La cousinade
8 août 2021Ma plus belle histoire d’amour physique, je l’ai vécue il y a cinq ans. Cette nuit-là, nous avons joué une sacrée partition ! Je m’appelle Carole, j’ai 39 ans et voici mon histoire porno à huit mains.
De nouvelles connaissances
Je fréquentais le ciné–club de mon quartier depuis quelques mois déjà et je m’étais liée d’amitié avec sa présidente, Sophie. De fil en aiguille, nous avons commencé à nous voir en dehors du club : cafés en ville pour papoter, virées shopping, et même repas à la maison entre filles. J’aimais sa conversation : elle était cultivée, joyeuse et pas timide pour deux sous. Elle parlait aussi pas mal de sa sexualité, très libre, en tenant son verre de vin du bout des doigts et en secouant sa chevelure blonde quand elle s’animait en me donnant des détails coquins. J’étais fascinée.
Un soir, pendant une projection au club, j’ai senti une présence. Deux hommes venaient d’entrer dans la pièce et s’étaient assis juste derrière moi. Sophie, qui était installée sur le siège d’à côté, a posé sa main sur ma cuisse et a chuchoté : « J’ai demandé à deux amis de passer, je voudrais te les présenter après la séance. » J’ai passé la fin du film tendue sur ma chaise, troublée par le parfum musqué des deux hommes que je devinais dans le noir, guettant leur respiration. La situation m’angoissait et me rendait toute chose à la fois.
Après la séance, nous avons parlé du film avec les gens du club. Les deux invités surprise sont restés silencieux. Je les ai observés : des yeux bleu-gris tous les deux, une allure athlétique et comme un air de famille… Sophie a fini par mettre fin aux discussions, et nous avons quitté la salle direction le bar qui jouxtait le ciné-club. Sophie papotait gaiement. Elle avait l’air de très bien connaître Christophe et Julien…
Nous avons commandé un verre, puis deux. Au fur et à mesure je me suis détendue. Les deux garçons étaient cousins et avaient monté leur boîte ensemble. Nous avons parlé de leur travail, du mien et de petites choses futiles. Tout était étonnamment naturel, et quand Sophie a proposé un dernier verre chez elle, j’ai suivi sans hésitation.
Pour de nouvelles sensations
Dans le cadre familier de son joli appartement, je me suis sentie sereine. Et quand elle a tamisé les lumières et que les deux cousins se sont approchés d’elle pour l’embrasser sensuellement, toutes mes appréhensions se sont envolées. C’est Sophie qui a fait le premier pas vers moi. Elle a caressé mes cheveux, et j’ai senti mon corps vibrer de désir. Quand sa langue s’est mise à fouiller ma bouche, j’ai compris à quel point je la désirais.
Elle m’a entraînée vers son lit et m’a déshabillée sans un mot, faisant ensuite sauter ses vêtements. Ses cheveux blonds ont caressé mon ventre tandis qu’elle enlevait mon chemisier, et mes seins se sont durcis. Elle les a pétris lentement. Au fond de la pièce, les deux cousins s’étaient mis à l’aise : nus tous les deux, assis chacun dans un fauteuil, ils avaient sorti leurs gourdins et s’astiquaient lentement, le regard vissé sur nous.
Sophie m’a fait connaître des sensations brûlantes : elle s’est collée à moi, ses seins lourds à hauteur de ma bouche, m’obligeant à téter ses beaux mamelons roses. En même temps, elle explorait ma chatte d’un doigt agile. « Tu mouilles tellement, ça va être un bonheur pour Christophe et Julien », a-t-elle soufflé. J’ai gémi. Combien de temps Sophie m’a-t-elle préparée ? Cela m’a semblé durer des heures… Elle a léchée goulûment mon sexe, puis s’est servi d’un petit gode noir trouvé dans sa table de nuit.
Pendant qu’elle le faisait coulisser entre mes lèvres, je l’imaginais écartant sa vulve rose d’une main, le plongeant en elle en poussant des gémissements de plaisir… Cette pensée a déclenché un premier orgasme, qu’elle a accompagné en m’embrassant, mes râles se perdant dans sa bouche entrouverte. Les deux cousins étaient maintenant tout près de nous. Sophie m’a retournée et est venue fouiller mon petit trou de sa langue. J’ai alors compris que j’allais servir simultanément au plaisir de ces deux messieurs.
Julien a installé une couverture par terre et s’est allongé dessus. Christophe m’a dégagée doucement de l’étreinte de Sophie et m’a placée au-dessus de son cousin. Celui-ci m’a enfilée d’un coup, m’arrachant un râle de plaisir. Sur le lit, Sophie s’activait avec le gode encore humide de ma mouille. J’ai senti Christophe derrière moi. Une seconde après, mon cul était perforé par son énorme queue. J’ai hurlé.
Tous les deux m’ont ainsi ramonée pendant près de trois quarts d’heure. Enculée par l’un, le sexe écarté par l’autre, j’ai joui deux fois en poussant des cris stridents. À chaque fois, j’ai vu Sophie se cambrer à l’unisson, le gode au fond de la chatte. Épuisée, j’ai fini par demander grâce. En grognant, mes deux amants ont accéléré la cadence, et j’ai reçu leur foutre chaud par-devant, puis par-derrière.
J’ai fini la nuit dans les bras de Sophie, collante de semence et de salive. Nous nous voyons toujours pour des moments intimes exceptionnels, avec ou sans ses très nombreux amis.
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