Une jeune fille au poil !

La rédaction 28 août 2020

Quand Sylvie, une charmante fille au pair débarque, elle sait comment satisfaire le fils et le père…et elle ne fait pas les choses à moitié !

Une jeune fille au poil

Je lis votre magazine depuis deux ans et je ne pensais pas avoir quelque chose à raconter, tant ma vie sexuelle est monotone. C’est à l’été 2010 que tout a changé. Mais ce que je veux vous confesser, c’est une histoire de sexe vieille de plus de trente ans.

En 1979 exactement, je venais d’avoir 19 ans. Pour me faire de l’argent, je travaillais comme jeune fille au pair chez des Parisiens qui possédaient une résidence secondaire près d’Antibes, à côté de chez ma mère. Cet été 1979, la dame m’a proposé de partir avec eux pour garder les enfants. Belle occasion pour moi de voir la mer en me faisant des sous. Tout se passait bien, c’étaient des gens charmants.

Un jour, Madame (on l’appellera comme ça) devait emmener les enfants à Marineland, pour la journée et m’a donné quartier libre. Monsieur, féru de photos, voulait partir en bateau.
À l’insu de sa femme, il m’a proposé de l’accompagner. J’étais encore une jeune fille naïve, je voyais une belle journée en perspective. Monsieur était très attentionné. J’étais heureuse qu’il me prête son appareil, je mitraillais à tout va. Nous étions en mer, seuls. Monsieur m’a proposé de me mettre à l’aise, qu’il ne serait pas choqué. J’ai enlevé mon soutien-gorge, et il a insisté pour que je quitte ma culotte. Je n’y voyais aucun mal. Il voulait faire des photos de moi, nue. Il m’a demandé de prendre des poses équivoques, joignant le geste à la parole. Il m’excitait en me caressant les seins.

Certes, je n’étais plus vierge. J’avais déjà fait l’amour avec des garçons de mon âge, mais je n’avais jamais pris de plaisir tant les coïts avaient été brefs.

Monsieur se montrait plus hardi, passant une main entre mes cuisses, pénétrant ma chatte avec ses doigts. Il devenait vulgaire, m’appelant « petite pute ». Il m’a poussée à toucher son sexe gros et dur, puis m’a fait mettre à genoux. Monsieur voulait que je le suce. Certes, j’avais déjà essayé, dans les bagnoles à la sortie des boîtes. À chaque fois, j’en avais pris plein la bouche. Avec Monsieur, c’était différent. J’éprouvais le besoin de lui faire plaisir. Je suçais sa grosse bite avec amour, un beau sucre d’orge. Il m’a priée de le retirer de ma bouche.

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Et là, Monsieur m’a pénétrée, longtemps, profondément, il m’a permis de vivre mon premier orgasme. Monsieur m’a mise à quatre pattes, et j’ai découvert la levrette. Monsieur me faisait du bien. Il m’a demandé si je prenais la pilule. Ma foi, non.
Monsieur est sorti de mon ventre et a pointé sa virilité entre mes fesses. J’étais vierge de ce côté, et Monsieur m’a rassurée. J’avais confiance, j’ai laissé faire. Son sexe m’a ouvert l’anus, j’ai eu très mal.
Monsieur me disait que j’étais une petite pute en continuant à s’enfoncer dans mes entrailles. Je me souviens d’avoir crié : « Non ça fait mal ! » Monsieur poussait en m’insultant : « Ouvre ton cul, petite pute ! » Et Monsieur est entré tout entier en m’inondant les boyaux.

La journée ne faisait que commencer. Monsieur m’avait fait mal aux fesses, je ressentais un vide maintenant dans mon anus. Je lui en voulais un peu de m’avoir prise comme une petite pute et, en même temps, je voulais le remercier. Après tout, il fallait que j’y passe un jour ou l’autre. Je me suis assoupie. Monsieur m’a réveillée, le port était en vue, et son sexe était gros et dur. Monsieur s’est allongé et m’a attirée à lui. Il a pris mon visage entre ses mains et, avec tendresse, m’a roucoulé : « Suce-moi petite pute ! » J’ai pris le sexe de Monsieur dans ma bouche. J’ai sucé, tété, pompé avec amour, il m’a demandé d’avaler. J’ai obéi. Notre relation secrète a duré jusqu’à la fin des vacances.

Près de trente et un ans plus tard, je suis retournée avec mon mari dans ce petit village du bord de mer. Monsieur était décédé. Son fils, la quarantaine, m’a reconnu. On a parlé de notre jeunesse.

À l’époque, j’avais 19 ans et lui, à peine 10. Le fils de Monsieur était devenu un beau gosse avec des yeux vicieux. On s’est retrouvés à l’hôtel et, en souvenir du bon vieux temps avec son père, je l’ai sucé à la limite de la jouissance. On a baisé dans différentes positions, et je me suis fait sodomiser. Monsieur, version 2010, m’insultait, m’appelait sa pute en m’inondant. J’ai sucé sa belle bite maculée de bon sperme et de mes matières, j’ai avalé les dernières gouttes.

Notre relation a duré jusqu’à la fin des vacances, à l’insu de nos conjoints respectifs.

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