Mon amante mystérieuse

Paule 8 février 2024

Jeune commercial dans une chambre d’hotel seul, tous les soirs de la semaine, sans une femme, sans un ami, et soudain une femme viens dans ma chambre .

Elle est tombée pile … poil !

Seul dans une chambre d’hôtel impersonnelle, tous les soirs de la semaine, sans personne, sans une femme, sans un ami, juste avec ses marmottes de présentation, voilà la vie d’un commercial en lunetterie qui traverse son secteur géographique. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Et parfois, se produit l’impensable, quelqu’un a cogné légèrement à ma porte début octobre à vingt heures passées. J’ai ouvert en peignoir, à peine sorti de ma douche, désabusé et prêt à un exercice incendie ! La jeune créature qui s’est dessinée dans l’embrasure n’avait absolument pas l’intention de me faire déguerpir de là, mais cherchait un certain Jean-Michel. Lorsqu’elle a fini par comprendre que « l’Excelsior » était sûrement le nom d’hôtel le plus répandu de France, elle a fondu en larme contre mon épaule garnie d’éponge absorbante. Trempée jusqu’aux os par une pluie picarde tenace, je l’ai invitée à aller se doucher. Quand elle est ressortie de la salle de bain en tenue d’Eve, j’ai eu un double choc, la cause en était sa silhouette totalement divine et le triangle noir qui ornait son mont de Vénus !

N’arborant qu’un juste au corps qui moulait, serré, une paire de seins parfaits, elle s’est avancée vers moi et m’a libéré de la serviette que je portais en pagne autour de la taille. Je ne savais pas qu’il était possible de bander en aussi peu de temps, mais quand elle a pris ma queue entre ses doigts, j’étais dur comme du marbre. Elle a enfourché mon torse sans dire un mot, aucun son ne pouvait franchir le seuil de mes lèvres et Chloé (j’ai lu son nom sur son ras de cou) s’est mise à agiter ma bite avec une pogne tout à la fois douce et autoritaire. Moi qui aime avoir la maîtrise de la situation lors des moments intimes, je ne contrôlais plus rien ! Cette nana était gaulée comme une mannequin, mais se comportait telle la dernière des catins, ses traits étaient dignes du plus haut rang aristocratique, mais sa chatte était une broussaille informe et hirsute qui me répugnait ! Enfin, qui aurait dû me répugner selon mes canons de beauté, sauf que là, j’étais subjugué par ce joyau anthracite qui explosait de fragrances plus sexuelles les unes que les autres. Et le lent va-et -vient manuel sur ma queue s’était transformé en une machine implacable qui me branlait comme si plus rien ne comptait.

Là-bas, dans le halo de lumière indirecte qui éclairait l’entrejambe de Chloé, je n’avais d’yeux que pour ses grandes lèvres qui débordaient et formaient comme les portes d’un temple qui n’attendaient que d’être franchies par mon pieu dur comme du granit désormais.

Sans quitter son top, mon amante mystérieuse est venue au-dessus de moi, absolument pas choquée de me trouver portable entre les doigts, en train d’immortaliser cette scène surréaliste. Ma bite toujours tenue fermement en main, elle a chatouillé sa fente inondée du bout de mon gland et s’est laissé glisser dans un feulement que n’aurait rejeté aucune savane, la plus sauvage soit-elle. Sa chatte était un étau brûlant, une caverne qui se refermait sur mon vit au fur et à mesure qu’elle l’absorbait en son sein.

Le triangle noir se levait et s’abaissait en rythme, implacable, humide et incandescent. J’ai fini par lâcher mon téléphone et ai coulé des mains affamées sur ces courbes ensorcelantes, l’une découvrant une poitrine menue, mais vigoureuse, ornée d’aréoles rétractées et sombres, l’autre s’emparant d’une fesse musclée et charnue. Mais rien ne venait perturber la silencieuse danse qui prenait forme au-dessus de moi, les hanches, mobiles, laissaient mon membre gagner l’air libre avant de l’avaler dans ses tréfonds cramoisis. La torture dura longtemps, lascive, tantôt chaloupée, tantôt vive et implacable, des doigts fragiles se promenaient en toute inconséquence de mon torse à mes bourses compressées par la position. Chloé a fini par se libérer de son haut, ses petits nichons défiaient la gravité et, même lorsqu’elle s’agitait avec force sur mon pieu, ces derniers bougeaient à peine. Elle a joui dans un éclair muet, son corps de ballerine arqué à l’extrême, moi planté en elle jusqu’à la garde. Elle s’est dégagée, comme si rien ne s’était passé et m’a branlé de toutes ses forces jusqu’à ce que je jute en criant. L’orgasme que j’ai eu ce soir-là, jamais je n’en avais eu de tel auparavant. Elle m’a léché la bite, le ventre, les couilles, jusqu’à nettoyer toute trace de mon sperme qu’elle a lapé et avalé avec une franche gourmandise.

Elle s’est levée, est allée dans la salle de bain, a pris une douche porte ouverte, s’est rhabillée et est partie sans un mot.

A LIRE AUSSI>> Chloé l’amie de ma fille

A LIRE AUSSI>> Le sexplorateur

A LIRE AUSSI>> Drôle de jeux

À propos de l’auteur

Paule


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru