Danse de salon

La rédaction 28 juin 2020

Histoire de sexe : « J’ai pivoté, me plaçant au-dessus d’elle, en 69. Le nez dans sa chatte, je me suis mise à la brouter. »

Salut interstron.ru, c’est Karima, gogo danseuse dans le bar le plus chaud de Marseille et habituée d’histoire de sexe. Avec ma pote, Katia, on met régulièrement le feu sur la piste, et parfois jusque dans mon appartement.

De temps en temps, quand un mec les branche, c’est connu que les filles le rejoignent à la sortie pour finir la nuit avec. Pas question d’argent, seulement de kif. Récemment, avec Katia, on a tenté le coup, mais en duo.

À tour de rôle, on venait de faire une danse à un mec nommé Patrick, qu’on n’avait alors jamais vu au bar. Sans doute un type de passage pour le travail. Ce qui était sûr, c’est qu’il avait un paquet énorme : on l’avait senti toutes les deux en dansant au-dessus de lui. À la pause, on s’est retrouvé à rigoler et à se dire qu’on l’aurait bien testé au lit.

Le problème, c’est que c’était risqué de partir solo avec un type qui n’était pas un régulier. Katia a proposé : « Tu le ramènes chez toi et je viens avec vous. » Sa proposition m’a émoustillée, alors je suis allé trouver discrètement notre Patrick pour lui dire de nous retrouver à l’arrière du club une heure plus tard. À l’heure dite, il était là, à fumer sa clope. J’avais bu un whisky avant de quitter le bar, pour me donner du courage. J’avais déjà fait des plans à plusieurs, mais seulement avec des mecs… Là, avec Katia, ça n’allait pas être la même mayonnaise !

Ma copine était super à l’aise. C’est elle qui a géré le taxi, l’arrivée dans mon appart et l’installation dans mon salon. Elle connaissait la maison, vu qu’on y avait déjà fait quelques soirées avec les filles du club. Elle a traîné le futon au centre de la pièce, sorti des jouets du tiroir à plaisir de ma chambre, et s’est installée, à poil, sur le matelas.

Patrick, lui, observait la scène. Devant l’impatience de Katia, et vu qu’on n’allait pas rester plantés là comme des idiots, je me suis approchée de ma copine et je lui ai roulé une pelle. Le moment avait un truc très théâtral, comme quand on fait un show sur scène. Je me sentais d’un coup comme une actrice de X, avec sa partenaire et son public.

Pour commencer gentiment, je me suis dessapée et agenouillée devant le joli corps de Katia, pour observer sa chatte. Elle était bien nette et charnue. Au-dessus, ses seins parfaits me faisaient de l’œil. Je suis remontée et je les ai titillés avec la langue, pendant que mes doigts fouillaient ses lèvres. Derrière, Patrick a sorti son gros chibre.

Enhardie, je me suis mise à doigter Katia plus fort. Elle avait l’air de kiffer. Quand elle en a eu assez, elle m’a demandé de m’allonger à mon tour et a sorti un jouet vibrant. J’ai levé les jambes bien haut et je l’ai regardée coller l’objet sur ma vulve. Puis, les yeux fermés, j’ai profité de la douce vibration entre mes lèvres…

Rapidement, je me suis retrouvée trempée. Surtout qu’au-dessus de nous, Patrick s’était mis à nous parler en se touchant, nous donnant du « petites salopes » et commentant nos gestes. Le film porno continuait. Pour mon plus grand plaisir, Katia a alors sorti un gode. Ni une ni deux, elle me l’a entré dans la chatte. J’ai poussé un cri. Quelques secondes plus tard, sa bouche suçait mon clito pendant qu’elle me défonçait avec le sexe en plastique.

J’aurais dû avoir mal, vu comme la garce y allait, mais j’étais tellement excitée que le gode rentrait en moi comme dans du beurre… Quand elle a commencé à me tripoter la rondelle en même temps, je me suis mise à hurler. Ses petits chatouillis me rendaient dingue. J’ai pivoté, me plaçant au-dessus d’elle, en 69. Le nez dans sa chatte, je me suis mise à la brouter pendant qu’elle me foutait sa langue dans le cul.

C’est à ce moment-là que j’ai senti un souffle chaud sur mes miches. Enfin, Patrick se décidait à participer ! Je l’ai senti écarter mon derche, créant un passage à Katia la catin. Mon cul ruisselait. Patrick en a profité pour rentrer son pouce dans mon petit trou, le ressortant de temps à autre. Là, la langue de Katia prenait le relai, profitant que j’étais dilatée par le doigt pour s’enfoncer toujours plus loin.

Nous avons fini par migrer du sol du salon à ma chambre, pour plus de confort. En me relevant, ma vulve a laissé échapper un flot d’air. Jamais je n’avais été ouverte comme ça… Une vraie garce qui en voulait encore plus.

Le manège a continué sur mon lit. Au centre des ébats, je me suis retrouvée à sucer Patrick, tandis que Katia continuait de s’occuper de mes orifices. Sentir ce gros mandrin dans ma gorge pendant que je me faisais lécher m’a procuré un plaisir dingue. Patrick se lâchait de plus en plus, m’appelant sa suceuse et m’attrapant les cheveux pour mieux m’empaler.

Au bout d’un quart d’heure, je n’en pouvais plus qu’il tape contre ma glotte, alors j’ai glissé un doigt sous son cul. Et je l’ai enfoncé. Une décharge de foutre m’a rempli la bouche, Patrick me maintenant contre lui. J’ai dû avaler. À l’autre bout, je sentais Katia qui m’observait en train de me faire remplir. Elle a alors enfoncé deux doigts dans mon cul, déclenchant un orgasme phénoménal.

Patrick est parti peu de temps après. Katia et moi nous sommes endormies dans les bras l’une de l’autre. Pour sûr, nous formions une belle équipe, qui a depuis remis le couvert. Mais ça, cher interstron.ru, c’est une autre histoire…

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Le pâtissier était bien monté

« Cet homme était vraiment étonnant ! Nu, le braquemart au garde à vous, allongé sur le sol, impossible de lui résister ! Je suis venue m’empaler sur lui, comme une bonne cavalière. Je tenais mes fesses bien écartées pour lui faire profiter du paysage. Je savais que les mecs aimaient particulièrement reluquer les petits trous du cul. Mon pâtissier, manifestement amoureux de belles miches, en a profité avec une joie non dissimulée pour me tâter la croupe. » Valérie, 32 ans.

Rencontre au bar

« Je me suis mise à quatre pattes sur le comptoir (« Tu fais le service sans sous-vêtements ? On l’avait parié avec les collègues… »). Là, je lui ai offert mon intimité toute entière. Il y a plongé sa tête avec gourmandise. Il en avait pour son argent : de quoi lécher avidement mon anus, ma chatte et mon clito d’un seul coup de langue bien appliqué ! Je sentais les poils de sa barbe me caresser partout, sa langue appuyer là où il fallait. « Pat, 38 ans.

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La rédaction


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