Les 4 C – volet 2
13 mars 2019Camille, 48 ans, maquettiste.
Bonjour, mon nom est Camille, je suis la compagne de Christian qui vous a adressé le récit de sa soirée avec Carole. Vous dire que Cédric (le mari de Carole) et moi-même attendions avec impatience la parution de la lettre serait un doux euphémisme. Même si quelques bribes de la soirée avaient filtré, le choc a été un peu rude pour Cédric de lire la façon dont s’est lâchée cette petite salope de Carole (je l’adore, elle sait que c’est un mot doux), mais j’ai l’impression qu’il ne l’en aime que plus…
Nous avions convenus tous les quatre de ne découvrir nos soirées réciproques que dans les pages de interstron.ru. À mon tour donc de raconter notre folle sortie.
Pendant que mon homme, Christian, baisait Carole, moi je suis sortie avec son mec à elle : Cédric. Autant le dire tout de suite : moi aussi, je me suis conduite en vraie salope.
C’est vrai que j’étais habillée ultraléger… J’étais diablement sexy et bandante. En tout cas, c’est ce que m’a dit Cédric en se plaquant contre moi, la dureté de son sexe prouvant sa sincérité. Je connais fort bien son sexe et j’en apprécie le goût, le volume et la vigueur quand nous batifolons. Mais nous le faisons toujours à quatre (parfois plus), et là, le fait d’être en tête à tête avec lui et à demi-nue était grisant. Il y avait un goût d’interdit qui me donnait le tournis et me rendait languissante. D’autant plus quand il m’a dit : « Ce soir, tu es la reine, on va où tu veux, on fait ce que tu veux, c’est toi qui mènes la danse et fixes les limites. Ou pas de limites… ». J’ai dit : « On se lâche à fond alors… ». C’était entre la question et l’affirmation, je n’étais pas trop sûre, mais ses yeux clairs et son sourire craquant ont répondu pour lui. Il m’a prise dans ses bras et m’a embrassée de façon langoureuse, un vrai baiser de compétition. Puis il a passé une main sur ma chatoune nue et fraîchement épilée pour constater qu’elle était déjà bien humide et offerte, un doigt glissant sans mal entre mes lèvres. Les yeux brillants, il l’a porté à sa bouche pour le lécher d’un air gourmand.
Après quelques caresses et puisque je menais la danse, j’ai opté pour un club situé hors de Lyon, que nous n’avions jamais fréquenté, un endroit réputé très chaud où je pourrais me lâcher totalement. Une heure plus tard, nous nous trouvions devant la boîte, moi avec une petite appréhension excitante au creux du ventre. Il y avait seulement deux couples et quatre hommes seuls qui me dévoraient des yeux. À la fois craintive et émoustillée, je me suis serrée contre Cédric pour traverser la longue salle. Sous les regards brûlants, je me sentais plus que nue. Un tour au bar et nous nous sommes assis au bord de la piste de danse pour observer. Les deux couples dansaient dans un coin, et les types rôdaient autour comme des renards devant un poulailler. Cédric m’a entraînée sur le dancefloor.
Le couple le plus près de nous était très classe, lui élégant et bel homme, elle mignonne à croquer et supersexy. L’autre couple était aux antipodes, et nous l’avons zappé. Échanges de regards, sourires appuyés, et nous nous sommes rapprochés peu à peu du beau couple. Frôlements, contacts : très vite nous échangions quelques caresses. D’abord les filles, nous dansions maintenant l’une en face de l’autre, chacune avec son homme derrière elle. Les mains de la fille voletaient sur mon corps, et elle m’a roulé une pelle savoureuse. Les mains des hommes ne restaient pas inactives, et j’ai bientôt senti de longs doigts s’insinuer dans ma fente, alors que Cédric offrait mes seins à la bouche de la femme. Autour de nous, les mecs seuls avançaient quelques mains, et nous sommes retournés nous asseoir ensemble.
Malgré la musique, nous avons fait connaissance. Nous avons expliqué notre deal de la soirée, moi avec Cédric et sa femme avec mon homme. Alice et Bruno ont trouvé l’idée superbe, mais étaient désolés que l’ambiance ce soir-là soit si nulle. Ils habitaient tout près et venaient souvent dans ce club, habituellement bondé et très chaud. Les mains toujours fureteuses, et alors que je tâtais, ravie, du côté de sa braguette, Bruno a dit : « Il y a plein de soirées privées ce soir, d’où le vide ici. ». Alice a délaissé les lèvres de Cédric : « Jacques nous avait invités, et comme ça commence toujours très tard… Ce sera mieux qu’ici. Ça vous dit ? – Allez, chiche, on y va ! ». Puis j’ai ajouté : « Oups… c’est moi qui ai dit ça ? ».
Aussitôt dit… Alice est montée dans le 4×4 de Cédric et moi avec Bruno pour ne pas nous perdre… À un feu rouge, le 4×4 s’est rangé à nos côtés, et on a pu voir Alice, ses beaux seins à l’air, embrasser Cédric à pleine bouche. Plus loin, rebelote, mais dans les deux voitures cette fois ! Encore plus loin, sur une petite route, ils nous ont doublés pour se garer sur un parking. On a vu une tête blonde plonger vers le conducteur et s’activer en cadence. Ne voulant pas être en reste, j’ai sorti la queue de Bruno (une belle bête, assez courte mais très large) pour l’avaler aussitôt. D’une voiture à l’autre, on se lançait des regards de braise. Après quelques minutes, Bruno m’a bloqué la tête, préférant se réserver pour plus tard. « Tu suces trop bien, mais je veux aussi démonter ta petite chatte tout à l’heure. ». Ces termes salaces m’ont fait fondre, ma fente ruisselait, et ma main n’a pas lâché sa bite bien raide de tout le trajet. Nous sommes enfin arrivés chez leur ami Jacques. Il était ravi de nous voir et d’accueillir un nouveau couple.
« Dommage, a-t-il dit, plusieurs couples sont déjà partis, mais on va encore bien s’amuser. ». En fait, il restait une dizaine de couples et pour s’amuser, ça oui, on s’est bien amusés ! Je ne vais pas tout vous raconter dans le détail parce que, mon petit Cricri, ma belle Carole, Cédric et moi, nous nous le raconterons de vive voix afin d’épicer l’une de nos prochaines soirées coquines. Sachez seulement, en guise de mise en bouche, que Bruno a bien tenu sa promesse : avec son morceau de roi, il a en effet démonté ma petite chatte qui bavait de bonheur. Pas que lui, d’ailleurs…
L’une des cochonnes de la soirée avait un arsenal impressionnant de sextoys et, avec Alice et quelques autres, nous en avons follement joué devant ces messieurs, copieusement arrosés par une femme fontaine à la jouissance spectaculaire. Enfin, mon chéri, si je te dis qu’une petite porte que je te refuse parfois (trop souvent à ton goût) a été allègrement sollicitée, ouverte, enfoncée et défoncée pour mon plus grand plaisir, ce n’est pas pour te rendre jaloux (quoique), mais pour t’annoncer qu’elle te sera désormais beaucoup plus accessible. De son côté, Cédric aura des choses fort croustillantes à vous raconter…
Je veux finir ce courrier en te disant que je t’aime, Christian, et que j’adore tous ces jeux follement érotiques que tu inventes pour nous. Je suis fière d’être ta femelle. Longue vie aux 4C et baisers coquins aux lecteurs d’Union !
(Photo à la une : Getty Images)
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« Nous avons quitté le bar et avons atterri chez eux. L’atmosphère était électrique et à peine arrivée dans la chambre, Sabine s’est précipitée sur moi et m’a roulé une grosse pelle. » Jasmine.
« Mon sexe grossissait à vue d’oeil. Elle l’a remarqué et, excitée par la vision de mon pénis qui devenait de plus en plus gros, elle est venue s’allonger sur le plat-bord avant du bateau pendant que je la prenais en photo. Elle était si sexy ! » Diego.
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