Une petite chienne docile
4 novembre 2023Élise et son amant Xavier adorent l’univers de jeu de rôle “soumise-dominant ce dernier construisait des scénarios dans lesquels il me dressait.
Obéissance.
Je ne suis pas BDSM, mais un de mes amants réguliers adore cet univers et j’avoue que le jeu de rôle “soumise-dominant” m’excite. Aux vacances de printemps, j’ai franchi un cap. Xavier, l’amant en question, a entretenu avec moi une relation épistolaire incandescente et pimentée ! Ce dernier construisait des scénarios dans lesquels il me dressait avec moi une relation épistolaire incandescente et pimentée ! Ce dernier construisait des scénarios dans lesquels il me dressait. Il m’a ainsi amenée à entrevoir un grand panel des possibilités et des plaisirs divers qu’offraient ces joutes, toujours soft. Voici mon histoire de sexe.
Une des premières fois où nous nous sommes revus en chair et en os, c’était à son domicile. Je devais me présenter à sa porte uniquement vêtue d’une gabardine, entièrement nue en dessous à l’exception d’un string ficelle qui ne cachait rien de mon intimité.
J’ai hésité un long moment avant d’appuyer sur la sonnette. Je sentais mon minou trempé, mon triangle de tissus n’était plus qu’un bout de chiffon imbibé de ma cyprine. Mon index s’est posé sur le bouton. Xavier a ouvert, il était en tenue d’Adam, il m’a demandé d’ôter mon pardessus alors que j’étais encore dehors, il faisait toujours grand jour et j’entendais le bruit des voitures derrière moi, je me suis exécutée et retrouvée quasi à poil. Il m’a ordonné de tourner sur moi-même, un type est passé dans la rue et a bien mâté mes seins, j’avais le feu aux joues, j’avais honte de mon attitude, encore plus de l’excitation que je ressentais à m’exhiber ainsi !
Enfin il m’a fait rentrer, nous avons gagné son salon, il s’est assis sur un canapé parme et m’a enjoint de me placer à ses pieds à quatre pattes. J’ai obéi immédiatement, j’avais l’impression de ne plus être dans mon corps, un liquide chaud coulait de ma fente, j’exhalais le sexe, lecul,j’étais devenue sa chose, sa petite chienne docile et transcendée par l’instant. Sa queue était fine et arquée, tout épilée des couilles jusqu’au pubis, c’était la première fois que je voyais le membre d’un homme ainsi dépourvu de pilosité.
Des poses érotiques
Il s’est branlé avec beaucoup de sensualité, cela a encore aggravé mon état. C’est un spectacle qui m’a toujours donné des ailes, lorsque je me masturbe, c’est souvent en regardant des vidéos de garçons qui se touchent et qui éjaculent sur leur ventre une dose de foutre volumineuse. Pendant ce temps, je devais adopter des poses érotiques, effleurer mes seins qui, visiblement, lui plaisaient beaucoup, m’asseoir sur le tapis et écarter mon string moite afin de lui révéler ma chatte en ouvrant mes nymphes et en dégageant mon clitoris.
Enfin, il m’a ordonné de venir entre ses cuisses pour couronner de baisers sa verge bien bandée. Elle était toute chaude et sentait bon, son gland était de la même couleur que la hampe et l’ensemble faisait penser à ces jouets qu’on voit dans les sex shops. L’objectif d’un appareil photo, installé sur un trépied, me fixait, implacable, et j’entendais son déclenchement à chaque nouvelle caresse. J’ai recueilli la tige avec précaution entre mes gros nénés et j’ai commencé un mouvement de va-et-vient, la bite disparaissait presque entre mes loches, seul le bout dépassait, me permettant ainsi les premières léchouilles. À l’image de ma fente intime, la queue dispensait son liquide d’excitation, j’ai goûté cet hydromel un peu iodé puis j’ai vraiment entamé la pipe que Xavier attendait.
Le scénario était très clair, je devais lui lécher tout le dessous jusqu’auxburnes, jouer très doucement avec celles-ci et quand mon amant remonterait les jambes afin de dégager son anus, aller lui offrir une feuille de rose. J’ai été cochonne au possible, me rappelant la façon dont les garçons bouffent mon petit cul. J’ai vrillé ma langue dans l’orifice serré tout en branlant le manche pour enfin revenir en méandres sensuels sur la hampe et reprendre tout le membre au fond de la gorge.
Ce dont je ne me doutais pas, c’est qu’il s’était astiqué le matin même pour gagner en résistance, il m’a fallu pomper, lustrer, masturber longtemps, mes genoux étaient douloureux, tout comme ma mâchoire, mais je ne voulais rien lâcher avant qu’il ne gicle.
Xavier m’a attrapée par la queue de cheval et a forcé le passage. Il m’a presque baisée par la bouche. Je bavais tellement il allait profondément en moi, je l’ai laissé faire en tirant fortement sur mes tétons puis en les délaissant, je sais qu’il aime lorsque mes seins gigotent ainsi comme deux flancs fragiles et ça a fusé d’un coup ! Trois belles giclées qui ont inondé ma bouche de sperme chaud, je l’ai regardé dans les yeux et j’ai tout avalé avant de nettoyer toute sa bonne colonne avec ma langue.
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