Oui Maître !

Nanou Redacteur 27 mai 2023

Karen se retrouve les yeux bandés et attachée dans un lit à la merci de n’importe qui.
Son visiteur et maître du soir saura combler ses envies !

Entre ordre et récompense. Vous m’avez demandée de me donner à un homme pour une histoire de sexe que vous avez minutieusement choisi pour moi. Ordre, car Vous êtes mon Maître et que je Vous dois obéissance complète. Récompense parce que Vous connaissez mon appétence pour les sexes volumineux et la nouveauté.

Votre requête était que je vous adresse un compte-rendu des plus précis, le voici selon Vos désirs.

Un rendez-vous imposé

J’arrive dans l’hôtel que Vous avez réservé, vêtue comme imposé, un simple corset noir sexy, très serré et une culotte noire assortie, fendue à l’entrejambe.

Je frappe à la porte et je ceins mes yeux d’un bandeau. Je sens une main puissante et douce m’attirer. Le premier contact est masculin, de celui que n’offrent que les hommes sûrs d’eux, dominants par nature.

Le zip de ma robe s’abaisse et le tissu fluide tombe de mes épaules. J’entends un « Hummm » de satisfaction juste avant qu’un collier ne soit posé autour de mon cou. Me voilà parée pour le cérémonial que vous m’avez imposé. Je m’agenouille au pied de cet inconnu, il accroche une laisse en maillons métalliques au collier, je me prosterne et attends les instructions.

La voix grave qui m’intime de monter sur le lit tandis que je suis tirée par la laisse me fait mouiller immédiatement. Une main caresse mes fesses tendues. La voix veut que je me cambre et pour m’encourager quelques claques s’abattent sur ma peau blanche. J’obéis et cambre ma chute de reins au maximum. Cela a l’air de satisfaire l’Homme. J’entends des bruissements derrière moi, je suis statufiée dans ce lit, mes charmes à disposition des regards que je devine.

Dominée au lit

Mon cul est claqué, pétri, ouvert. Mon complice étire la dentelle élastique afin d’accéder à mes orifices. Il me prend par surprise, son membre m’emplit, la pénétration semble être sans fin. Il est large, il est long, il est dur comme j’aime. Enfin je sens le poids des bourses qui s’écrasent sur mes lèvres. Je suis remplie, il ne bouge plus, mon fourreau accepte doucement la charge. Il est doux, délicat, il recule lentement. Je sens mes nymphes enflées se dérouler et se plaquer le long de la hampe qui recule jusqu’à ce que le gland stoppe sa course à l’orée de ma chatte.

Je soupire, je le veux de nouveau en moi. À nouveau une claque explose sur ma fesse gauche, le membre viril réinvestit ma forteresse. Mais ce n’est qu’un échauffement, une visite préliminaire des lieux. Il s’agite en quelques va-et-vient plus rapides et abandonne ma grotte désormais béante.

Il quitte le lit, j’entends fouiller derrière moi, que cherche-t-il ? Un fouet, un martinet, un jouet malicieux pour me baiser « al mano » ?

Enduite de bonheur

C’est froid, c’est doux, c’est onctueux, ça coule sur ma peau. Un parfum d’amande relevé d’une pointe d’amertume … de l’huile. Il me caresse, il m’enduit, pas un centimètre carré de ma peau ne lui échappe. Un tintement métallique, de nouveau, avec une douceur matinée d’une autorité qu’il parait dangereux de défier. Il m’attache les mains dans le dos, c’est inconfortable mais pas assez pour devenir douloureux. En quelques mots il m’ordonne certaines poses. Je me soumets au moindre de ses désirs, je dois être parfaite, sublimement docile.

Je sais ma catharsis proche, j’entends les déclics. J’essaye d’imaginer ce que je montre, quels seront les cadrages, si Vous serez heureux et excité par le résultat. Je me donne entièrement, je suis une esclave dévouée, juste pour Votre bon plaisir.

La queue de l’inconnu refait son apparition, plantée là, au creux de ma féminité, sans volonté de jouir ou de me faire jouir, uniquement pour la beauté d’un cliché. Puis les choses s’emballent, la colonne de feu prend vie et je la reçois avec de plus en plus d’ampleur, de plus en plus d’intensité. Il me baise pour de bon, son pouce se fraye un chemin dans mon anneau, l’huile le fait glisser loin en moi. Le message est clair, je vais me faire sodomiser par ce mandrin hors norme. Mon esprit perd pied, mon cœur palpite, mon ventre se crispe. Me sera-t-il possible d’encaisser ce calibre s’il se fait sodomite ?

Plaisir arrière insoupçonné

Le temps que je me pose la question, l’homme sort de ma fente, je la sens ouverte et mouillée, le gland glisse du haut de la raie de mes fesses jusqu’à la cible recherchée. Ce mouvement, tout en pression, fait s’ouvrir mon anus avec une facilité déconcertante. Je sens mon œillet se refermer sur la corolle resserrée de ce chibre improbable. Loin d’être une punition pour moi (j’adore qu’on me prenne par derrière). J’ai juste encore une trace d’angoisse mais la folie du moment l’emporte, je m’ouvre.

Il doit avoir senti ma couronne se détendre, l’huile d’amande douce est là pour lubrifier le passage. Il m’encule doucement, en mouvements amples et lascifs. Il me permet de me caresser le clitoris, mon plaisir est rapide à venir, je feule longtemps, profitant des contractions de mon cul autour du phallus désormais immobile.

Il se retire avec la même onctuosité qu’il m’a possédée et m’offre le choix de l’endroit où il giclera. Cela me surprend, en général vos scénarios sont très détaillés et très précis. J’ai envie de faire plaisir à cet amant exceptionnel, je lui offre ma bouche.

Pipe soumise

Je lèche le frein, un cocktail de saveurs m’explose en bouche, mélange d’huile, de fluides mâles et femelles, de mon musc intime. Ces fragrances renforcent encore mon désir de lui faire du bien, j’avale le membre, je l’enserre dans ma petite main qui en fait à peine le tour, il est vraiment hors catégorie.

Des doigts triturent mes seins, les pincent, les étirent, les malmènent, je devine que vous avez donné cette clef à l’inconnu. Je gémis tout en salivant derechef la hampe qui me baise la bouche désormais. Quelques soubresauts, la queue qui se gonfle, ma langue sent le gland devenir lisse à l’extrême, c’est le signal que j’attendais, je caresse les bourses, un filet s’échappe du méat puis c’est la cataracte de sperme.

Doucereuse, presque sucrée, l’éjaculation est volumineuse et goulue. J’avale tout.

L’homme se rhabille sans se doucher et sort de la chambre, me laissant pantelante, à genoux sur le sol. Vous serez content, j’en suis sûre, j’en suis fière.

« Soumisement » vôtre.

(Source image à la une : Shutterstock)

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