Ma fente m’excite
29 décembre 2019Marina, 27 ans
Quand j’étais une gamine, j’adorais me « déguiser » en femme avec les affaires de ma mère. Je lui piquais ses culottes, ses soutiens-gorge, j’enfilais ses talons, je me maquillais, je passais des heures à me regarder dans le miroir, transformée. Aujourd’hui, à 27 ans, je suis toujours aussi coquette, sauf que je porte ma propre lingerie. Et j’ai des goûts différents de ma mère : je suis une fan du Camel Toe. J’ai découvert ça en passant des vacances en Espagne. J’avais oublié mon maillot de bain. J’en ai racheté un en vitesse dans une boutique. En l’enfilant, j’ai vu qu’il me moulait bizarrement, et que ma fente, déjà naturellement bombée, était très visible.
À la plage, à peine mon paréo ôté, tout le monde avait plus ou moins les yeux vissés sur le bas de mon maillot blanc… ça m’a excitée à fond. Depuis, je fais une fixette sur la lingerie qui met en valeur les formes de mon sexe intégralement épilé. J’achète dans des boutiques ou sur Internet toutes sortes de strings fendus et de culottes transparentes. C’est fou ce que les fabricants de lingerie sexy peuvent être inventifs ! Ça me plaît d’allumer les mecs avec ça, de porter des jeans blancs serrés qui me rentrent dans le sexe, des collants sans rien dessous. En plus, la sensation du nylon sur mes lèvres intimes, je kiffe…Il y a environ un mois, je me suis rendue à un entretien d’embauche. Pas question de changer mes habitudes vestimentaires : j’avais mis des talons, une jupe noire évasée et des collants sans culotte en dessous.
J’ai couru pour attraper mon bus et, bien sûr, je me suis ramassée. J’ai d’abord eu le réflexe de vérifier que je n’avais pas filé mes collants, la jupe relevée sur les hanches. Un type d’une trentaine d’années est venu m’aider à me relever. Il avait l’air troublé. Là , j’ai réalisé qu’il avait dû avoir un aperçu complet de mon anatomie. Je lui ai expliqué pour l’entretien d’embauche, je devais filer. Il m’a glissé sa carte de visite dans la main en me demandant de l’appeler juste après pour lui dire comment ça s’était passé. Il s’appelait Grégoire.
Mon entretien d’embauche s’est bien déroulé. Dès que j’en suis sortie, j’ai passé un coup de fil à mon bel inconnu. On s’est donné rendez-vous dans un café. Quand je suis arrivée au rendez-vous, Grégoire m’attendait, assis. Je me suis installée en face de lui et je lui ai fait du pied sous la table. Il s’est levé et s’est dirigé droit vers les toilettes. J’ai laissé passer un moment, puis je l’ai suivi. On s’est jetés l’un sur l’autre, on s’est embrassés goulûment. Il salivait beaucoup, Ça me plaisait de le boire. Ses mains baladeuses ont frotté ma petite chatte à travers mon collant. Je mouillais déjà pas mal, mon odeur musquée flottait dans l’air.
On s’est engouffrés dans un des WC. Je lui ai défait sa braguette pendant qu’il remontait ma jupe. Il bandait comme un âne. Une bite claire et nervurée, dure comme du béton armé. Il l’a frottée sur mon collant. Puis, il s’est agenouillé et s’est mis à me lécher à travers le tissu. C’était magique… Mon ventre faisait des montagnes russes, je hoquetais de plaisir. La vision de sa petite langue rosée contre le nylon satiné me transportait. Il s’est relevé, les genoux un peu pliés, et ses mains se sont solidement plaquées à mes fesses. Sa queue a fermement cherché l’entrée de ma chatte, protégée par le léger voile transparent. Son gland est entré doucement à l’orée de mon puits d’amour, tirant sans arriver à le percer sur le collant qui faisait du coup comme un préservatif. J’ai joui, mais lui s’est retiré très rapidement pour éjaculer sur ma cuisse, quatre bonnes giclées de sperme blanchâtre sur le tissu brillant.
On a entendu frapper à la porte des cabinets, et une grosse voix s’est élevée : « C’est pas un hôtel de passe ici. Allez faire vos saletés ailleurs! » Un vrai tue-l’amour ! Un peu honteuse, j’ai replacé ma jupe et je suis sortie des toilettes, puis du café. Grégoire m’a rappelée le lendemain. Il m’a invitée chez lui. On s’est refait un plan collant, on a même pris des photos. C’était la première fois que je rencontrais un fétichiste, comme moi. Je ressentais une attraction magnétique pour lui. Pour notre troisième fois, j’ai voulu lui faire partager ma passion du camel toe. J’ai mis un string rose bien serré, en résille transparente, qui me rentrait bien dans la fente.
Grégoire m’a déshabillée en me laissant mon string, dont dépassaient mes deux grandes lèvres. Il a dévoré ma chatte des yeux, ça a suffi à me faire mouiller à fond. Il s’est mis à poil. J’étais allongée sur le canapé, ouverte à mon désir et offerte au sien. Il m’a léchée longuement à travers le string, me faisant mouiller comme une dingue. Je sentais ma liqueur couler. J’en avais un peu sur mes cuisses, mon string était totalement imbibé de mon jus ! Il a légèrement déplacé mon petit dessous sur le côté et m’a pénétrée d’un coup sec, forçant le passage dans ma chatte.
Il m’a bourrée tant et si bien que j’ai eu trois orgasmes en cascade. Mon ventre se soulevait, les veines de mes tempes battaient. Je me suis défaite de son emprise et j’ai retiré mon string, qui était tout poisseux. J’ai masturbé la verge de Grégoire avec le bout de tissu gluant, de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’il jouisse à son tour, dans un grand râle. Je crois bien que j’ai trouvé mon double question cul. On se voit assez régulièrement maintenant. Il faut dire qu’on s’entend si bien sexuellement! Qui sait, peut-être le début d’une grande histoire d’amour…
(Image à la une : Getty Images)
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