Échangisme hors norme
20 août 2020Marine, 30 ans, tente le nu intégrale sur une plage naturiste avec son mari Bernard où ils font la connaissance d’un couple…
Merci interstron.ru pour votre revue que nous avons découvert depuis quelques mois. Le courrier des lecteurs nous a rassurés sur notre sexualité débordante que nous pensions « hors normes« . Je me prénomme Marine, j’ai 30 ans, mon mari Bernard a 31 ans, nous sommes très libérés et modernes. Je voudrais moi aussi, en accord avec mon époux, vous raconter l’histoire de sexe que nous avons vécue cet été. En vacances du côté de la dune du Pilat, nous avons découvert une zone naturiste près de la plage où nous allions. J’ai toujours fait du « seins nus« , mais je n’avais jamais osé le nu intégral, Bernard voulait tenter, moi je voulais aussi mais étant épilée entièrement, j’avais un peu de gêne. Nous nous sommes installés légèrement à l’écart, et j’ai pu me rendre compte que de nombreuses filles étaient comme moi, sans « foufoune poilue« .
Nous avons fait connaissance avec un autre couple, un peu plus âgé qui, comme nous, avait la marque du slip. Paul et Marie étaient très beaux, Marie arborait une très grosse et jolie poitrine et avait conservé une toison brune et épaisse. Paul était très sportif et surtout, doté d’une très grosse paire de couilles sur laquelle pendait une bite à faire rougir notre Rocco. Bernard, en partant, m’a dit : « Tu as vu cette bite ? Je suis minus à côté ! » Je l’ai rassuré. Plus tard, alors que nous faisions l’amour, il m’en a parlé de nouveau et je me suis mise à fantasmer sur cette queue, ce qui m’a procuré un orgasme très fort. « Tu vois, tu as envie de la sentir dans ton vagin et j’ai moi aussi envie de te voir baiser avec lui, nous sommes en vacances et nous ne connaissons personne. Si tu veux demain, branche-le !« , m’a soufflé Bernard. « Tu es fou, je n’aime que toi et ta bite me suffit… » ai-je rétorqué.
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Le lendemain, à la plage, nue, le soleil aidant, j’ai repensé à la proposition de la nuit… J’en ai parlé à Bernard qui m’a invitée à passer à l’action. J’ai changé de position sur ma serviette, écartant les cuisses, me caressant les seins et le corps, attirant l’attention de Paul. Je l’ai vu très gêné : il avait une grosse érection qu’il ne pouvait cacher. Prenant ma serviette, je me suis dirigée vers un bosquet de tamaris en regardant Bernard. Paul parlait avec Marie en se promenant près de l’eau. Quand il m’a vue, il a pris sa serviette et m’a suivie. Il m’a rattrapée et, sans un mot, m’a saisie par les épaules et m’a fait me coucher sur la serviette, sous le tamaris. Nos bouches se sont jointes, j’ai touché sa bite, la branlant un peu, elle semblait monstrueuse ! Le gland mauve n’a pu entrer dans ma bouche. Je l’ai léché doucement, arrachant à Paul des soupirs. Il avait pénétré ma moule avec ses doigts, je mouillais très fort. Il a écarté mes cuisses, léchant mon sexe, faisant pénétrer sa langue dans mon vagin.
Je n’en pouvais plus, je le guidais pour qu’il me prenne. Il m’a fait un peu mal quand il m’a pénétré puis il m’a baisé à grand coup de reins et j’ai pris mon pied. Il a éjaculé en moi, restant un peu sur moi, je l’ai repoussé inquiète que les autres nous surprennent. « Ne te tracasse pas, Marie et moi sommes échangistes. Marie expliquera à Bernard. »
Du sperme sortait de mon vagin, j’ai essuyé et côte à côte nous sommes partis rejoindre mon mari et sa femme. Ils revenaient d’un « blockhaus« , Marie nous as dit : « Je sais que vous venez de baiser. J’espère que Paul a été à la hauteur. Bernard le fait pas mal non plus. Si vous êtes d’accord on se revoit ensemble dans notre appartement ce soir. »
Ce fut une soirée de baise, nous avons fait l’amour dans le salon, je me suis faite prendre par Paul et Bernard en double pénétration. Je n’avais jamais été sodomisée, Marie m’a préparée, je n’ai pas eu mal. Nous avons passés huit jours à faire l’amour, deux à trois fois par jour.
Maintenant nous nous fréquentons deux à trois fois par mois avec Marie et Paul. Avec eux nous fréquentons des saunas sur Bordeaux ou Bergerac. Notre couple n’en souffre pas, bien au contraire.
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Thadee Phutsri
Très beau