Salle de sport coquine
5 février 2023Je m’appelle Patrick, j’ai 51 ans et j’aimerais partager une histoire porno. Fan de porno et d’histoire bien chaudes, je ne perds pas une occasion de me régaler. J’aime les filles menues avec de gros tétés, et puis un peu timides : ça me fait bander !
L’inconnue bonnasse de la salle de sport
Avec l’âge, c’est moins facile de choper. Alors je varie les terrains de chasse. Ma dernière trouvaille, c’est la salle de sport. On y voit plein de belles pépés en collant moulant qui agitent leurs loches sur les tapis de course. Moi, je porte le jogging large pour qu’elles ne me voient pas trop bander. Et je me finis parfois dans les douches, en imaginant ce qui se passe dans le vestiaire des filles juste à côté. Je suis certain qu’il y en a qui se gougnottent…
Il y a quelques semaines, j’ai pu me faire un beau petit plaisir. Son prénom : Sarah. Pas beaucoup plus que 20 ans mais des loches de femme enceinte, moulées dans son tee-shirt en Lycra blanc. Elle venait tous les lundis et les vendredis et se défonçait sur les machines. Le genre à ne pas bien supporter ses nouvelles rondeurs de femme…
J’ai commencé doucement, en me mettant pas trop loin d’elle sur un tapis roulant. Je l’observais pendant qu’elle suait tout ce qu’elle savait. Petit à petit, je me suis rapproché jusqu’à entamer la discussion. Elle avait un sérieux problème de confiance en elle, la petite ! Elle venait d’aménager seule à Bordeaux pour étudier à la fac, sa famille lui manquait et puis elle avait pris du poids à cause du stress. Je lui faisais des blagues et des compliments sur son corps, ce qui la faisait rougir. Mais je sentais que ça lui plaisait bien, qu’un type plus âgé la trouve bonne.
Un vendredi soir, j’ai senti que c’était le moment. Sarah avait tellement forcé qu’elle avait une crampe à la jambe. Je lui ai dit que j’avais des bases de kiné et que j’allais lui faire passer sa crampe. La salle de sport était quasi vide et j’étais le dernier mec dans la place. Alors je lui ai proposé de me suivre au vestiaire des hommes pour lui faire passer sa crampe. En réalité, j’avais surtout l’intention de tirer la mienne !
Massage intime pour la blessée
J’ai installé ma serviette sur un banc et j’ai allongé Sarah dessus. Puis j’ai commencé à masser son mollet. Elle poussait des gémissements de douleur qui déjà me faisaient bander… L’idée qu’elle crierait encore plus fort si je lui écartais son petit abricot avec mon gourdin m’a mis dans un état pas possible. Alors je suis passé à la vitesse supérieure.
« Je ne peux pas masser en profondeur avec ton caleçon », je lui ai dit. Elle m’a regardé avec des grands yeux étonnés. J’ai profité de sa stupeur pour poser mes mains sur ses hanches et rouler doucement le pantalon jusqu’aux chevilles. Elle n’a pas bronché. J’ai massé encore en remontant vers ses cuisses, direction sa craquette. Mes doigts ont fini par s’égarer du côté de sa petite culotte. Sarah s’est cambrée.
Sous le fin tissu blanc, j’ai trouvé son clito à tâtons. Il était ferme et gonflé. La garce pouvait jouer les ingénues, Patrick savait ce qu’elle voulait ! Tout en lui excitant le bouton d’or de la main droite, j’ai continué à remonter le long de son corps de la main gauche. D’elle-même, Sarah a dégagé le passage : hop le tee-shirt, hop la brassière ! Ses loches m’ont explosées à la figure.
S’occuper des tétons, ma première mission. Ils étaient larges et roses, sans doute qu’ils n’avaient pas traîné dans beaucoup de bouches. Résultat : Ils étaient bien durs à la moindre léchouille. Je m’en suis donné à cœur joie, mordant et bavant dessus. Plus bas, ça mouillait sévère et mon pouce est entré comme dans une motte de beurre. Sarah couinait des petits « Non ! Non ! » mais à chaque fois que je retirais ma main, elle la remettait dans sa chatte. Quelle petite coquine…
Quand j’en ai eu marre de tourner autour du pot, j’ai placé Sarah face à moi et j’ai sorti mon arme. Une queue de type gros calibre, prête à tirer de la bécasse ! J’ai pressé ses lolos l’un contre l’autre pour en faire un fourreau confortable. Mon sexe s’est glissé dedans et je me suis fait coulisser entre ses globes visqueux. Un régal.
La cerise sur le gâteau ? Quand Sarah s’est offerte. Après m’avoir bien écrasé entre ses tétons, elle s’est allongée sur le banc tout en me prenant dans sa mimine. Mon dard paraissait encore plus gros entre ses doigts ! Je l’ai fourrée, m’attendant presque à ce qu’elle saigne tant elle était serrée. Mais elle n’était pas vierge : sa façon de contracter sa vulve autour de mon engin me l’a prouvé.
Affalé entre ses lolos, j’ai fait quelques va-et-vient et j’ai craché tout ce que j’avais dans les prunes. Ça a giclé tout autour des petites lèvres, tellement Sarah était étroite ! Elle a porté la main à son mielleux et a tâté le jus, un sourire aux lèvres. En voilà une qui avait besoin d’un bon plein…
Je n’ai pas encore revu Sarah. Je la laisse se languir de moi. Peut-être que je retournerai à la salle la semaine prochaine ? Un peu d’exercice lui fera sans doute du bien.
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