Une occasion à ne pas rater

La rédaction 16 mai 2024

Tatiana veut s’acheter une voiture d’occasion, elle est loin de se douter, malgré toutes les injonctions de ses ami(e)s, qu’elle va finir par l’avoir dans le cul ! Mais pas du tout de la manière dont on l’avait mise en garde ! Une fois l’affaire arrêtée, Joël, l’heureux vendeur, va lui proposer un contrôle technique personnel, en particulier de son train arrière …

Toute sa bande de copains lui avait dit de ne pas acquérir une seconde main à l’aveugle, affirmant que les petites annonces regorgeaient de propriétaires malhonnêtes qui dissimulaient nombre de problèmes afin de se débarrasser au plus vite de leur auto.

Confiante dans sa bonne étoile, cette beauté blonde prit néanmoins le tram jusqu’à l’adresse que lui avait donnée Joël, son contact. Première bonne surprise, ce grand brun aux cheveux très courts était tout à fait à son goût dans son bermuda kaki et ses tongs décontractées.

Il inspira immédiatement confiance à Tatiana et l’essai du véhicule sur quelques kilomètres fut concluant, voire même très satisfaisant. Les commandes réagissaient bien, la direction était stable et le freinage sans faille.

C’est en se garant qu’elle s’aperçut, mais un peu tard, que sa robe aux couleurs chatoyantes était remontée bien plus qu’elle ne l’aurait souhaité sur le haut de ses cuisses.

Elle caressait le cuir sensuel du volant lorsqu’elle sentit qu’une paume lui effleurait la jambe en même temps. Après tout, si elle pouvait joindre l’agréable à l’utile, elle n’y voyait pas d’inconvénients, aussi, quand la main se glissa sous le tissu léger pour venir tâter sa peau, elle ne fit aucun geste pour l’en empêcher, au contraire, elle guida la menotte vers son triangle d’or et abandonna sa tête en arrière pour profiter des attouchements forts précis.

Ses tétons bandaient à en être douloureux, son puits d’amour débordait d’une liqueur qui imbibait sa culotte et elle devinait, à l’énorme bosse qui déformait le pantacourt de Joël, qu’elle ne le laissait pas indifférent non plus. Ils s’embrassèrent dans l’habitacle surchauffé par un soleil piquant, l’ambiance était de plus en plus incandescente entre eux, lui fouillant dans le décolleté à la découverte de deux jolis petits seins libres de tout soutien-gorge, elle, osant aventurer quelques doigts au contact du chapiteau dressé.

La queue, sous le coton vert, était déjà impressionnante par sa dureté, sa longueur aussi bien que par sa section ! Ce garçon semblait très fort pourvu, mère Nature l’avait gâté en l’équipant d’une bite aux dimensions alléchantes. Loin de s’affoler devant les proportions du membre qu’elle branlait désormais à travers le tissu, elle chuchota à l’oreille de Joël qu’une alcôve moins exposée pourrait être judicieuse pour la poursuite de leurs ébats.

Aussitôt dit, aussitôt fait, la voiture fut fermée, les papiers emportés et les deux amants coururent jusqu’au petit pavillon de banlieue où résidait Joël. Pas le temps de gagner la chambre à coucher, le salon irait très bien avec son grand ensemble de fauteuils et canapés.

La mini robe bigarrée de Tatiana disparut comme par magie et, tandis que Joël lui roulait pelle sur pelle, ce dernier glissa une main aventureuse dans son string, le tirant en même temps afin de le faire s’entortiller sur les cuisses bronzées de cette fille décidément pleine de surprises.

Les cheveux blonds de Tatiana s’étalèrent sur l’assise du sofa alors qu’elle se laissait tomber en arrière, entièrement nue, tout son corps tendu, en attente d’autres caresses, plus ciblées sur son nexus intime. Sa chatte était le siège de milliers de papillons qui battaient furieusement des ailes, son anus se contractait, ses pupilles étaient dilatées tout comme ses lèvres secrètes, son bourgeon de rose et ses mamelons hyper sensibles.

Elle releva les jambes afin de donner toutes les clefs de sa féminité à un Joël plus sûr de lui que jamais. Macho juste ce qu’il fallait, il avait réussi à mettre Tatiana en confiance, l’état d’excitation de sa belle acheteuse sexy ne laissait plus place au doute, sa fente s’était muée en une source inextinguible, laissant s’échapper du sillon serré un flux de mouille ininterrompu qui faisait briller ses nymphes et son troufignon qui affichaient désormais un fuchsia plus soutenu teinté de brun.

Joël s’agenouilla, emprisonnant les jambes de Tatiana et tirant sur son bassin pour amener ses fesses au bord de l’assise protégée par un plaid noir. Quelques coups de langue sur le clitoris dont le gland était apparent, minuscule bite dont les corps caverneux s’étaient gorgés de sang pour poindre à l’air libre.

La silhouette féminine trembla des orteils aux épaules, le contact était précis, délicat et à la fois gourmand, presque sauvage. Elle respira lentement, se concentrant sur les vrilles linguales qui se dispersaient sur toute sa vulve, dérivaient, remontaient, slalomaient avec insistance et virtuosité, elle jouit comme elle n’avait jamais joui.

D’ordinaire, elle ne réussissait à venir qu’avec une intrusion dans sa caverne, mais la situation et la minette que lui offrait ce beau diable l’avaient propulsée dans un univers de plaisir intense. Elle ne se rendit compte qu’à la fin de ses cris rauques qu’il lui avait enfoncé un puis deux doigts dans le fondement ! Le petit salaud était décidément un expert. Et pourquoi pas tout lui accorder après tout ? Il était charmant, gentil et très doué pour le sexe ?

Elle écarta ses fesses menues, le cunni se transforma en anilinctus. La langue huilée de salive l’enculait sur quelques centimètres, elle renversa la tête et se laissa porter vers un second orgasme. Les doigts crochetés dans son rectum venaient stimuler son point G de l’autre côté de la fine paroi, les léchouilles avaient repris sur son bourgeon, l’extase la saisit par son sphincter anal en même temps que par les milliers de terminaisons nerveuses de sa perle.

Le temps de revenir sur terre, Tatiana était bien décidée à prolonger cette après-midi le plus possible ! La voiture était une chose, mais ce type était une occasion à ne pas rater !

Cela tombait bien, Joël avait le levier de vitesse au garde-à-vous !

Lorsque Tatiana lui baissa le pantalon, c’est une grosse bite qui jaillit en rebondissant en tous sens, la “bifflant” au passage. Elle laissa échapper un rire timide qui encouragea son amant à prendre sa queue du bout des doigts, en fourchette, juste à la base de la tige et de continuer de lancer quelques assauts légers sur les joues empourprées.

Mais tous deux savaient quelle était la finalité de cette génuflexion lascive et soumise, une petite main aux doigts très fins et à la manucure soulignée par un vernis orange vif se saisit de l’extrémité de la verge au prépuce épais qui recouvrait un gland volumineux.

Un nez subtilement busqué se posa sous la longue tringle et la langue de la jolie blonde craquante vint goûter la délicate peau des bourses.

Les couilles de Joël étaient lourdes et promettaient d’être remplies d’une conséquente quantité de foutre, mais l’heure n’était pas à la dégustation, non, pour le moment l’obsession de Tatiana était de gober ce gros vilebrequin et de le sucer jusqu’à plus soif.

Elle aspira un testicule puis un autre et remonta le dôme du canal formé par les corps spongieux.

Ce guide la mena de nouveau tout en haut du monolithe, le membre était chaud, vibrant, elle le sentait battre contre son visage. Épilé de près (décidément cet homme savait vivre et s’offrir dans les meilleures conditions à ses amantes), le sexe masculin sentait bon et exhalait des fragrances de gel douche et d’hormones mâles, tout chez Joël dégageait un parfum de luxure et de désir.

Le pantacourt définitivement envolé, c’est allongé que la fellation se poursuivit. Ainsi à plat dos, le ventre un peu plus rentré, la bite paraissait encore plus phénoménale,

Tatiana se positionna en levrette, sur le côté afin d’être gênée le moins possible par sa chevelure dorée et donner un accès illimité aux mains de Joël s’il lui venait à l’idée d’aller lui tripoter les seins, les fesses ou la chatte. Comme s’il avait lu dans ses pensées, à l’instant où la queue semblait comme engloutie par une bouche vorace, se refermant quasiment à la base de la hampe, ses doigts arrivèrent au contact des mamelons roses qui pointaient vers le sol.

La poitrine ferme rebondissait dans ses paumes, il triturait les tétons, dessinait les aréoles, malaxait la mamelle entière, coupé parfois dans ses gestes par une action décisive de la langue de Tatiana sur son frein, son méat ou toute autre partie très sensible de son anatomie intime.

La pipe dura aussi longtemps que s’était éternisé le bouffage de sa chatte, après tout, ce garçon valait bien qu’on lui rende la monnaie de sa pièce, se disait la blonde en oscillant de plus en plus amplement la tête. Ce bloc de chair bandante n’était pas aisé à recevoir dans sa mâchoire exiguë, encore moins à emmener tout au fond de sa gorge, cela l’étouffait, la faisait saliver, baver même, mais elle y parvenait tout de même.

Lorsque l’inondation était par trop encombrante, elle comprit qu’un de ses trucs faisait décoller son amant, aspirer bruyamment le surplus de mucus mousseux et ainsi créer de la fraîcheur sur tout le service trois-pièces. Elle réalisa aussi qu’un doigt se perdant à l’orée et dans le petit trou du jeune homme était tout à fait bien accueilli, elle poursuivit donc sa sucette en jouant avec le trou de balle de Joël qui se laissait gentiment apprivoiser, glissant son index toujours un peu plus loin au fur et à mesure que le chibre investissait sa cavité buccale.

Mais les choses sérieuses réclamaient de commencer, les papillons s’étaient remis en branle dans le ventre de Tatiana, sa source coulait de nouveau et les parois de son vagin dansaient comme un appel.

Elle stoppa ainsi sa pipe et se releva, essuyant d’un revers de main les sécrétions qui maculaient ses lèvres et son menton, un grand sourire éclairant son visage d’ange. Puisque Joël était décidément un amant plein de surprises, aussi attentif à son plaisir que ne reniant pas sa part de féminité, elle se lova sur lui, allongeant son dos contre le torse large et, prenant appui sur la pointe de ses pieds, elle souleva son petit cul pour le centrer juste au-dessus de la queue dressée.

Joël imprima plusieurs soubresauts à son sexe lourd, le quatrième fut le bon, Tatiana s’en empara comme on attrape le pompon dans un manège pour gagner un tour gratuit. Elle guida la longue fusée le long de sa cicatrice huileuse, bardant bien le gland et une bonne partie de la colonne de sa mouille crémeuse, mais à l’instant fatidique, elle n’opta pas pour son vagin, mais se ficha d’un coup d’un seul le membre d’airain dans la porte de service !

Joël en suffoqua d’aise, il ne s’attendait certainement pas à ce cadeau, l’anus de sa partenaire était un anneau serré, élastique et très étroit, ce dernier coulissait de haut en bas et de bas en haut, lui conférant une sensation à la limite de la douleur tant le sphincter, pour l’heure, était encore un peu fermé.

Mais bientôt le muscle se dénoua et il sentit les fesses de celle qui le chevauchait venir au contact de son pubis. Il n’avait que très rarement enculé ses conquêtes, toutes reculant devant l’obstacle de son chibre surdimensionné. Tatiana avait non seulement pris l’initiative, mais semblait ressentir un énorme plaisir à se planter entièrement sur son pieu. La preuve, cette dernière coulait derechef et sa liqueur lubrifiait idéalement la pénétration anale en cours.

La sodomie était désormais lancée, le petit orifice était préparé à quelque chose de plus intense, l’excitation des deux amants était à son comble, la beauté aux traits scandinaves abandonna son poste et se lova en levrette, les reins cambrés au maximum, elle attrapa ses fesses à pleine main et les écarta sans aucune pudeur. Son anus n’était qu’un puits sombre et béant, sa chatte était, elle aussi, écartelée, et ses lèvres disjointes laissaient à voir jusqu’au fond velouté de son gouffre.

Le souffle coupé, Joël prit un temps pour bien regarder ce qu’il lui était donné d’admirer. Il revint à lui grâce aux miaulements de Tatiana, elle l’attendait en se caressant les seins d’une main, l’autre étant toujours occupée à entrebâiller son beau petit cul.

La lourde matraque regagna donc le chemin interdit par la morale pudibonde, la sodomie qui suivit fut à la hauteur des espérances de chacun. Puissant et endurant, le corps de ce mâle envahi par la testostérone fournit tout ce dont il était capable, balançant des coups de reins furieux, forant l’œil de bronze rougi, tandis que la belle feulait, la tête enfouie dans des coussins épais. Elle réclama, dans un marmonnement assourdi, qu’il la fessât.

Encore une surprise pour lui, quelques petites claques se dispersèrent sur son séant, insuffisantes en l’espèce. Tatiana releva un peu son visage pour demander quelque chose de plus fort et de plus viril.

La paume s’abattit alors férocement sur les globes fermes et musclés, l’air résonnait de ces claques sèches qui emportèrent l’enculée dans un orgasme terrible. De ses griffes elle déchira un coussin, mordant la mousse qui en sortait et hurlant à gorge déployée tandis que toute sa frêle silhouette entrait en transe.

Pour sa dernière ligne droite, Joël osa poser une requête immédiatement acceptée, il voulait finir en apothéose en regardant la belle dans les yeux, celle-ci se retourna donc pour s’allonger et accueillir son amant en missionnaire, toujours entre les fesses. Les jambes jointes, bien relevées afin d’ouvrir le plus large passage possible, elle reçut de nouveau l’énorme chibre dans son œil de bronze.

La pénétration fut facile après le déchaînement qui avait précédé et la baise se fit douce et lente. Le pénis entrait et sortait à peine du sphincter dilaté, les sensations en étaient décuplées. Tatiana écartait encore sa croupe, laissant son compagnon de jeu faire à sa guise pour atteindre un plaisir bien mérité. Les premières grimaces figèrent le visage d’ange de Joël. Ses yeux exorbités ne quittaient pas le trou du cul et sa queue qui allait et venait, s’extirpant quasi entièrement à chaque fois qu’il reculait le bassin, jusqu’à ce qu’il accède au point de non-retour.

Son premier jus fusa dans le rectum, impossible de gérer plus que cela son éjaculation qui se termina par plusieurs giclées puissantes sur la couronne rougie de l’anus qu’il avait baisé avec forte pugnacité.

Mais Tatiana n’en avait pas assez, les fesses décollées du canapé, elle demanda à Joël de la doigter fort tandis qu’elle lapait et suçait sa bite pour récolter les dernières traces de sperme.

Cette femme était décidément une amante hors du commun, sa fente était entrouverte et encore trempée d’une mouille abondante, la masturber fut un délice sans pareil.

Les phalanges fouillaient loin dans la muqueuse serrée, la crampe était proche, mais Joël tenait bon, la paume de sa main massant le clitoris érigé.

Tatiana dégustait la semence sucrée lorsque le majeur inséré en elle toucha la zone la plus sensible de sa chatte. Elle jouit une dernière fois, ses cris de plaisir étouffés par le membre fourré jusqu’au fond de sa gorge.

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