avons tous les deux éclatés de rire. Comme deux bons copains qui venaient de commettre une bonne grosse farce. Peut-être oserai-je vous avouer que j’aurais aimé, moi aussi, sucer la belle queue de Jean… Mais peut-être est-ce encore un peu tôt dans notre relation à tous les trois.

La prochaine fois que nous l’inviterons à dîner, promis, j’oserai.

(Photo à la une : Getty Images)

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