Je me fais un jeune travesti !

La rédaction 29 décembre 2020

Bastien, 33 ans, va découvrir les plaisirs secrets de son jeune voisin. Ce jeune homme va rapidement l’initier à ses envies coquines…

Je me fais un petit travesti

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Je suis célibataire, âgé de 33 ans, j’habite un bel immeuble dans lequel je loue un appartement au dernier étage. Un samedi après-midi, je profitais du mauvais temps pour faire un peu de rangement. Soudain, le téléphone sonne. Qui cela peut-il être?

Je décroche le combiné et une voix d’homme, assez douce, se fait entendre. C’est le jeune homme, de 23 ans, qui habite l’appartement en dessous du mien. Il me demande si je veux bien lui apporter mon aide pour un problème de branchement électrique. Je lui réponds que j’arrive tout de suite, le temps de prendre mes outils.

J’arrive devant la porte du jeune homme, je sonne et il vient m’ouvrir en s’excusant de me déranger un samedi après-midi. « Cela ne me dérange pas du tout », lui dis-je. Puis je lui demande de m’exposer son problème de branchement. Ce n’est qu’une simple panne de rien du tout ou presque : la machine à laver n’est plus sous tension.

Je me mets au travail et le jeune homme s’excuse de me laisser, il voudrait continuer de réviser ses cours. Au bout d’une vingtaine de minutes, le jeune homme, qui m’a dit s’appeler Jonathan, me propose un café bien fort.

Une dizaine de minutes plus tard, ce n’est plus un jeune homme qui m’apporte un café, mais une super nana sexy jusqu’au bout des ongles. Je me rends vite compte que Jonathan s’est travesti et entreprend de me séduire. Il m’invite à le suivre au salon et une fois que je suis confortablement installé dans un fauteuil il, ou plutôt elle, commence un strip-tease très lent et lascif.

C’est la première fois que j’ai une aventure avec un travesti, mais ça m’excite beaucoup. Ses gestes sont tellement beaux que je bande comme un cerf. Quand Jonathan a retiré sa veste et son chemisier, je vois tout de suite qu’elle porte une guêpière blanche en dentelle. Elle fait glisser le fermoir de sa jupe et celle-ci tombe à ses pieds chaussés de magnifiques escarpins noirs vernis. Elle est vraiment bandante, cette fille un peu spéciale.

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Elle vient s’asseoir sur mes genoux et entreprend de libérer mon sexe tendu par le désir et la nouveauté de cette situation. Ses mains sont douces et cajolent avec amour mon pénis. Je me laisse faire et je dois dire que j’apprécie beaucoup ses caresses. Quand elle me prend en bouche pour me sucer, je ne résiste pas longtemps avant d’éjaculer avec force entre ses lèvres.

Puis nous bavardons un peu et quand j’ai repris des forces, que je bande à nouveau, Jonathan me présente sa croupe mais me supplie de ne pas le sodomiser. Je coince alors mon pénis entre ses cuisses serrées et je commence un lent va-et-vient. De temps en temps, je sens mon gland frotter contre ses testicules.

Elle me demande de proférer des grossièretés pour l’exciter davantage. Le désir m’enhardissant, je m’empare de sa verge, je le masturbe et quand il s’épanche entre mes doigts, je décharge une deuxième fois contre ses testicules en grognant de plaisir.

Nous passerons toute la fin de l’après-midi ensemble. Je lui demande si je peux rester la nuit. Il accepte, mais à une condition, que je me travestisse aussi. «Nous ressemblerons ainsi à deux lesbiennes», me dit-il. L’expérience me paraissant intéressante, j’accepte. Je me retrouve vêtu d’un porte-jarretelles noir, de bas noirs et d’un soutien-gorge assorti. Il n’y a pas de doute, cela doit me plaire, car je bande aussitôt.

Pendant la nuit, j’exécute ma première fellation et j’avale avec ferveur le sperme de ma compagne masculine. Depuis nous nous voyons régulièrement pour nous travestir tous les deux et nous donner réciproquement du plaisir. Déçu par les femmes, j’ai enfin trouvé un partenaire qui m’aime pour moi et non pour mon argent. En fin de compte, je commence à trouver la vie très agréable.

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