Merci belle-cousine

La rédaction 12 avril 2021

Ben, 24 ans rencontre la copine de son cousin. Il tombe sous le charme et se met à fantasmer sur elle… qui ne va pas tarder à le rejoindre.

Je m’appelle Ben, j’ai 24 ans et je vais vous raconter mon histoire de sexe.

Aux dernières fêtes de famille, j’ai rencontré la nouvelle compagne de mon cousin Léo, Anita. Il nous la présentait pour la première fois alors qu’ils sortaient ensemble depuis des mois et je ne comprenais vraiment pas pourquoi. Elle était à tomber par terre ! Une minette au visage ravissant et au corps insensé ! Fine, beau décolleté, cul bien moulé, et un look de lolita avec des hauts à froufrous et pas mal dénudés malgré le froid. Ses jeans moulants lui enrobaient les fesses comme un paquet cadeau. Je suis plus jeune qu’elle et lui, mais j’ai toujours aimé les filles avec plus d’expérience.

Je ne pouvais pas m’empêcher d’attendre avec impatience le moment où nous nous retrouvions seuls dehors pour fumer, car nous étions les deux seuls fumeurs. J’en étais tout agité et intimidé. Elle a fini par le voir et elle a eu l’air de s’en attendrir. Après ça, j’ai remarqué qu’elle faisait un peu exprès de traîner avec moi le soir, elle s’intéressait à moi, me frôlait de ses doigts. Je me demandais si elle se payait ma tête ou si elle me trouvait mignon. J’ai eu la réponse le lendemain, pendant notre cigarette du soir. “T’es trop chou”, m’a-t-elle dit en déposant un baiser au coin de mes lèvres dans une zone suffisamment ambiguë pour me faire fantasmer sur elle toute la nuit.

Mais la suite des événements est plus folle encore. Le lendemain, tout le monde était parti en promenade, j’étais resté au lit pour lire et je me croyais seul. En repensant à son geste de la veille, je me suis doucement mis à me branler, imaginant que c’étaient ses mains qui dansaient sur ma queue. C’est alors qu’on a frappé à la porte. J’ai remonté les couvertures prestement et Anita est entrée ! Elle était restée à la maison, elle aussi !

Elle a éclaté de rire. “Alors, on se tripote ?” Et puis, tout de go, elle m’a dit qu’elle avait bien envie de m’aider. Elle est venue sur le dessus de lit et a retiré le peignoir blanc qu’elle portait. Et là, miracle, une apparition ! Elle était en porte-jarettelles, corset léopard, fanfreluches… Un harnachement de pro tel qu’on n’en voit que dans les fantasmes les plus fous ! Elle s’est mise à quatre pattes en travers du lit et a dandiné des hanches pour me montrer sa chatte et son cul bien dodu sous toutes les coutures.

J’avais une vue plongeante sur les plis de ses lèvres intimes. Ma trique était dure comme un parpaing ! “Rince-toi bien l’œil, petit coquin”, a-t-elle murmuré, confessant son indéniable goût pour l’exhibitionnisme. De la poche de son peignoir, elle a sorti un gros gode qu’elle s’est fourrée dans la chatte tout en me regardant. On aurait dit une scène d’un porno vintage avec son accoutrement, mais qu’est-ce qu’elle était bonne et bien gaulée, la chaudasse !

Je n’avais qu’une hâte : tremper ma bite dans cet océan de sensualité. Anita se godait toujours, mais je n’osais pas encore la toucher avant qu’elle me donne le feu vert. Par contre, je l’ai prise en photo avec mon téléphone et elle a posé pour moi comme pour un magazine de charme ! Jugez plutôt… Elle m’a dit que son fantasme était dopé par la crainte d’être surprise dans une posture embarrassante. C’était son plus gros booster de libido et elle avait déjà épuisé mon cousin avec ! Elle aimait vraiment flirter avec les limites. “J’ai envie de baiser dans les autres pièces de la maison.” Elle m’a entraîné en petite tenue dans le salon et elle a continué son show privé en s’installant sur la table basse à quatre pattes, cul gainé, fente humide, prenant des poses de statue pornographique. Je lui vouais un culte et m’installais aux pieds de la table pour la mater sous tous les angles et la prendre encore ma muse en photo tout en continuant à me branler. Est-ce que j’étais encore en train de rêver ? Est-ce qu’on serait chassés de la maison si on nous surprenait dans pareille posture ? J’essayais juste de croquer ce moment, aussi avidement que si j’avais croqué dans ses fesses bombées.

Elle s’est agenouillée sur la table comme si elle était sur son piédestal de statue à vénérer. Elle m’a ordonné de me relever. Elle a extirpé ma bite de mon caleçon et a penché le visage dessus pour la laper, la dévorer, l’aspirer et s’en régaler avec force mouvements de bouche et de langue. Waouh ! J’avais jamais reçu pareille pipe de ma vie ! Elle s’est retournée sur la table basse et, même si elle menaçait de s’écrouler, elle voulait que je la prenne dessus, en petit chien derrière elle qui était à demi agenouillée, à demi à quatre pattes.

Je l’ai prise avec ma jeune maladresse, mais j’ai bien senti le bonheur que c’est de plonger dans une chatte bien vivante au milieu de cuisses et d’un bassin affolés de désir qui vibrent, qui remuent, qui dansent la danse du plaisir tout autour d’une queue bien raide ! La vénus magnifique aux accessoires de traînée m’avait transporté de désir pour elle et je me perdais dans les plis et les cavités de son sexe…. Tout en balançant son cul pour accompagner mes percées, elle a arqué son corps en se redressant sur ses genoux, manquant de faire s’écrouler la table, et j’ai joui dans cette chatte folle qui n’aimait rien tant que la prise de risque…. Elle aussi a joui, plus excitée par la situation que ma bite et avant d’aller se rhabiller, elle m’a encore gratifié d’un : “Merci, mon chou.”

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