Tout par le cul
18 novembre 2021Je m’appelle Maeva, j’ai 27 ans et j’aimerais raconter mon histoire porno. Avant d’entrer dans le vif du sujet, laissez-moi vous dire que je suis une femme dotée d’un physique assez… avantageux.
Une cible pour la soirée
Je l’entretiens à coups de séances de sports, de soins à ma personne et de pas mal de sexe qui me maintient à flots ! Je suis particulièrement fière de mes fesses. Deux globes parfaitement galbés à la fois fermes, qui “tiennent”, et joliment moelleux quand il le faut, à trembler légèrement quand je me fais prendre en levrette. Bref, un cul du tonnerre ! Je reçois beaucoup de compliments à son sujet et il est souvent un argument de poids pour séduire mes proies.
J’ai pu encore le vérifier pas plus tard qu’hier, quand je me suis retrouvée entraînée dans une soirée endiablée dans un club de ma région. Je suis entrée dans les lieux en majesté, robe moulante bien ajustée sur mon derrière de femme callipyge. Les hommes me regardaient, côté face comme côté pile, et c’est toujours aussi grisant de sentir toutes ses paires d’yeux sur mon corps, comme une caresse lointaine qui me faisait du bien par anticipation.
Il y avait parmi eux Antoine, un quadra qui était un très beau mec, brun, craquant, à la plastique à la hauteur de la mienne. Sa femme était là, mais ils semblaient tous les deux présents pour aller se divertir avec d’autres corps que les leurs.
Je suis allée leur parler et j’ai proposé un verre à Antoine. Sa femme lui a donné sa bénédiction, car elle avait repéré un mec qui lui plaisait au bar. “Amusez-vous bien. On se retrouve plus tard, chéri.” C’était un couple ouvert, comme on dit. Et une fois par mois, ils s’autorisaient à sortir ensemble et à draguer qui ils voulaient, et plus si affinités. Nous avons discuté, il avait apprécié que ce soit moi qui l’entreprenne, même s’il m’avait repérée dès mon entrée dans la pièce et qu’il comptait se rapprocher de moi si je n’avais pas fait le premier pas.
Je le trouvais charmant, sûr de lui, et pas macho pour autant, un savant dosage d’assurance et de respect. Même si j’aurais bien aimé qu’il me manque de respect pour m’emmener rapidement aux toilettes et me prendre contre un mur… Mais Antoine n’était visiblement pas pressé. Il m’a fait la conversation et comme je l’interrogeais sur sa femme, nous nous sommes mis à parler du sujet qui nous rassemblait le plus : le sexe.
Tout par le cul
Il m’a dit qu’il appréciait la liberté de leur couple, mais qu’il aurait bien aimé s’autoriser plus de choses avec elle, utiliser des sextoys, s’adonner à la sodomie qu’elle refusait, etc. Là, ça devenait intéressant. “Viens à la maison t’entraîner avec moi”, ai-je fait, provocante. Ça a eu l’air de l’exciter. Pour la forme, nous avons quand même dansé un peu collés-serrés, et j’ai pris soin de frotter mon cul en rythme contre son sexe déjà raide sous son jean pour lui donner un petit aperçu de mes charmes.
Je l’ai ramené à mon appartement. J’ai voulu qu’il admire mon cul, alors je l’ai emmené dans ma chambre et sans plus attendre, je me suis déshabillée, gardant uniquement mon soutien-gorge de dentelle rouge, et je me suis mise à quatre pattes sur le lit, cul en l’air, bien bombé, fièrement dardé en arrière, pour qu’il se prépare à la possession de mon atout le plus précieux. J’ai agité mon boule sous son regard hypnotisé et il m’a demandé s’il pouvait me prendre en photo, car il adorait garder des souvenirs de ses amantes.
J’ai dit oui avec plaisir et j’ai pris la pose en cambrant encore plus les fesses et en lui jetant des regards brûlants par-dessus mon épaule, vibrant d’érotisme pour lui. Comme j’aimais ce petit côté exhibitionniste, j’ai attrapé un sextoy dans mon tiroir et l’ai enfoncé dans ma chatte. Je lui ai donné une petite télécommande pour qu’il appuie dessus et que le jouet vibre en moi au gré de ses pressions. Le petit objet m’a arraché des râles de plaisir. Jambes écartées, il pouvait voir ma chatte et l’intérieur de mes cuisses en train de vibrer à l’unisson du jouet. Ça l’a beaucoup excité de regarder et de photographier mon plaisir.
Je me suis remise à genoux, cul relevé vers lui, les coudes sur le lit, mon œuf vibrant toujours à l’intérieur de moi, attendant qu’il s’occupe de mon autre orifice, ce qu’il a fait. L’inconnu a posé sa bite à l’entrée de mon fondement et s’est mis à le stimuler doucement avec le bout de son gland. C’était une caresse préliminaire très sensuelle, le genre de caresse qui me fait décoller sans préambule. Le sextoy vibrait très fort dans ma chatte car il avait poussé le niveau au maximum de sa puissance. Et mon cul s’ouvrait petit à petit sur le passage de sa verge lubrifiée qui est entrée dans mon conduit pour mettre le feu à cet endroit si délicat.
La pression de sa bite en moi, couplée aux impulsions du sextoy qui s’agitait dans mon vagin, était en train de me submerger de sa puissance… Sa femme ne savait pas ce qu’elle loupait ! Ses coups de bite dans mon cul étaient si tendres, il arrivait à faire d’un truc un peu brutal comme la sodomie un geste d’une grande douceur en s’enfonçant très doucement et en me laissant le temps de vibrer avec lui, le temps à mon bassin d’accompagner son mouvement. Les vibrations du sextoy amplifiaient sa pénétration et m’ont emmenée vers un orgasme décoiffant !
Ensuite je me suis retournée et je l’ai laissé se frotter entre mes cuisses, le branlant moi-même d’une main jusqu’à ce qu’il soit au bord de la jouissance. J’ai alors approché mes seins de son sexe pour qu’il gicle sur ma poitrine. J’ai adoré toucher mes seins visqueux de son sperme, ça avait un côté très cochon. Nous nous étions donné un plaisir infini l’un à l’autre et quand il est retourné auprès de sa femme, je n’ai pas pu m’empêcher de ressentir de la jalousie. Je me suis calmée en me donnant un deuxième orgasme avec mon sextoy, en pensant à lui.
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