Le beau gosse de la salle de sport

La rédaction 21 janvier 2021

Amazone des temps moderne, Manon, 29 ans, séduit le beau gosse de sa salle de gym et finit par une séance de sport des plus intense.

Le beau gosse de la salle de sport !

J’ai 29 ans et j’aime faire l’amour en femme libre. À ce titre, je me considère plus ou moins comme une amazone, mais sans arc ! Je reste avant tout une passionnée de la sensualité et une pacifiste. Il se trouve simplement que je n’appartiens à personne. Mon dernier beau gosse en date ? Je vais vous le raconter dans cette histoire de sexe. Un joli caprice que j’ai repéré à mon club de gym. Il était juste trop mignon avec son petit short et sa serviette blanche pour éponger la sueur. Il soufflait fort sur le tapis de course, un lecteur mp3 rivé aux oreilles.

Son air concentré, sa détermination et sa fine musculature de coureur de fond le rendaient incroyablement sexy. On sentait qu’il était totalement dedans et qu’ensuite, il allait prendre une bonne douche froide, remettre ses cheveux en place avant d’enfiler son costume de ville pour retourner au travail. C’était comme dans une publicité pour du gel douche. Cliché total, je sais! Mais j’avais envie de ça et, en matière de sexe, je m’interdis de m’interdire quoi que ce soit.

Je l’ai donc rattrapé avant qu’il ne file du club, à son heure habituelle (oui, oui, j’avoue, je l’avais déjà maté deux ou trois fois à la dérobée). Je ne me suis pas embarrassée de préliminaires ennuyeux, j’ai été frontale : « Salut, on va boire un café, beau gosse ? » Il a eu l’air d’hésiter… Il devait évaluer ma santé mentale en silence ! Il est vrai que les femmes prennent rarement les devants, et je sais que cela risque de déstabiliser ces messieurs. Mais il a bien sûr fini par me répondre dans un grand sourire « spécial dents blanches » : « On ne peut rien refuser à une telle beauté ! Comment vous appelez-vous, Mademoiselle ? — Manon, — Ah ? Bof, je n’aime pas trop. » Il se payait ma poire ! Il m’a adressé une moue moqueuse et a bien rigolé avant d’ajouter : « Meuh non, Manon, j’adore ! C’était le nom de ma mère qui s’est suicidée. »

Là, je ne savais carrément plus sur quel pied danser… « Ahaha, non pardon, je vous fais marcher. On se tutoie ? » J’étais doublement conquise. En plus d’être absolument craquant, il avait un humour très noir, tout ce que j’aime. Je n’habite pas loin, je lui ai donc proposé de faire plus ample connaissance à la maison. Nous n’étions pas dupes, ni l’un ni l’autre. Dès que la porte a été fermée, j’ai posé une main sur sa queue. Il portait sa belle banane à gauche. Elle était déjà en train de gonfler. Je l’ai sentie remuer à l’intérieur de son pantalon de costume gris sous l’effet de mes doigts inquisiteurs. Je me réjouissais d’être tombée sur un cobra aussi réactif !

Nous sommes passés directement dans ma chambre en nous embrassant. Il était bouillant. J’espérais qu’il avait gardé un peu d’énergie pour moi après sa séance de sport. Je n’ai pas été déçue… Il a attrapé son smartphone pour nous photographier en pleine action, et on s’est « mis à table » comme des sauvages. Il semblait vouloir me dévorer avec les doigts. J’ai dû le calmer un peu pour pouvoir faire mon strip-tease tranquillement. J’adore ce moment. On s’étire comme des chats, on se caresse, on se découvre. C’est un peu le yoga de l’amour. Mais lui, non ! Il voulait me bouffer toute crue, comme ça! Exceptionnellement, j’ai décidé de relâcher une partie de mon contrôle. C’est parfois dans ces moments-là que l’on découvre des choses nouvelles. Lâcher prise, c’est être d’autant plus libre. Quel choix judicieux ! Il m’a fait l’amour avec la douce brutalité qu’on réserve généralement à une princesse de romans historiques. C’était très félin…

Mais pas petit chat, plutôt gros lion. Il m’a retournée dans tous les sens, et j’ai joui plusieurs fois en quelques minutes, une vraie montée d’adrénaline. J’avais l’impression d’être dans un parc d’animation sur un manège fou. Il me pénétrait par tous les trous sans s’arrêter, et je dois dire que c’était vraiment délicieux.

Trop abasourdie de plaisir pour avoir conscience de quoi que ce soit sur l’instant, je n’ai réalisé ce que nous avions fait qu’après coup, en voyant toutes ces belles photos qu’il a eu la délicatesse de m’envoyer le lendemain, au petit matin. Une bonne manière de commencer la journée. Je l’ai beaucoup apprécié, mais je ne crois pas que je recoucherai avec lui. C’était juste une expérience sympa, une baise impulsive ! À moins que je ne craque à nouveau pour lui au club de gym…

(Image à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Le prof de sport et l’étudiante coquine !

Mon « sex coach »

Courte mais bonne


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru