Chorégraphie échangiste

La rédaction 4 juin 2021

Hadrien, 65 ans est cameraman et se propose pour filmer sa femme et son amie à la danse. Deux couples, une caméra et un studio, il n’en faut pas plus pour que ça dérape !

J’ai 65 ans, je suis un homme marié et pour compléter ma retraite, je propose des services de vidéo, car j’ai longtemps travaillé comme caméraman. Une amie de ma femme qu’elle a rencontrée à la danse, Nathalie, m’a demandé de la filmer pour un petit clip vidéo de leur chorégraphie de danse moderne, pour pouvoir se voir, corriger ses mouvements et mieux apprendre les enchaînements. J’ai dit oui, d’autant que Nathalie est une femme magnifique que je convoite depuis de nombreuses années. Mais comme c’est l’amie de ma femme, dans mon esprit, c’était : “Pas touche.” Elle m’a dit que ce serait bien que je la filme avec ma compagne, comme ça elles apprendraient ensemble. Je vous raconte mon histoire porno.

Nous nous sommes donc rendus chez elle tous les deux, et son mari était là aussi. Dans le petit studio de danse qu’elle s’était aménagé, Nathalie a entraîné ma femme Louise à danser avec elle devant nous. Le mari regardait depuis sa chaise, amusé, en fumant une cigarette tandis que je les filmais assidûment en suivant leur mouvement. Leur choré était assez sexy, elles dansaient en se touchant, en faisant des déhanchés très appuyés. Ma femme avec son cul assez imposant le frottait contre l’entrejambe de sa camarade.

Elles s’amusaient bien et la musique était entraînante. Je n’avais pas vu la chose venir, mais la température de la pièce a vite atteint un niveau suffoquant. Nathalie, hilare, sa jolie silhouette et ses beaux seins dansant de plus en plus librement, a poussé ma femme vers son mari. Morte de rire elle aussi, ma femme a reproduit ses mouvements de gogo-danceuse sur le mari de Nathalie, frottant ses fesses inoubliables contre son sexe à travers son pantalon. Elle faisait ça avec un tel naturel que ça a fini par me faire bander. J’ai continué à filmer sans moufter.

Pour les besoins de ma caméra, Nathalie s’est mise à faire une danse méga chaude devant l’objectif. Elle est allée au sol pour faire comme si elle baisait le lino, à grand renfort de cambrures du bassin, comme les chanteuses de R n’B. Elle mettait ses doigts dans sa bouche et se les passait sur le décolleté. J’en venais à me demander si les deux femmes n’avaient pas picolé avant. Mais non, elles étaient ivres de la danse et de la musique ! Et de leur pouvoir de séduction.

Nathalie m’a fait signe de la rejoindre par terre. J’ai regardé le mari assis sur sa chaise et j’ai vu que ma femme était désormais à califourchon sur ses jambes, face à lui, et qu’elle lui roulait des pelles pendant qu’il lui pelotait les nibards. Ah ouais, elle jouait comme ça, elle ? J’étais soufflé, et en même temps ravi d’avoir une excuse pour enfin me taper Nathalie. Je ne me serais pas douté que les deux nanas avaient fomenté un petit plan échangiste.

J’ai posé timidement la caméra au sol pour rejoindre Nathalie. La musique se déchaînait toujours, elle m’a fait allonger sur le lino pour venir se caler sur moi, telle une femelle en chaleur qui recherche l’accouplement. Je l’ai laissée prendre le contrôle de mon corps, trop content d’avoir enfin une occasion de me rapprocher d’elle. Ses gros seins me tombaient dans les yeux quand elle dansait sur moi en frottant sa chatte contre mon érection tandis qu’elle jouait avec sa poitrine pour m’en mettre littéralement plein la vue. Elle a extrait ses seins de son dos nu. Elle n’a eu qu’à détacher la petite lanière derrière son cou pour qu’ils surgissent, si beaux, si ronds, si pleins ! Elle m’excitait comme un puceau, cette tentatrice aux gros nichons. J’ai regardé par-dessus son épaule et j’ai vu que ma femme était en train de sucer son mari. Alors ça !

Mais Nathalie ne m’a pas laissé le temps de m’apitoyer sur mon sort, et elle est passée sur le côté de mon corps pour sortir ma bite et la gober d’un coup dans sa bouche grande ouverte. J’étais toujours inerte sur le sol, détendu dans tout mon corps à part dans ma bite restée au garde-à-vous, et la belle amie de ma femme m’explorait avec sa bouche curieuse qui croquait la vie. Sa bouche qui a dansé sur mon pieu en allant et venant sur la tige, en léchouillant le gland, les testicules, très délicatement, et c’était délicieux, une vraie décharge de plaisir explosive. J’avais tellement envie d’elle, j’étais si reconnaissant qu’elle s’occupe de ma queue comme ça, que je voulais la sauter direct, sur le sol du studio de danse. Je l’ai retournée sous moi. Fini de rigoler. J’ai enlevé son legging et je lui ai fait un cuni au passage, qu’elle a reçu en couinant de joie, avant de remonter contre elle pour me retrouver entre ses cuisses grandes ouvertes.

Mon sexe s’y est frayé un chemin et je voyais devant moi ma propre femme en train de baiser le mari de Nathalie, toujours sur cette même chaise, en se trémoussant sur ses couilles, sans un regard pour moi. Je me suis vengé en baisant sa copine comme jamais je ne l’avais baisée elle, à grands coup de trique de plus en plus saccadés qui l’ont fait crier sous moi, balloter ses seins, et tremper le sol de son studio. Elle amortissait mes coups de reins dans sa chatte souple et humide qui me prenait si agréablement que je perdais pied, son périnée se rétractant autour de moi, son regard plein de la flamme du désir, et tout son corps qui bougeait sous le mien en prenant mes coups de queue.

Elle était si bonne, l’amie de ma femme, que j’ai joui longuement entre ses jambes alors que je lui administrais les dernières poussées dans son minou, et alors que la musique diffusait toujours son rythme entêtant, sur lequel ma femme, derrière moi, achevait de se faire du bien avec la queue de son nouvel amant.

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