Premier casting porno
27 mai 2021« Yvana », étudiante à H.E.C. Bordeaux découvre l’industrie du porno et nous raconte son casting ainsi que sa tout première scène. Au menu, un acteur au pénis démesuré, fellation, pénétrations vaginale et anale pour finir en apothéose lorsqu’elle se révèle femme fontaine ! Les débuts d’une nouvelle star du X ?
Je m’appelle Yvana Saint-Laurent ! Bien sûr, ce n’est pas mon vrai patronyme, c’est le pseudo que mon producteur m’a inventé. Vous l’aurez sans doute deviné, je commence dans l’industrie du porno et il m’était impossible de ne pas coucher … sur papier, en histoire de sexe, ma première fois, ma première scène. Quel meilleur endroit pour le faire que dans les pages d’Union ?
Après mon intégration à H.E.C., j’ai été approchée par un photographe. Il était souvent au café en face le campus et il est venu me voir un beau jour, il m’a donné sa carte et les coordonnées de son site internet en me disant qu’il adorerait me shooter. Je suis allé faire un tour et j’ai trouvé son travail vraiment sublime, travail des lumières, des poses, mise en valeur des modèles. J’en ai parlé à mon copain de l’époque, il était totalement contre l’idée, je l’ai quitté la semaine suivante et j’ai pris rendez-vous pour une séance. J’ai tout de suite été à l’aise, Joachim, le photographe, était au petit soin, Sarah, son assistante n’était autre que sa compagne, j’étais donc en confiance. Le résultat s’est révélé au-delà de mes espérances. Je me suis trouvée sublimée par des effets de clairs-obscurs tout à fait délicieux.
J’ai posé à de nombreuses reprises pour Joachim et c’est Sarah la première qui m’a demandé si une séance toutes les deux ensemble me plairait. Elle était belle et sexy, j’ai accepté avec joie.
Un samedi matin d’été nous nous sommes donc donné rendez-vous dans une grande maison très moderne avec piscine, propriété d’amis du couple. Nous nous sommes déshabillées sans aucune gêne, Joachim a commencé le shooting. Je ne sais quelle bêtise il nous racontait, mais nous rions aux éclats et les premiers clichés étaient très réussis. J’ai découvert le corps nu de Sarah puis sont venus les premiers contacts entre nous. Je n’avais jamais eu d’élans homosexuels et pourtant cette femme me troublait. Au fur et à mesure que la matinée avançait, Joachim nous a demandé de nous lover l’une contre l’autre, de nous enlacer, enfin de nous embrasser. Tout était naturel, Sarah était d’une douceur qui me m’émouvait au plus profond de moi. J’avais déjà vu des tas de copines à poil, mais dans des contextes tout à fait différents et jamais je ne m’étais aventurée à abandonner mes lèvres à celle d’une de mes semblables.
Une chose en entraînant une autre, j’ai bien senti que Sarah, elle, aimait visiblement les jeux lesbiens. D’un regard elle me questionnait, j’opinais doucement du chef et elle posait ses mains sur mes seins, pinçait mes tétons, effleurait mon sexe. La dernière caresse, un fil brillant s’est dessiné entre son doigt et mon sillon intime, tel celui de la soie d’une araignée qui étincelle subrepticement au soleil.
« Recommence s’il te plaît ! » a presque supplié Joachim.
Il a réglé son objectif sur macro et a capturé ce délicieux filet de désir puis les lèvres roses de Sarah se refermant avec gourmandise sur ma mouille. Les dés étaient jetés, j’avais envie d’elle, de lui. Le bruit du déclenchement a résonné en staccato pendant que Sarah s’allongeait sur moi et s’appliquait à me lécher la chatte puis se tut alors que la queue de Joachim se matérialisait comme par magie devant moi.
Ce trio m’a emmené loin de mes limites et j’ai adoré tant la relation saphique que le fait de me faire prendre fort tandis que je goûtais, pour la première fois au sexe d’une de mes congénères.
Doucement j’ai commencé à réfléchir à mes choix de vie, j’aimais le sexe, Joachim avait des contacts sérieux dans le milieu du X et, cerise sur le gâteau, je pouvais me faire un bon petit paquet d’argent tout en poursuivant mes études.
Je m’en souviens encore avec une acuité toute particulière. C’était un mercredi matin, on m’avait donné rendez-vous dans un grand appartement très chic du Triangle d’or de Bordeaux. Le casting était à dix heures, j’avais avec moi un sac contenant des dessous affriolants, des préservatifs, du gel intime et deux ou trois sex-toys, je tremblais de peur et d’excitation. Le code à la porte cochère, le vibrato m’annonçant l’ouverture électrique, les parfums sucrés des viennoiseries en train de cuire de la boulangerie voisine, le ciel voilé, la petite cour intérieure à la glycine exubérante puis l’ascenseur. J’ai hésité un quart de seconde et je suis monté jusqu’au sixième. Là m’attendait une équipe réduite, le producteur, la chargée de casting et un grand gars sportif qu’il me semblait avoir déjà vu dans quelques vidéos … mais bizarrement je me souvenais plus d’un autre détail anatomique que son visage.
Ils m’ont mise à l’aise, offert un thé et fait asseoir sur un sofa blanc. Tout était en place, plusieurs appareils photo, les parapluies réflecteurs, des câbles couraient par terre partout. Mady, la « casteuse » s’est installée en face de moi, hors champ, le clap de départ a été donné et j’ai répondu à une interview en entonnoir. Mon âge (en montrant ma carte d’identité et mon test sérologique à la caméra), ce que je faisais dans la vie, mes mensurations, si je savais ce que je faisais là et la nature exacte du casting. Puis sont venues les questions plus cash et précises : si j’aimais le sexe, les femmes, combien de partenaires j’avais eu, quelle était ma position préférée, quelle avait été mon expérience la plus folle, si j’étais exhib, libertine, la fellation, la sodomie, avais-je déjà partouzé, si oui à combien, si j’avais participé à un gang-bang, à un bukkake, si j’avais pratiqué la double pénétration pour finir par des interrogations complètement inattendues pour moi.
« Et si on te demande de faire des trucs un peu spéciaux ? »
« Du genre ? »
« Dominer ta ou ton partenaire, te faire dominer, si je te demande de pisser sur un mec, tu le fais ? »
Wouhaou ! On était entré dans le vif du sujet, j’ai donc posé tout de suite mes limites, pas de trucs BDSM, pas de trucs crades (uros, scatos) et, évidemment rien d’illégal.
« OK, très bien … tu peux nous en montrer un peu plus maintenant ? »
L’injonction était claire : désape-toi et montre-toi à poil.
J’ai improvisé un petit strip-tease et on m’a arrêtée, dans un premier temps, à culotte, soutif et bas. J’ai dû tourner sur moi-même un nombre incommensurable de fois, une caméra n’avait plus de batterie, on m’a demandé de remettre mon jean et de le retirer de nouveau.
« Bien, tu peux te déshabiller entièrement s’il te plaît ? »
Les choses sérieuses commençaient, j’ai fait voler mon soutien-gorge en direction d’une caméra, ça a beaucoup plu, d’autant que ce dernier s’est accroché à l’objectif, ma culotte a suivi et on m’a demandé de m’offrir sous toutes les coutures. Comprenez, montrer mes seins, écarter ma chatte en étant debout puis me retourner et me pencher tout en ouvrant bien mes fesses afin de présenter mon petit trou. J’ai reçu une pluie de compliments, sur mes nichons, sur mes piercings, au nombril et sur le capuchon de mon clito (un hood), sur mes tatouages et mon corps super bien gaulé ». J’ai regardé pas mal de castings X après le mien, ils disent tous la même chose, mais ça fait toujours plaisir à entendre !
Enfin ils m’ont invitée à m’allonger face caméra, les jambes bien relevées.
« Tu te masturbes ? »
« Euh … oui … »
« Souvent ? »
« Ben … quand j’en ressens le désir, il n’y a pas de règles. Parfois il ne se passe rien pendant une semaine et à d’autres moments je peux avoir envie plusieurs fois par jour. »
« Tu utilises tes doigts ? Un objet ? Un légume ? Un jouet ? »
Nouvelle hésitation « Parfois un vibro, mais la plupart du temps c’est avec les doigts ou avec le jet de la douche »
« Tu peux nous montrer comment tu fais ? »
Je suppose que toutes les filles se branlent à peu près de la même manière, j’ai humecté mes doigts et j’ai commencé à me caresser. L’excitation est venue d’un coup, j’ai pris conscience que j’étais en pleine activité onaniste devant trois parfaits inconnus qui, de surcroît, étaient en train de me filmer. Je regardais mon image inversée sur un écran de contrôle et c’était comme si je me faisais du bien face à un miroir ou à quelqu’un. J’ai commencé à mouiller vraiment beaucoup, c’est à cet instant que l’acteur qui était présent pour ma première scène a sorti son chibre.
Voir une grosse queue en vidéo, c’est une chose, voir un type qui affiche un machin de plus de vingt centimètres là, devant vous, c’en est une autre ! Putain ! Ce type était réellement monté comme un âne ! Et il bandait déjà. Viagra ou force de la nature, je n’en savais rien, ce que je savais, en revanche, c’était que j’allais baiser avec lui et que la taille de son outil m’effrayait quelque peu.
Je me suis doigté, timidement au départ, pour finir avec quasi toute ma main enfoncée dans ma chatte, il me fallait préparer le terrain et je dois bien avouer que je me sentais divinement chienne.
On m’a interrompue pour que je continue à quatre pattes, je me suis donc retournée et j’ai cambré mon petit derrière, j’ai repris mes attouchements, m’enculant doucement avec mon majeur cette fois.
Mike, mon « performer », s’est déshabillé et est venu vers moi. Un second clap a été donné, signale que la scène elle-même allait pouvoir débuter.
Je pensais qu’on allait me pousser tout de go à le pomper, mais non, le tournage s’est déroulé en « conditions direct », Mike m’a embrassée avec une grande sensualité, enfonçant ses doigts dans la jungle de ma longue chevelure blonde derrière ma nuque, les baisers se sont enchaînés, délicats, mais profonds, il a sucé mon cou et ma gorge. Adorable il m’a même demandé, en chuchotant à mon oreille, si tout était OK pour moi. Pour toute réponse j’ai porté ma main sur sa queue, large et imposante elle emplissait ma petite paume. J’ai commencé à le branler, il s’est alors décalé pour s’asseoir à mes côtés, je me suis remise à quatre pattes et j’ai entamé ma première fellation filmée. Mike me dégageait les cheveux en les tirant en arrière légèrement. Il fallait que j’adopte les bonnes postures, en particulier pendant une pipe, on doit fixer l’objectif, comme si on suçait le spectateur, l’excitation passe beaucoup par le regard de la fille. J’ouvrais grand la bouche et je sortais outrageusement ma langue, pourléchant le gros gland et lapant la bite sur toute sa longueur.
Mike a tendu son bras pour venir caresser mes fesses, leur asséner quelques claques bien sonores, mais pas du tout douloureuses, un vrai pro. Il a ensuite glissé sa main par-dessous, cherchant ma fente trempée et il a commencé à me doigter par les deux orifices. J’étais chaude bouillante. J’ai jeté un œil en coin à l’équipe « Que devais-je faire après ? » Non pas que je n’ai jamais vu de pornos, je me doute de la progression de la scène, mais, après tout, certains producteurs doivent avoir des desiderata particuliers.
« Laisse-toi porter, c’est toi qui mènes la danse, on veut que tu t’envoies en l’air comme si tu baisais chez toi. »
J’ai donc embrassé de nouveau Mike et je lui ai offert ma chatte grande ouverte, message bien reçu, il s’est penché sur moi et a commencé à me lécher. Je me suis mise à gémir et j’ai vu les appareils photo quitter leur trépied pour venir tourner autour de moi, gros plan sur le cunni en cours ainsi que sur mon visage, les traits déformés par le plaisir que me conférait cette langue si agile.
Mais j’avais envie de cette queue en moi, j’ai fait comprendre à mon hardeur que je voulais le chevaucher, il s’est assis et je me suis installée à califourchon sur ses cuisses, il était baraqué, il m’a carrément soutenue en me tenant par les fesses, j’ai saisi son chibre et je l’ai dirigée en moi, j’ai écarté au maximum mes globes et j’ai senti derrière moi que l’œil de la caméra était fixé sur l’acte de pénétration et mon petit trou qui s’épanouissait en une large pastille rose tant le diamètre du pieu qui m’ouvrait le con était imposant.
Mike a réitéré, sortant et investissant mon vagin alternativement, et il a commencé à me baiser, tantôt il bloquait mes hanches, me soulevant légèrement pour pouvoir m’asséner des coups de reins super rapides, j’ai failli jouir au moins trois fois ! Tantôt il me laissait onduler du bassin, sa bite engloutie entièrement dans mon fourreau, il a glissé un doigt sur mon étoile, j’ai léché mes lèvres en signe d’acquiescement et il ma doucement enculée avec son majeur bientôt rejoint par son annulaire.
On a alors changé de position et Mike m’a possédée en levrette. Il a commencé, comme au départ, à me prendre avec précaution et voyant que son membre coulissait sans peine entre mes nymphes, il m’a littéralement démontée. J’encaissais le choc de son pelvis contre mon cul et son gland qui allait taper au fond de ma chatte, c’était terrible. La casteuse s’est approchée pour filmer mes seins qui bringuebalaient en tous sens. « Je peux ? » m’a-t-elle demandé. Elle a fait mine de trouver mes nibards, j’ai fait oui de la tête et j’ai senti la fraîcheur de sa paume, puis ses doigts fins qui ont pincé mes tétons, elle m’a roulé une pelle et a continué de me caresser. Le dos, les hanches, les fesses, elle a débusqué mon bourgeon, elle palpait aussi les couilles de Mike.
On touchait mon trou du cul, j’ai su ensuite que j’avais d’abord reçu des phalanges féminines puis le pouce de Mike, j’ai vu passer un tube de gel, mon comparse m’a enduit mon puits secret. J’avais plus ou moins accepté une scène de sodo mais au vu de l’engin de Mike, mon cœur s’est serré, mais je voulais tout de même essayer. Je ne suis pas très anale, mais j’avais aussi conscience que pour réussir dans l’industrie du X, il vaut mieux être ouverte … de partout.
De nouveau le savoir-faire du professionnel s’est exprimé, il y a été en douceur, me demandant de m’empaler au fur et à mesure, de guider cette intromission si volumineuse. Je n’ai même pas réalisé que j’avais sa queue entièrement en moi, il a fallu que ma main touche ses bourses pour que j’y croie. Il m’a enfilée par le cul, remettant du gel régulièrement, sortant son sexe qui bandait depuis une heure et demie sans discontinuer pour montrer mon anus ouvert comme un gouffre. Il m’a baisée, il m’a défoncée par tous les trous et j’ai joui à deux reprises ! La première avec son membre dans mon tunnel étroit, la seconde avec ses doigts dans ma chatte et une main appuyée contre mes abdos, il m’a fait gicler pour la première fois de ma vie, face caméra ! Tellement face caméra que j’en ai souillé l’objectif et le producteur !
La scène finale, après un petit « cut », a été un autre grand classique. Mike est venu debout au-dessus de moi, il m’a demandé de lui lécher les couilles, ce que j’ai fait avec plaisir. Il avait été gentil avec moi et très prévenant, je voulais l’aider. Jouir à son tour. Quelques va-et-vient sur sa hampe, une grimace et il a dirigé son méat vers mon visage. J’ai rarement vu homme éjaculer autant, un sperme plutôt liquide, trois gros jets qui se sont collés à mes cheveux, mes joues, les deux derniers, moins drus, ont atterri dans ma bouche ouverte. J’ai fait ma salope, j’ai fixé une cam et j’ai récupéré toute la crème avec mes doigts que j’ai léchés pour avaler toute cette semence salée.
Pour tout vous dire, j’ai fini la nuit avec Marlène, la casteuse ! J’étais chaude bouillante après cette journée de baise et j’avais envie de la douceur d’une femme.
Depuis j’enchaîne les tournages et je vais bientôt produire mon premier long métrage, comme quoi, avoir fait H.E.C. me sert bien, mais je pense que je vais la renommer en … Haute École de Cul !
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