My beautiful laundrette
1 août 2024Charlotte, 21 ans, Paris. Rencontre une femme qui a confondu son linge avec le sien et l’invite chez elle pour se faire pardonner.
Quand j’étais étudiante, je vivais dans un petit studio du 11e arrondissement de Paris. Je n’avais pas de lave-linge. Je pratiquais les allers-retours à la laverie automatique du coin. ll n’y a rien de plus ennuyeux que de poireauter dans une laverie. Aussi, j’avais l’habitude de lancer ma machine et d’aller boire un coup au café d’à-côté avec un bouquin. Je revenais mettre en route le séchage et je retournais au troquet.
Le souci, c’est qu’un jour, quand je suis arrivée, j’ai retrouvé mon sèche-linge vide de chez vide ! J’étais verte. Que faire ? J’étais en train de m’arracher les cheveux quand une nana, une jolie brunette, est arrivée en trombe, tout essoufflée : « Euh, je crois que je me suis plantée, j’ai embarqué votre linge au lieu du mien. Je suis désolée…« Et moi, soulagée. La fille a récupéré ses habits et m’a dit : « Venez, j’habite juste à côté, je vous rends vos affaires, encore mille excuses ! » Voici mon histoire de sexe.
Une invitation chez elle
On est arrivées chez elle et elle m’a tendu un sac avec toutes mes fringues en vrac dedans. « Je peux vous offrir un café pour me faire pardonner ? J’ai aussi des biscuits secs. Mais alors, très très secs. » Elle a explosé de rire, moi aussi. On s’est installées et on a discuté en buvant le café. En même temps, j’ai commencé à plier mes affaires. Un moment donné, j’ai sorti un petit string vert en dentelle assez sexy (juste parfait avec mon ticket de métro de rousse) et là, Malika a sifflé comme un mec : « Waouh, tu dois être canon avec ça. Vas-y, essaie pour voir ! » Ça m’a fait bizarre mais pourquoi pas, on était entre filles après tout ! J’ai ôté mon jean et j’ai enfilé le string sur ma culotte de coton. « Ben non, c’est pas drôle comme ça. Mets-le sans ta culotte ! » Ok ! Moi, ça commençait à me chauffer ces petits déshabillages.
Une fois en string, je me suis assise et j’ai balancé à Malika : « À toi ! » Elle a ôté son jean en souriant. Pas de culotte en vue, elle était à poil dessous. « Je ne porte jamais de culotte, m’a-t-elle confié. Ça excite ma copine. Ah ouais, je t’avais pas dit, je suis lesbienne. » Il y a eu un blanc. « Je te choque ? » Moi : « Non, pas du tout, c’est juste que je ne m’y attendais pas… » Elle a repris : « Non seulement je suis lesbienne, mais en plus, tu me plais grave ! » Elle s’est rapprochée et m’a volé un petit baiser. Je l’ai regardée et j’ai fait de même.
Une lesbienne entreprenante
Elle m’a renversée sur le canapé et m’a caressée partout. J’étais déjà en string, mais elle m’a ôté mon pull, mon soutif, et m’a cajolé la poitrine. Mon désir montait en flèche. Dans mon sexe, c’était la tempête. Malika passait de mes seins à ma bouche pour les embrasser alternativement. Ses lèvres avaient un goût de framboise. Elle a approché son visage de mon string pour me lécher. Je l’ai arrêtée « Non. pas comme ça, je veux te goûter aussi. » Je me suis dépêchée de lui enlever le haut. Son sexe à la toison noire et bouclée avait l’odeur de la fleur d’oranger et du désir de femme. On s’est mises en 69, moi au-dessus. J’ai senti ses doigts et sa langue chaude s’immiscer dans mes muqueuses, et j’ai plongé la tête dans son oasis de poils bruns.
De mes mains, je lui ouvrais les cuisses pour mieux accéder à sa fente. Je l’ai léchée comme j’aime qu’on me le fasse. Elle, elle me fouillait avec habileté, on sentait que c’était son truc. Pourtant, elle a joui la première. Je m’étais concentrée pour ne pas céder et la faire décoller avant moi. Ses cris se sont étouffés dans mes chairs. Mais elle a vite repris son cunni. Agrippée à ses cuisses, je remuais sur sa langue fouineuse. En quelques minutes, elle m’a emmenée au septième ciel. Elle s’est dégagée de moi et m’a enfoncé deux doigts dans la chatte. Elle les a agités avec un tel savoir-faire que j’ai aussitôt redécollé. On a fini l’après-midi à se bouffer et à se caresser.
On s’est revues par la suite. Elle a fini par m’avouer qu’elle avait fait exprès de prendre mon linge à la place du sien « pour [te] parler enfin… » Elle m’avait « repérée« . On a vécu une jolie histoire. Ça a duré plusieurs mois. Je ne l’oublierai jamais.
(Image à la une : Getty Images)
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« Romain me fixait bouche bée, la queue toujours en main, ne bougeant plus. Il avait l’air tellement crétin, j’ai éclaté de rire. À vrai dire, je le trouvais plutôt craquant, utilisation abusive de mes sous-vêtements ou pas. » Amandine